Analyse Photographie Reza Deghatti
Cette fille de son nom Nasrine, semble triste, ses traits de visage le démontrent à un plissement de sourcils. Elle est pied nu, par terre, sur le sable, et est vêtu d’un long vêtement rose délavé. Elle est mal peignée son visage est recouvert de poussière, terre, son vêtement est troué, et semble trop grand pour elle. L’homme ( Khalil Rahman ), tient une arme en main. Il est debout, le dos contre le mur, seul ses mains sont visibles. Il est vêtu d’une longue chemise bleu foncée qui descend presque au niveau des genoux, d’un pantalon de même cou
Analyse Photographie Reza Deghatti Premium By Ginox Oeapanq 01, 2015 2 pages Photographie Reza Deghati. Reza Deghati est né le 26 Juillet 1 952 à Tabriz ( Iran ), et est un photojournaliste français d’origine iranienne. Reza est l’un des reporters-photographes les plus reconnus de sa profession sur la scène internationale. pour son militantisme artistique contre le régime du Shah, il est arrêté à 22 ans, emprisonné pendant trois ans et torturé pendant cinq mois. Il est définitivement contraint à rexil en 1981 pour ses hotographies dénonçant l’oppression de la République islamique.
Il quitte l’Iran pour New York puis Paris. t page Cette photographie d représentant un horn e p g militaire, et à ses cot un mur, le visage de I 04 au Pakistan vement islamiste onnages sont contre couleur, et a des chaussures contrairement à sa fille. Le contraste entre un père forcé d’être soldat habillé de bleu foncé qui indique la sagesse, la protection et sa petite fille à la couleur rose, destiné à montrer la féminité jonglant sur le côté ibre enfant/femme et le mur de pisé gris qui marque la misère et les conditions dans lesquels ils se trouvent.
Reza veut démontrer la sombre histoire du Pakistan par la couleur que porte la petite fille qui est d’apparence Jolie avec un regard vide ne comprenant pas le présent au pied de son père montrant l’asservissement et l’oppression des peuples faibles face a l’islamisme Taliban. Une position qui montre que les armes sont toujours plus fortes aux dépends des populations faibles dont les enfants en sont les victimes. Ces gestes indiquent qu’ils iront jusqu’au bout de leurs valeurs contre le radicalisme.
Le cadrage est concentré uniquement au ras des deux personnages afin de montrer l’obscurantisme contraint du père par son arme et l’espoir par la couleur et la détresse de l’enfant, mais aussi pas de tête du personnage principal pour sa sécurité et tout recentré l’image sur la Kalachnikov emblème de puissance protectrice afin d’affirmer la violence. A travers cette image le photographe a voulu démontrer la violence par la mitraillette et l’espoir par la petite fille. 2