Analyse De Pratique Un
Analyse de pratique Lieu : CSAPA (Centre de Soins d’Accompagnement et Prévention Addictologie) Clémenceau de l’association Aurore à Gagny. Le CSAPA comprend un CTR (Centre Thérapeutique Résidentiel) où se trouvent des sortants de prison : ce sont des gens qui finissent leur peine d’emprisonnement dans ce centre pour soigner leur addiction à un produit (alcool, cocaïne, héroïne, cannabis…. ). Le centre leur propose un séjour de 3 mois avant de les orienter soit vers un service de soins de suite, soit un appartement thérapeutique, soit un service ambulatoire, etc….
Il peut accueillir enviro Ily a également une des jeunes mamans un seNice récent qui l’instant, s’y trouvent LI c Sv. ige to ù nous accueillons en bas âge. Cest e en place. Pour e maman a son enfant en ce moment car une autre maman a son fils placé en famille d’accueil et la troisième a accouché très récemment et son bébé est hospitalisé pour cause de problèmes digestifs. Puis, le centre propose aussi des AT (Appartements Thérapeutiques) où se trouvent des résidents plus autonomes à qui l’on donne le traitement pour une semaine et ensuite ils le erent eux même.
Les AT sont proposés pour une durée de 24 mois selon la loi. Le centre a donc une équipe pluridisciplinaire avec: 5 éducateurs spécialisés qui s’occupent du CTR de 7h30 à 22h00 pour donner Swlpe to vlew next page donner la place ensuite à un veilleur de nuit. 2 éducateurs spécialisés qui s’occupent des AT et de la structure mère-enfant (des recrutements sont prévus pour bientôt). 1 assistance soclale. secrétaire qui est là à mi-temps. 1 infirmière pour tout le CSAPA qui travaille à temps plein (9h 1 pharmacienne qui est présente le mercredi. édecin qui vient le mardi après-midi et le samedi toute la Journée. 2 psychologues, 1 à mi-temps et 1 à temps plein. 1 directrice. Situations ou activités vues ou réalisées : Tout au long du stage, j’ai dû préparer des piluliers pour chaque jour de la semaine et pour chacun des résidents. Pour cela, j’ai dû désinfecter les piluliers en les laissant tremper dans l’eau pendant environ 30 minutes avec une dosette de désinfectant pour sol et surface.
Ensuite, je les ai laissé sécher à l’air libre. une fois secs, j’ai mis des étiquettes sur les piluliers vec les noms des différents résidents. Puis, je les ai mis dans des boites comportant une étiquette indlquant le jour. Les piluliers sont rangés par ordre alphabétique dans les boîtes. Avant la préparation des traitements, j’ai nettoyé le plan de travail à l’aide d’une solution ANIOS, puis j’ai frotté avec un papier d’arrière en avant.
Ensuite, je me suis lavé les mains avec du savon ANIOS. Par la suite, j’ai pris le classeur où se trouvent les feuilles de traitement pour chaque résident classées par ordre alphabétique. Puis, j’ai commencé à préparer les traitements, sachant que haque résldent à un tir PAG » OF d alphabétique. chaque résident à un tiroir où se trouve son traitement, il suffisait d’ouvrir le tiroir, lire sur la feuille son traitement, en vérifiant bien la posologie et le moment auquel il faut le donner. ne feuille de traitement est présentée avec le nom et le prénom du patient en haut de la feuille, puis avec un tableau constitué de : – première colonne : la date du début du traitement, deuxième colonne : les noms des médicaments, – troisième colonne : la posologie, – quatrième colonne : le moment de la prise du médicament matin – mldi – soir – couché), – cinquième colonne : la date de fin du traitement. Chaque traitement est alors préparé sur le plan de travail en faisant des petits tas pour les différents moments de la journée et en colonne pour chaque jour.
J’ai donc pris une paire de ciseaux pour découper le blister des médicaments pour ne pas les souiller. Lorsque le traitement est préparé pour un résident, je le mets dans les piluliers, tout en vérifiant si je ne me suis pas trompée. puis, je passe au résident sulvant. Une fois tous les piluliers remplis pour chaque jour, je les evérifie avant de les mettre dans un sas fermé à clé, pour que les éducateurs puissent donner le traitement à chacun. Sachant que les moyens de substitution (méthadone et subutex) sont mis dans des sachets nominatifs dans un coffre-fort.
Observations, étonnements : L’infirmière n’a pas suivi le protocole du lavage des mains, il suff étonnements : L’infirmière n’a pas suivi le protocole du lavage des mains, il suffisait juste de se laver les mains sans vraiment insister. Elle n’utilise pas de solution hydro alcoolique avant la préparation du traitement. Le nettoyage du plan de travail n’était pas systématique Lorsqu’on devait couper un médicament en deux, on le faisait avec les mains sans gants et on mettait une moitié dans le blister puis l’autre moitié était mise dans le pilulier sans blister.
Il fallait faire attention aux médicaments génériques, par exemple, on n’utilisait pas de subutex mais de la buprénorphine. Difficultés et points à approfondir : La difficulté se trouve surtout au niveau des noms des médicaments, il faut savoir associer le générique au médicament inscrit sur la feuille. Et lorsqu’un résident n’a plus le médicament ans son tiroir, il faut aller le chercher dans la pharmacie où tout est rangé par ordre alphabétique mais pas forcément par rapport au nom initial.
Pour certains médicaments, c’est rangé suivant le nom initial et pour d’autres, c’est rangé suivant le nom générique. Le point à approfondir est par rapport à cette association entre le médicament et le générique. Vous sentez-vous suffisamment autonome sur l’ensemble de ces activités pour les assurer seule ? Oui, je le faisais déjà seule en stage et l’infirmiere m’a dit que j’étais la première stagiaire à n’avoir jamais fait d’erreur dans les piluliers.