Analyse de pratique pose de gripper

essay B

Je suis en stage dans le service de médecine 2 (médecine interne, dermatologie, gastroentérologie) d’un hôpital d’instruction des armées. Il y a trente lits dans le service, une aile consacrée à Ihospitalisation de jour et une autre aux consultations de dermatologie (petites chirurgies et réfections de pansements dermatologique). C’est ma septième semaine de stage et je suis à l’hôpital de jour qui accueille essentiellement des patients venant pour des cures de chimiothérapie.

L’infirmière part dans le couloir avec un plateaux pour poser un gripper à un patient. Dans le couloir je prends mon courage ? eux mains et lui demande si je peux poser l’aiguille de Hubert au Swp to page patient (c’est le soin allait justement me rop orf patient et lui deman si le gripper, il est d’acc alors mon plan de tr Elle me dit qu’elle s la chambre du Oit mol qui lui pose e soin. Je prépare oir un triangle propre, patient, sale. Je dispose sur l’adaptable mon champs stérile et je dispose tout mon matériel de façon stérile sur ce champs.

J’enlève le patch d’EMLA de la chambre implantable du patient, et j’enfile mes gants stériles. Je place les champs tro troués sur le patient, et j’entame la détersion en quatre emps Bétadine (Bétadine dermique (rouge), rinçage sérum physiologique, séchage et Bétadine alcoolique (orange)). Je prépare l’aigullle de Hubert avec la serlngue pré-remplie stérile pour toujours rester en pression positive et savoir si j’ai un retour veineux quand j’aurai posé le gripper.

Je m’approche du patient avec l’aiguille de Hubert dans la main droite et avec l’autre je saisie sa chambre implantable pour qu’elle ne bouge pas quand je piquerai. Je lui demande de gonfler les poumons et en même temps je prends une grande inspiration. Puis je pique dans sa chambre implantable toute tremblante. Je vérifie mon retour veineux. Je rince la tubulure et regarde si le produit passe bien. Je clampe le gripper en pression posltive et place un pansement transparent pour maintenir le gripper et pour voir le point d’injection.

Je range mon matériel, remercie le patient et sors de la chambre avec l’infirmière. Je ressens une énorme fierté d’avoir réussi ce soin pour la première fois et surtout d’avoir pu dissocier le soin de mon vécu personnelle. J’ai réussi ce soin car j’ai pu mettre à distance mes ressentis face à cet acte et mes expériences personnelles sur mes proches par rapport à un patient. De plus, l’équipe soignante a su m’écouter et m’encourager devant ce soin qui me tétanlsait. J De plus, l’équipe soignante a su m’écouter et m’encourager devant ce soin qui me tétanisait.

Je l’al aussi réussi sans encombre car l’équipe me faisait confiance, ce qui m’a permis d’avoir une mellleure estime de moi-même et beaucoup plus de motlvation pour agir sur un soin comme celui-là et aussi de prendre l’initiative de le faire. Quand je suis sortie de la chambre, j’ai la sensation que le soin s’est bien déroulé et je me suis demandé pourquoi ai-je réussi ce soin ? Qu’est ce que cela m’a apporté ? Qu’est ce qui m’a permis de faire ce soin dans les règles d’asepsie et de dépasser ma crainte ? Ai-je pris quand même le temps de discuter avec le patient pendant ce soin technique ?

Ma communication, ma relation solgnant-soigné n’a telle pas été altérée par ma concentration et mon stress lors du soin ? Pour la situation je suis en présence d’un patient qui est dans le service de médecine 2 de I’HIA, du coté de l’hospitalisation de jour, pour sa cure de chimiothérapie. Le soin qu’il faut effectuer, est la pose d’un gripper, soin à effectuer en stérile, qui est relativement technique. L’aiguille de Huber ou Gripper est une aiguille à biseau tangentiel en acier inoxydable, permettant la ponction dans une chambre implantable.

La pose de Gripper est un soin que j’appréhendais beaucoup, à cause de sa complexité et de mon vécu avant mon entrée ? soin que j’appréhendais beaucoup, à cause de sa complexité et de mon vécu avant mon entrée à l’Institut de formation en soins infirmiers. Lors de ce soin, j’ai utilisé les règles d’asepsie que j’avais pu apprendre dans mes differents stages, et dans ce seraice, mais aussi j’ai mis en place une organisation que j’ai pu cquérir avec l’expérience des stages précédents et grâce aux apports de l’équipe soignante du service.

Cest la première fois que j’effectue ce soin, cependant je me sens à l’aise et sur de moi, une fois le soin commencé, alors que ce soin me tétanisais auparavant. Qu’est ce que m’a permis de me sentir à l’aise ? Cela est-il du à la confiance que l’équipe à mise en moi ? En effet la confiance est, ce sentiment de sécurité ou de foi qu’à une personne vis-à-vis de quelqu’un ou de quelque chose. C’est la conviction selon laquelle une personne serait capable d’agir d’une certaine manière face à une situation donnée.

L ‘équipe du service de médecine 2 de I’HIA, ma mise en confiance, grâce à l’écoute, l’attention, et les encouragements qu’ils ont pu me donner. Cette confiance m’a permis de me dépasser et de faire un soin que j’appréhendais du fait des expériences personnelles que j’ai pu vivre. Avec cette relation de confiance j’ai réussi à trouver la motivation qui m’était nécessaire pour effectuer le soin de Gripper. La motivatlon d PAGF réussi à trouver la motivation qui m’était nécessaire pour effectuer le soin de Gripper.

La motivation désigne toutes ses choses qui impulsent une personne à réaliser certaines actions t à y persister jusqu’à atteindre ses objectifs. J’étais motivée malgré mes appréhensions et la posture de l’infirmière qui m’encadrait mia aidé à prendre la décision de faire ce soin. Est-ce du à la technique d’apprentissage que l’équipe a pu utiliser ? En effet, l’équipe soignante était avec moi plus dans la théorie d’apprentissage constructiviste que Piaget définit. Pour lui la connaissance est un processus d’équilibration des structures cognitives en réponse aux sollicitations des objets de l’environnement.

Cet environnement créé par l’équipe m’a permis d’intégrer les connaissances nécessaires à ce son me ermettant de me sentir au point pour l’effectuer. Cependant, ai- je eu une communication adaptée lors de ce soin, ai-je réussi ? vraiment communiquer avec le patient, n’ai-je pas laissé de coté la communication au profit de la technicité du soin ? Les cours qui me sont utiles pour cette situation sont infectiologie et hygiènes (2-10) pour les règles d’asepsies utilisées, ainsi que les soins relationnels (4-2), avec la communication adaptée, l’approche centrée de la personne (Carl Rogers).

J’utilise aussi la compétence 4 qui est Mettre en œuvre des la personne (Carl Rogers). J’utilise aussi la compétence 4 qui st Mettre en œuvre des thérapeutiques et des actes à visée diagnostique, Puisque la pose de Gripper est un soin sur prescription médicale à visée thérapeutiques pour la pose d une chimiothérapie, et la compétence 7 qui est analyser la qualité des soins et améliorer sa pratique professionnelle, car cette situation me permet de remettre en cause ma pratique et de l’améliorer pour les fois à venir.

Ce soin m’aide sur la compétence quatre car c’est la réalisation d’un soin très technique suivant une prescription médicale et pour la compétence sept car j’ai appliqué le protocole de étersion en quatre temps j’ai appliqué des règles de qualité, de sécurité, d’ergonomie pour ce soin et celul-ci m’a permis d’améliorer ma pratique professionnelle. ‘ai choisis cette situation car poser un gripper était un soin que j’appréhendais énormément de part mon vécu personnelle et que j’avais peur de réaliser car il est technique et stérile. C’est aussi un acte invasif qui est très impressionnant par la douleur qu’il peut provoquer, de part la localisation de la chambre implantable et de part les conséquences qu’il peut engendrer si il n’est pas réaliser dans de bonnes conditions d’aseptise.