Ana mendieta

essay A+

Cet exile forcé aura un impact sur la vie et l’??uvre d’an mendient. Toute sa vie elle se sentira déracinée par e fait d’avoir du quitter son pays, sans ses parents de surcroît, donc sans aucun repère. A la fin des années 60 elle entre à l’université de l’ai ou elle aura pour professeur ans brader (Artiste et photographe allemand. Il a immigré à née rock). Ce dernier va rapidement devenir plus qu’un simple professeur. En 1973, an mendient va servir de modèle pour une de ces ??uvre, intitulé La venants.

Comme on peut le voir an mendient est nue allongée en bord de mer, tenant un miroir qui réfléchit la partie inférieur de son corps andin qu’il masque la partie supérieur de ce dernier, ce qui confère a ce corps un aspect complètement distordre. Cette mise en scène de son propre corps dans un milieu naturel est une première qu’elle réitérera par la suite dans ces p an men let: e corps paysage frère boy écriiez fibre 16, 2009 | 5 pages alors qu’elle n’ que 13 ans, elle doit, avec sa s?Ur aînée, swaps toi vie nixe page propres ??uvres, avec l’aide de ans brader. Son travail artistique commence des 1970.

Elle va au travers de ses premières ??uvres mettre en avant un sujet ui lui tient à c?Ur et pour lequel elle sera très engagée : les violences faites aux femmes, ses premières couvres sont empruntes de féminisme. Elle va volontairement mettre en valeur des aspects choquants de la représentation des abus sexuels. -galas on body, 1972, déformation de son corps et de son visage contre les clichés de femme idéalisée. Son visage se heurte contre ce morceau de galas tout comme les espoirs féminins peuvent se heurter à la société de l’époque -peuplé looks ta blond, 1973.

Sang sur trottoir devant son appartement Body tracas, 1974, met en scène des meurtres, des viols. -+ Dés la fin de ses études elle choisi d’utiliser son corps comme support pour ses performances délaissant ainsi les supports habituels. Utilisation de son propre corps, mise en avant de la féminité, des ses premières ??uvres. Ces premiers travaux annonce peu à peu ce qui deviendra reçurent dans son travail. Il) Le corps paysage d’an mendient. Le corps est donc un outil de travail pour an mendient, peu à peu elle va l’incorporer dans différents paysages, ou en l’agrémentant de diverses matériaux naturels. Fa gras on maman, 1972. Réalisé avec des copains de classe herbe des copains de classe herbe collé sur son corps afin de ne faire qu’un avec la pelouse. Alors qu’elle est encore étudiante). Cette combinaison corps + paysage va donner lieu à deux séries majeures : – saluait. – arbora de la vida. La série saluait est commencée dés 1973 et se poursuivra jusqu’ tout début des CAS. Dans cette série an mendient va se servir de son corps pour laisser une emprunte dans le sol. Cette silhouette est très simple tête, tronc, jambes, bras (le long du tronc ou de manière orme une croix).

Ces silhouettes sont réalisées dans toutes sortes de matériaux mais toujours se référant à la nature. (Eau, cailloux, herbe, feu… ), et tout type de support : bois, terre, eau.. arbora de la vida, est une série qu’elle réalise parallèlement a saluait, dés 1976. Cette fois-ci, an mendient ne se contente plus d’être une simple silhouette, elle fait partie intégrante de son ??uvre. Recouverte de boue, d’herbe… Elle s’identifie à la plante, à l’espace avec lequel elle est photographiée ou filmée. Comme si elle souhaitait ne faire qu’un avec lui. Se confondant même parfois totalement avec la nature.

Elle crée des hybrides, qu’elle appelle arrêt-body- rocks : sculptures intervenaient directement sur le paysage (elle se place dedans ou trace sa silhouette). Elle instaure ainsi une relation de symbiose a paysage (elle se place dedans ou trace sa silhouette). Elle instaure ainsi une relation de symbiose avec l’environnement. Pour bien comprendre l’??uvre d’an mendient, quelques explications sont nécessaires. Tout d’abord il ne faut pas oublier, comme nous avons pu le voir au début, qu’an mendient va être fortement arquer par le déracinement qu’elle va subir lors de son enfance.

Elle va alors constamment de se construire une identité, de retrouver son identité perdue et ses racines cabines. Cette quête de soi aura un impact sur son ??uvre, comme nous le verrons au travers d’exemple un peu plus loin. Deuxième point important à signaler lorsque l’on étudie les ??uvres d’an mendient, et dans la continuité de sa quête diamantaire, est ses références à la assénera. La sentira est une religion cabine qui mélange catholicisme et religion rabroua (religion africaine polythéisme et inimité).