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essay A+

La description du voyage correspond à tous ce qu’Emma peut voirpendant son voyage. Celle-ci n’est pas très longue ce qui montre que le voyage n’est pas très long. Dans ce texte les procédés utilisés sont la narration et la description. ICI la description est trèsemployée et est très précise pour monter une forme de réalité. « Quelque chose de vertigineux se dégageait pour elle de ces existences amassées, et son cœur s’en gonflait « Et cette description rendmoins monotone le voyage.

Ensuite, l’utilisation de la narration sert de transition entre la description de différents lieux et elle est utilisée pour ontrer les sentiments que peu avoir Emma lors de cepassage et montre son envie de retrouver son amant. Le lien de ces deux procédés est que l’un Dans un récit (un ro de se poser la questi Qe page personnage dont le p C’est une absence de peut pas avancer. popée… ), il importe ncore Quel est le rration ? u’il n’y a aucune « restriction de champ », pas de sélection de l’information narrative. La perception est illimitée. C’est Pomniscience narrative. Le na Swige to next page narrateur en sait plus que le personnage et peut être comparé Dieu, puisqu’il connaît le passé, le présent et l’avenir ou encore les ensées de chacun de ses personnages, même ce qu’ils cachent. Dans l’extrait ci-dessous, le narrateur sait tout de Louis Lambert. II connait même sa destinée. II connait également les Intentions du père.

Louis Lambert naquit, en 1797, à Montoire, petite ville du Vendômois, où son père exploitait une tannerie de médiocre importance et comptait faire de lui son successeur ; mais les dispositions qu’il manifesta prématurément pour l’étude modifièrent l’arrêt paternel. D’ailleurs le tanneur et sa femme chérissaient Louis comme on chérit un fils unique et ne le ontrariaient en rien. L’Ancien et le Nouveau Testament étalent tombés entre les mains de Louis à l’âge de cinq ans ; et ce livre, ou sont contenus tant de livres, avait décidé de sa destinée. Louis Lambert d’Honoré de Balzac) Dans l’extrait suivant, le narrateur connaît les pensées de chacun de ses personnages, pensées que pas un ne formule . Ce fut un repas étrange. Chacun se montrait d’une prévenance extrême : – Voulez-vous encore un peu de café, miss Brent ? – Une tranche de jambon, miss Claythorne ? – Un autre toast ? Six personnes, extérieurement calmes et maitresses d’e jambon, miss Claythorne ? Six personnes, extérieurement calmes et maîtresses d’elles- mêmes. Mais intérieurement ?

Des pensées qui tournaient en rond comme des écureuils en cage. « Et maintenant ? Et maintenant ? Qui ? Lequel ? » « Est-ce que ça va marcher ? Je me demande… Mais ça vaut le coup d’essayer. Seulement est-ce que nous aurons le temps ? Bon Dieu, est-ce que nous aurons le temps?… » « Folie mystique, à tous les coups… Pourtant, à la regarder, on ne croirait jamais… Etsi je me trompais?… » « C’est dingue… tout est dingue. Je deviens dingue. De la laine qu isparaît… des rideaux en toile cirée rouge… a n’a ni queue ni tête. Je ne comprends le comment du pourquoi… » « Cimbécile ! II a cru tout ce que je lui ai dit. Simple comme bonjour… II faut quand même que je sois prudent, très prudent. » ( Agatha Christie, Dix petits nègres ) 2- Le point de vue interne Il s’utilise de telle façon que le lecteur voit ce que voit le personnage. Cest un peu comme si nous étions le personnage dont on voit l’arme que celui-ci tient dans la main, comme dans certains jeux vidéo. Jeu vidéo Ce procédé est également fréquemment uti