Le comportement d’aide selon l’ethnie

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Malgré ses cris de détresse, personne ne couru à sa rescousse pendant les 35 minutes que dura ce drame. M « consiste à faire une sentiment d’altruisme, qui dont une personne ou un groupe de personnes benne et dont le but premier n’est pas d’en retirer quelque conséquences positives pour soi-même. » (battons, I crées, 1 982, citer dans le livre…… Pp. 425) écrire le titre livre de lauréate je ne le connais pas) ou d’un sentir d’égoïsme, qui met en avant plan le bien personnel l’aidant avant celui de l’aidé.

Dans le livre de avalèrent (2006) Les fondements psychologie sociale, le comportement d’aide dépend autre normes sociales. Tout d’abord, il y a la norme réciprocité, qui repose sur un échange entre deux personnes, soit l’aidé et l’aidant où ce dernier est récompensé pour son aide apportée. (attelé et al. Citer dans le livre Les fondements de la psychologie de avalèrent , p. 426) Elle est suivie de la norme de qui consiste à rendre la situation équitable lorsqu’ personne reçoit plus de bénéfices qu’elle n’en procure autres. Ainsi, ces personnes aident davantage afin d réduire l’iniquité présente. Lester, Lester & berces 1978, citer dans le livre Les fondements de la psyché sociale de avalèrent, p. 26 La troisième norme est I responsabilité sociale, qui amène la personne à avoie sentiment moral afin d’aider les autres. Pouvant parfois perçue comme une habitude de vie, elle peu devenir une obligation pour l’aidant. (berceriez, 197 dans le livre Les fondements de la psychologie social « consiste à faire une action dont une personne ou un groupe de personnes bénéficiera et dont le but premier n’est pas d’en retirer quelques conséquences positives pour soi-même. (battons, 1998; crées, 1 982, citer dans le livre…… Pp. 425) écrire le titre du livre de lauréate je ne le connais pas) ou d’un sentiment ‘égoïsme, qui met en avant plan le bien personnel de Dans le livre de avalèrent (2006) Les fondements de la psychologie sociale, le comportement d’aide dépend de quatre normes sociales. Tout d’abord, il y a la norme de récompensé pour son aide apportée. (attelé et al. , 1999, citer dans le livre Les fondements de la psychologie sociale de avalèrent , p. 26) Elle est suivie de la norme de l’équité, qui consiste à rendre la situation équitable lorsque personne reçoit plus de bénéfices qu’elle n’en procure aux autres. Ainsi, ces personnes aident davantage afin de réduire l’iniquité présente. Lester, Lester & ébréchées, 1978, citer dans le livre Les fondements de la psychologie sociale de avalèrent, p. 426 La troisième norme est la responsabilité sociale, qui amène la personne à avoir un sentiment moral afin d’aider les autres. Pouvant être parfois perçue comme une habitude de vie, elle peut en devenir une obligation pour l’aidant. berceriez, 1972, citer dans le livre Les fondements de la psychologie sociale de l’aidant. (berceriez, 1 972, citer dans le livre Les fondements de la psychologie sociale de avalèrent, p. 426) Il est possible d’illustrer cette norme grâce à une certaine situation que la crise du verglas » a provoquée. (avalèrent, 2006) Madame gaspille Van Lieu démontra un comportement d’aide suivant la norme de la responsabilité sociale en hébergeant 15 personnes chez elle. La chance fut de son côté, puisque la dame ne perdit pas l’électricité dans son appartement.

Cette dernière put donc héberger et nourrir gratuitement les 15 sinistrés pendant de nombreux jours. La quatrième et dernière norme, soit celle de la justice a comme but d’aider une personne qui selon l’aidant mérite réellement l’aide demandée. Cette norme a fait l’objet d’une étude par millier (1977) Citer dans…. Page qui « a démontré que les personnes qui adhèrent à la croyance en un monde juste ne sont prêts à aider que sur une base ponctuelle (donner un panier de Noël), et non pas à long terme (donner de l’argent toute l’année) ». Lierne, 1 970, 2003, citer dans le livre Les fondements de la psychologie sociale de avalèrent, p. 426 Plusieurs autres facteurs peuvent influencer le comportement d’aide chez une personne comme la culpabilité, la bonne humeur, ainsi que ses croyances religieuses. De plus, le fait d’avoir le temps ou non d’aider tout comme vivre dans une petite ville ou à la campagne, auvent aussi influencer le comportement d’aide chez une (G. Mers, 1997) Ces trois éléments personne. Permettent à I comportement d’aide chez une personne. G. Mers, 1997) Ces trois éléments permettent à la personne de ressentir un sentiment de bien-être suite à l’aide procuré l’aidé. Tout comme ces éléments, le « modelage » qui est le fait de reproduire les gestes d’un modèle influence le comportement d’aède. (bannira, 1997, citer dans le livre Les fondements de la psychologie sociale de avalèrent, p. 427) Ainsi, le fait d’observer un certain modèle montrant le bon exemple permet à l’observateur d’exécuter les mes gestes inconsciemment.

Toutefois, voir un modèle réagir de façon inadéquate face à une situation d’aide incite l’observateur à aller de l’avant et aider la personne dans le besoin. (maculé, 1970, citer dans le livre Les fondements de la psychologie sociale de avalèrent, p. 427 Une étude a démontré cette affirmation en laissant une enveloppe contenant un porte-monnaie perdu et une note de la part de celui qui l’avait retrouvé. AI y avait deux sortes de notes, soit une écrite dans un langage riche et l’autre dans un langage pauvre, ce qui laissait présumer que le rédacteur tait un étranger.

De plus, son contenu était soit positif, négatif ou neutre. Suite à l’expérience, il a été démontré que les gens qui ramassaient l’enveloppe retournait cette dernière dans le cas où le modèle leur ressemblait et que le contenu de la note était positif ou neutre. (éreinterions, fiscs, hélons, 1968, citer dans le livre Les fondements de la psychologie sociale de avalèrent, p. 428) Finalement, il est possible fondements de la psychologie sociale de avalèrent, p. 428) Finalement, il est possible de remarquer un dernier facteur ayant beaucoup d’impact dans l’aide qu’apportent les individus de notre société.

AI s’agit de l’effet témoin soit le « phénomène selon lequel une personne est moins susceptible d’apporter son aide à autrui en présence d’autres témoins (particulièrement s’il s’agit d’inconnus et que la situation peut conduire à diverses interprétations). » (G. Mers, 1997, p. 329) latine et darder (1968) ( Citer dans….. +page) ont effectué une expérience permettant de démontrer que plus le nombre de personnes présentes était élevé, plus e temps de réaction d’une personne était long.

Ils ont donc, placé dans une salle des étudiants pour ils remplissent un questionnaire, afin d’observer leur temps de réaction alors que de la fumée sortait de la trappe de ventilation. Certains été ‘net placés en groupe de trois et d’autres étaient seuls. L’étude leur a permis de donner les résultats suivants : es personnes se trouvant seules dans la salle ont remarqué la fumée sortant de la trappe et sont allées le déclarer à quelqu’un après un temps de réaction de moins de 5 secondes, alors que ceux se trouvant en équipes de trois n’ont réagi qu’après 20 secondes. latine, darder, 1968, citer dans …… +page) En 1975, latine, daubes ( citer dans …… Et 145 autres collaborateurs ont fait une expérience sur l’effet du témoin. Chacun à leur tour, s’est enfermés dans un ascenseur public pendant 1497 trajets et laissais public pendant 1497 trajets et laissaient tomber volontairement leurs crayons ou leur porte-monnaie afin d’observer le comportement d’aide des gens dans l’ascenseur. Cette technique leur permettait d’analyser l’aide qui était procurée à l’aidé selon le nombre d’individus présents.

Ils en sont arrivés à la conclusion que 400/6 des répondants aidaient lorsqu’ étaient seuls dans l’ascenseur, tandis que moins de seulement offraient Eure aide en compagnie de six autres personnes. Lorsqu’ s’agit du comportement d’aide, plusieurs étapes sont nécessaires et se font de manière innée avant d’ arriver. Selon latine et darder (1968) (Citer dans .. +page) il existe trois étapes bien distinctes qui mènent à cette aide apportée. Tout d’abord, l’aidant doit remarquer l’incident qui se produit devant lui.

Si on prend l’exemple cité ci-dessus sur les jeunes enfermés dans une salle avec de la fumée qui sort de la trappe de ventilation; le fait de remarquer qu’il y avait de la fumée représente l’étape où on remarque l’incident. Par la suite, l’aidant doit interpréter la situation qui se passe devant lui et an oser s’il s’agit d’une situation d’urgence ou non. Les gens interprètent toujours une situation en fonction de la réaction des autres les entourant.

puisqu’ ne veulent pas faire toute une histoire pour quelque chose qui pourrait s’avérer n’être rien, ils attendent la réaction des autres personnes afin de voir s’ils allaient peut-être réagir tri ait pp pp un de ex cc ch. do le également de l’exécuter. Cependant, il existe des cc influenceront le comportement d’aide. Ces coût pelé être relié au temps que l’aidant prendra pour venir l’aidé ou simplement relié au fait « de tacher ses vêtements, d’endommager sa voiture, de risquer sa d’avoir ridicule aux yeux des autres ou même de se blâmer par les autres passants pour se qui est survit (cocorico et al. 1986, citer dans le livre Les fondée de la psychologie sociale, p. 435) Le comportement d’aide peut-il changé dans une s intellectuelle? On dit d’une société qu’elle est intellectuelle lorsque es individus et les commune surmontent leurs différences pour construire une s unie où tout le monde s’identifie et s’entraide. (G. 2001) Le comportement d’aide var. en fonction de AIE luter et de l’ethnie, car chaque culture ont leur apr. coutumes et leur propre manières de faire. (G.

verbe 2001) Le comportement peut donc être soit très pré alors si les gens sont très individualiste le comporte d’aide peut être presque absent. L’État doit donc sa que les différentes communautés vivent bien insensé qu’aucune prend le dessus sur une autre. (G. Verbe 2001) L’État doit également veiller à se que le racisme moins présent dans notre société et que les culture s’apprivoisent jusqu’ s’aider ouillères ont besoin Accepter les autres et les aider ce n’est pas facile op côtoie où il y avait qu’une seule culture importante également de l’exécuter.

Cependant, il existe des coûts qui influenceront le comportement d’aide. Ces coût peuvent être relié au temps que l’aidant prendra pour venir en aide vêtements, d’endommager sa voiture, de risquer sa vie, d’avoir ridicule aux yeux des autres ou même de se faire blâmer par les autres passants pour se qui est survenu (cocorico et al. , 1986, citer dans le livre Les fondements Le comportement d’aide peut-il changé dans une société intellectuelle lorsque les individus et les communautés surmontent leurs différences pour construire une société nie où tout le monde s’identifie et s’entraide. G. Verront, 2001) Le comportement d’aide var. en fonction de la culture et de l’ethnie, car chaque culture ont Eure propre coutumes et leur propre manières de faire. (G. Verront, 2001) Le comportement peut donc être soit très présent ou alors si les gens sont très individualiste le comportement d’aide peut être presque absent. L’État doit donc s’assurer que les différentes communautés vivent bien ensemble et qu’aucune prend le dessus sur une autre. (G.

Verront, 2001) L’État doit également veiller à se que le racisme soit ions présent dans notre société et que les cultures s’apprivoisent jusqu’ s’aider ouillères ont besoin d’aide. Accepter les autres et les aider ce n’est pas facile pour une société où il y avait qu’une seule culture importante. La reis aider ce n’est pas facile pour une société où il y avait qu’une seule culture importante. La résistance idéologique peut être très présente et empêcher des changements majeure ars. G. Verront, 2001) Par contre, c’est aux gens de montrer la société qu’elle est prête aux changements et qu’elle peut venir en aide à tout le monde et non seulement aux individus de la même couleur. L’analyse de l’aide intercalée, de l’agression et des comportements non-verbaux montre que les personnes de race blanche sont portées à fournir de l’aide aux leurs plutôt qu’aux autres ethnies. Particulièrement, lorsque la personne dans le besoin ne fait pas partie de leur entourage.