Les facteurs principaux qui agissent sur la décision d’i
Les facteurs principaux qui agissent sur la décision d’investir premier BOY SUONS pâque 22, 2009 | 5 pages Les facteurs principaux qui agissent sur la décision d’investir : – Le taux d’utilisation du capital technique : Pour avoir besoin d’investir, il faut évidemment être incapable de produire plus avec le capital déjà installé. La première condition de l’investissement est donc que le taux d’utilisation des capacités de production soit très élevé de telle sorte que de nouveaux équipements soient nécessaires pour produire plus. La demande anticipée : Il faut avoir besoin de produire plus. Il faut donc que les débouchés prévus, que la demande anticipée soient suffisants. Lorsque entreprise doit satisfaire des commandes supplémentaires, alors que ses capacités de production sont saturées, elle est incitée investir. Mais toute variation de la demande n’induit pas mécaniquement une variation proportionnelle du capital productif. Les entreprises n’investissent que si elles anticipent une augmentation durable des débouchés.
Lorsque les conditions sont remplies, les variations de l’investissement sont amplifiées et décalées dans le temps par rapport à celles de la demande (l’investissement fléchit avant la demande). De plus, selon le principe d’accélération, l’amplitude des fluctuations de l’investissement est plus importante que celle de la BOY SUONS 22, 2009 | 5 pages – La demande anticipée : AI faut avoir besoin de produire productif. Les entreprises n’investissent que si le les demande dont elle dérive.
En somme, une variation de la demande finale induit une variation plus que proportionnelle de l’investissement comme le disait pour la simple ralentissement du rythme d’expansion de la demande finale provoque une baisse de la demande de capital, même si le niveau absolu de la demande finale ne diminue pas. Ce principe d’accélération implique que les fluctuations de l’activité dans le secteur des biens d’équipement sont plus heurtées que dans le secteur des biens de consommation.
Globalement, le phénomène d’accélération est un facteur d’instabilité pour l’économie. – La rentabilité : L’Excédent Brut d’Exploitation (profit au sens large) mesure ce qui reste à l’entreprise de la valeur de sa production après qu’elle ait réglé tous les coûts directement liés à cette production (consommations intermédiaires, salaires, impôts, etc…. ) On définit donc la rentabilité économique d’un investissement comme le apport entre cet BÉE et le montant du capital non financier que l’on veut acquérir (R écho = BÉE/K).
Mais on peut financer l’investissement soit par des fonds propres (liquidités apportées par es actionnaires de l’entreprise et profit non distribué) notés FABLE, soit par des dettes financières (crédit bancaire, emprunt obligataire) notées DÉFI. La rentabilité économique est donc un indicateur de performance des capitaux engagés dans la production quelque soit leur origine, elle est indépendante du mode de financement de l’investissement (FABLE ou DÉFI). Les taux d’intérêt réels: Une partie des investissements est, en général, financée par des emprunts. Ceux-ci impliquent le paiement d’un taux d’intérêt. Donc le niveau de l’intérêt relativisé par le niveau de l’inflation, ce que l’on appelle le taux d’intérêt réel, influence la décision d’investir. L’inflation, ce que l’on appelle le taux d’intérêt réel, influence la décision d’investir.
En effet, lorsque le taux d’intérêt réel s’élève, certains projets d’investissement deviennent non rentables et plus le taux d’intérêt réel des emprunts est élevé, plus a masse des investissements financés par l’emprunt et rentables est faible (la refroidirait, c’est à dire la différence entre un rendement financier dans l’entreprise et le taux d’intérêt réel, sera alors faible ou même négative).
Réciproquement, lorsque le taux d’intérêt réel diminue, le volume des investissements qu’il est rentable de réaliser augmente. Ce qui importe au propriétaire d’une entreprise, ce n’est donc pas la rentabilité de l’ensemble des capitaux engagés (la rentabilité économique donc) mais le rendement de leurs propres capitaux (FABLE). On parlera alors de rentabilité financière (réf) pour désigner ce rendement. Soit le taux ‘intérêt r, le montant des intérêts suite à un emprunt sera donc r x DÉFI.
Le profit sera donc égal à BÉE – arda et la rentabilité financière de l’investissement sera donc égale (BÉE – arda) / Approfondissements : Le principe de l’effet de levier nous apprend que lorsque le taux d’intérêt réel (parquée, par exemple, la hausse des prix est forte) est plus faible que la rentabilité économique (bras de levier positif), alors la rentabilité financière est supérieure à la rentabilité économique. Dans ce cas, l’entreprise a intérêt à s’endetter pour financer ses investissements et donc cela va stimuler ‘investissement.
C’est ce qui s’est passé, dans les années 70 en France. L’inflation était forte, ainsi que « l’inter C’est ce qui s’est passé, dans les années 70 en France. L’inflation était forte, ainsi que « l’médiatisation bancaire », alors que le partage de la valeur Ajoutée était plutôt favorable aux salariés et l’épargne des entreprise faible (d’où la nécessité d’emprunter). Cependant, il est difficile de prévoir les taux d’intérêts réels et la rentabilité économique peut baisser pour des raisons difficiles anticiper.
Il peut donc y avoir inversion du bras de levier, ui fait passer la rentabilité financière sous la rentabilité économique auquel cas les entreprises vont renoncer s’endetter ne comptant plus que sur un auto-financement (en général faible) ce qui déprime l’investissement. Donc, pour accepter d’investir dans un projet, il faudra que la rentabilité financière prévisible soit supérieure à ce que rapporterait un simple placement, c. Ai. De. Le taux d’intérêt réel. Si cette différence entre la rentabilité financière (ou la rentabilité économique) et le taux d’intérêt réel, la profitable, atteint un certain seuil.