violence souhaitable ?
L’UTILISATION DE LA VIOLENCE EST-ELLE SOUHAITABLE ? Dans un premier temps, Putilisation de la violence peut-être considéré comme souhaltable dans un cas ou elle permet de neutraliser une violence encore plus destructrice et ou le dialogue n’est pas envisageable ou n’a pas de résultats concrets. La violence peut donc de cette manière devenir une arme puissante afin de se libérer de la violence d’un régime de terreur ou de faire cesser la violence d’une dictature sur son peuple comme c’est présentement le cas en Syrie.
Dans ce cas, on peut dire que « la violence aux mal ustice » comme l’a di C’est par la violence afghan du régime de demander si la violen nord-coréen pour or 3 violence, mais la Argentine Eva Peron. on élivré le peuple Snipe to View si, on peut se ilisée par le peuple Swipe to Wew next page pour se libérer de la dictature de Kim Jong-un.
De plus, la violence, dans un cas ou par exemple un tireur fou abattrait des innocents et serait impossible à raisonner par la parole, serait la seule solution valable afin de stopper le meurtre de d’autres innocents. D’un autre côté, comme beaucoup le disent en usant e la violence on s’engage dans un cycle de violence sans fin : « La violence engage la violence » a dit le dramaturge grec Eschyle.
Ainsi, la violence est une régression de l’humain en soi vers I ‘inhumain, ce qui, dans la plupart des cas, quand elle est utilisée contre un tierce se retournera contre lui-même sous forme de vengeance. Ainsi, en s’engageant dans la voie de la violence on s’engage dans un « chemin sans retour De plus, le chemin de la non-violence tel que prôné par Chandi ou Nelson Mandela ont permis de grands avancements dans notre société et ont prouvés u monde entier que le pacifisme pouvait permettre de faire avancer les choses.
En effet, Ghandi et Nelson Mandela ont tous deux obtenus gain de cause ; l’indépendance de l’Inde p effet, Ghandi et Nelson Mandela ont tous deux obtenus gain de cause ; l’indépendance de Plnde pour Chandi et la fin de l’apartheid en Afrique du Sud pour Mandela et ce sans utiliser aucune violence. On considère alors que la violence dans un contexte ou l’on veut faire avancer une cause discréditerait celle-ci en envoyant une mauvaise image au peuple surtout par l’entremise des médias.
On peut penser notamment aux spirations d’un Québec souverain dans les années 1970 avec le parti québécois de René Lévesque qui se sont vus discrédités par les actes violents des membres du FLQ. Ainsi, dans un cas comme celui-ci, non seulement l’utilisation de la violence ne ferait pas avancer la cause, elle peut faire reculer celle-ci tout en alimentant une répression sévère ( hé voilà le cercle vicieux de la violence qui recommence). Non la violence, n’est pas mauvaise dans tous les cas mais elle n’est pas bonne pour autant, il suffit de savoir quand il est nécessaire de l’utiliser