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RAPPORT D’APPLICATION ANALYSE DE LABORATOIRE PHOTOMETRIE TEST EN CUVE DE LA DCO DCO en micro-méthode : une plage de mesure pour chaque utilisation Le paramètre DCO (Demande Chimique en Oxygène) reste le paramètre composite le plus fiable pour la mesure de l’oxydabilité et de la dégradabilité de la pollution organique des eaux usées.
La reconnaissance officielle des procédés analyti s or E consignation des mesures AQA*) a per resewes emlses Sni* to View serve de la ngtemps les quant à la détermination de cette valeur : la mesure de la DCO ? l’aide des ests en cuve LANGE est simple, sûre et économique, mais également écologique. Dix plages de mesure pensées pour la pratique assurent une excellente qualité de résultats ; la pré-dilution des échantillons n’est généralement plus nécessaire. k Assurance Qualité Analytique Auteur : Petra Pütz Ingénieur diplômée en chimie – Utilisation des produits de laboratoire HACH LANGE L’échantillon doit être homogénéisé avant analyse. Fig. 1 : Définition de la DCO selon la norme ISO Fig. 2 : Comparaison entre les quantités de réactif utilisées avec la méthode normalisée et vec un test en cuve LANGE Fig. 3 : Avec le thermostat haute température HACH LANGE HT zOOS, la détermination de la DCO ne prend plus que 35 minutes. ww. hach-lange. fr L’analyse des eaux usées ne saurait se passer de la demande chimique en oxygène (DCO) comme paramètre composite de mesure de la pollution. La DCO est le paramètre de surveillance le plus employé par la législation européenne et sert de base pour la conception et l’évaluation des capacités de traitement des stations d’épu ation. Elle se différencie de la DBO par sa isponibilité rapide et par un écart moindre des valeurs de mesure.
Le COT, souvent remis en question, offre une mesure claire de la proportion de carbone dans la pollution organique, mais ne donne aucune information sur la quantité d’oxygène nécessaire à sa dégradation. deux heures dans un thermostat sec. Il est possible d’obtenir un résultat plus rapide en utilisant un thermostat haute température HT 200S (voir aux exigences de la pratique sont disponibles (voir figure 4).
Le prédosage des réactifs dans les cuves et le chauffage en mllieu fermé ssurent la sécurité des utilisateurs, qui n’entrent pas en contact avec les agents chimiques mis en œuvre. Analyse de la DCO par tests en cuve 2/4 Qualité des résultats Les résultats obtenus avec les tests en cuve LANGE sont comparables à ceux des tests normalisés, comme démontré par plusieurs années de tests comparatifs effectués par des laboratoires accrédités et par les résultats d’essais interlaboratoires.
Dans certains pays europeens, comme les Pays-Bas, les méthodes d’analyse industrielles sont non seulement reconnues, mais également offi mployées pour des contrôles de routine. Principe Les tests en cuve LANGE reposent sur le même principe que les tests normalisés (voir figure 1). Les seules modifications concernent les quantités d’échantillon et de réactif mises en œuvre ainsi que la méthode de mesure (mesure photométrique plutôt que ciellement titrage).
Ainsi, les tests en cuve nécessitent moins de 10 % de la quantité de réactif utilisée pour une détermination à l’aide d’une méthode nor PAGF3C,F6 fermée, est ensuite chauffée à 148 oc pendant pour les analyses Industrielles comme our les analyses normalisées, l’obtention d’une mesure reconnue est bien entendu soumise au respect et à la consignation des mesures AQA (analyses standardisées, participation régulière à des essais interlaboratoires, etc. . En Allemagne, la fiche-guide A704 de la DWA sert par exemple de point de repere précis pour ces prérequis. Les IO plages de mesure de la DCO par tests en cuve LANGE d’un seul coup d’œil : Test en cuve de la DCO LCK914 5. 000-60 000 rng/1 02 LCK014 000-10 000 mg,’1 02 LCKI 14 50-1 000 mg/1 02 LCK514 100-2 000 mg/1 02 PAGF