Volonte de puissance
Il n’ a rien de bon ni de mauvais sauf ces deux choses: la sagesse qui est un bien et l’ignorance qui est un mal. (planton) Je pense, donc je suis. (dessertes) Dieu a aussi son enfer: c’est son amour des hommes. (initiiez) L’ambition, l’avarice, la tyrannie, la fausse prévoyance des pères, leur négligence, leur dure insensibilité, sont cent fois plus funestes aux enfants que l’aveugle tendresse des mères.
JE rousseur) Jamais on ne corrompt le peuple, mais souvent on le trompe, et c’est alors seulement qu’il paraît vouloir ce qui est mal. (rousseur) 10 dissertation : « Bon et méchant, bon et mauvais. [modifier] « Bon et méchant, bon et mauvais »; i. Eu. Opposition de l’évaluation des forts et des parallélisme du ressentiment. Dans cette première dissertation, intensité présente le ressentiment comme une « vengeance imaginaire » (G. M. 1. 70), « une vindicte essentiellement spirituelle » (G.
M. La. AI). La constitution du ressentiment implique un parallélisme du type: Les aigles sont méchancetés nous sommes le contraire des aiguillions nous sommes bons, dit l’agneau logicien. Où est le parallélisme ? L’agneau, le faible voudrait faire croire que lui se retient de manger l’aigle (fiction d’une rocher séparée de ce qu’elle peut) et que par conséquent il premier bu bercer bonbon 16, 2009 | 3 pages « Bon et méchant, bon et mauvais i. Eu. Opposition de 1. 0), « une vindicte essentiellement spirituelle » (G. M. La. 10). Est bon alors que l’aigle est méchant parce qu’il ne se retient pas. C’est donc en toute rigueur que l’aigle pourrait répond répondre : « je ne suis pas méchant, je vous aime bien vous les agneaux. Rien n’est plus savoureux qu’un petit agneau. 20 dissertation : « La faute et la mauvaise conscience et ce qui les rassemble » [modifier] « La faute et la mauvaise conscience et ce qui les rassemble , i. Eu. L’antinomie de la mauvaise conscience.
La mauvaise conscience, comme retournement de l’accusation contre SOI ( « c’est ma faute, c’est ma faute, c’est ma très grande faute » – acte de contrition), comme culpabilisions ( l’aigle culpabilisé se reconnaît coupable) est un retournement de la force contre elle-même : elle est donc, par nature antinomique ( «L’antinomie s’exprime comme opposition de la morale et de la vie » ). En ce sens, elle est à l’origine de ce que intensité appellera « le monde renversé 30 dissertation : « Que signifient les idéaux ascétiques ? »
L’idéal ascétique renvoie à la plus profonde mystification, celle de l’idée qui comprend toutes les autres, toutes les fictions de la morale et de la connaissance : il s’agit de la volonté de néant. Ce plan reprend sur le mode ironique celui de akan dans la dialectique transcendante de la Critique de la raison pure (1. Des parallélisme de la raison pure. 2. L’ antinomie de la raison pure. 3. L’idéal de la raison pure. ).