Verlaine – soleil couchant
Tel, dans la brume, éclate et meurt l’éclair bleu D’une arme à feu. Comme l’aile d’une orfraie Qu’un subit orage effraie, Par l’air que la neige raie, Son manteau se soulevant Claquait au vent, Et montrait d’un air de gloire Un torse d’ombre et d’ivoire, Tandis que dans la nuit noire Luisaient en des cris stridents Trente-deux dents. Premier boy alourdira HOF16pFl 11, 2009 3 pages Par l’air que a neige raie, Paul VERVEINE, Poèmes saturaient Commentaire : Vous commenterez le poème de verveine. Ôté épique puis en deuxième partie un cavalier onirique. 1- Un poème lyrique avec un côté épique Un poème lyrique aborde généralement des émotions et des sentiments liés à l’existence. verveine revient souvent, ans ce poème, sur le thème de la mort, traduisant une grande peur de rejet vers la mort. Le cavalier est décrit avec une hyperbole « Tels un ouragan sur la grève » ce qui montre sa grandeur et sa force extraordinaire.
Son ?il est comparer à l’aile d’une orfraie, un oiseau de proie ce qui nous montre encore le côté épique du poème. Ces un poème disposé en quantités (5 vers), de 4 vers impairs de 7 syllabes et d’un dernier vers de 4 syllabes Dès le premier vers « -Tel l’ouragan sur la grève/D’une main tenant un glaive », le son [an] est répété deux fois réduisant par assonance sur le lecteur un effet d’envoûtement.