Uber Monde Des Services Anonyme
Le contexte socio-économique dans lequel cette organisation se développe : L’idée de IJber est née à Paris en 2008 lorsque ses deux fondateurs tentaient de se rendre à une conférence. Force est de constater qu’il n’existait pas de service de transport premium accessible facilement et rapidement, ils ont eu ridée d’une application permettant de commander un chauffeur privé en quelques minutes. Un innovation qui répond à un réel besoin en raison de la pénurie de taxis en France: Paris compte moins contre cinq à Berlin e nz org un succès fulgurante Fra. o View ‘affaires tous les 6 daffaires à fin 2015. 1 . OOO habitants connaît donc bler son chiffre 10 millards de chiffre Les services proposés par Llber permettent aux usagers de profiter des trajets beaucoup moins cher que le taxi ou les VTC. Les usagers Uber ont plus de choix, obtiennent un meilleur service et à des prix compétitifs. Un modèle déconcertant de simplicité car il facilite la mise en relation des personnes avec des chauffeurs privés, et prend au passage une commission avoisinant les 20%.
Le contexte economique et social dans lequel évolue Uber est ssez complexe en France. Uber doit faire face au pouvoir de blocage d’une profession, les taxis, qui bénéficie depuis très longtemps d’une rente de plus en plus difficile à justifier et voit d’un mauvais œil l’ar Swlpe to vlew next page l’arrivée de ce nouveau service qui menace leur monopole sur la prise en charge de clients dans la rue puisque les VTC ne peuvent le faire que sur réservation préalable.
Uber est donc accusé de concurrence déloyale auprès des taxis car il n’est pas soumis aux mêmes contraintes financières et réglementaires. La puissance du lobby anti-VTC des artisans taxis et du groupe G7 auprès du gouvernement et des députés est indéniable; les uns jouant la menace de blocage, les autres la stratégie d’influence. Des lobbyistes qui ont d’ailleurs réussi à bloquer l’attribution des licences de taxi supplémentaires en défendant les droits des artlsans taxls.
En effet, le PDG groupe G7, Nicolas Rousselet, s’exprime qu’il faut protéger les revenus et les emplois des 55 0000 taxis français qui doivent rentabiliser et/ou rembourser leurs prêts lors de l’obtention de la licence (à hauteur de 230 000 euros). Ce qui n’est pas le cas des voitures avec chauffeurs privés. Ainsi, UBER remet en question l’ensemble d’un secteur, celui des déplacements individuels accompagnés grâce à la technologie. Uber favorise une économie du partage et une mobilité ? moindre coût.
Il contribue à façonner la ville de demain en répondant aux enjeux de développement des villes et aux besoins des citadins. Notamment, la première concerne le défi environnemental lourd lié à la pollution et à l’emission de gaz à effet de serre. Uber developpe des solutions alternatives à la voiture individuelle, qui ollue et détériore la qualité de des solutions alternatives à la voiture individuelle, qui pollue et détériore la qualité de vie en ville, en développant une offre de service de covoiturage par exemple.
Le deuxième enjeu est lié à la capacité d’adaptation et de cohabitation des systèmes existants et des nouvelles offres de mobilité. On note donc actuellement des pouvoirs publics qui sont mal adaptés à leur nouvel environnement. En effet, Uber a mis en évidence les pesanteurs lié au système de réglementation de la profession via un système de licence. Plutot que d’adapter l’offre à ces changements , Taxi et autres organisations continuent à défendre un modèle devenu obsolète.
Enfin, dans un contexte socio-économique financièrement contraint notamment la baisse du pouvolr d’achat des ménages et la montée du chômage en France, Uber répond à ces défis. En effet, au-delà des économies pour les usagers et des répercussions écologiques positives lorsqu’on utilise moins la voiture individuelle, Uber crée de nombreux emplois directs et indirects et permet à l’état d’engranger des millions d’euros de evenus fiscaux additionnels. Les systèmes de valeur en présence, les conflits, les compromis Les systèmes de valeur d’Uber : 1) Uber insiste sur le bien être de ses salariés.
Le métier de chauffeur est bien rémunéré, entre 4443€ et 5088€ pour une activité mensuelle. Il garantit une grande autonomie et un paiement très rapide. 2) Uber pensent également au bien etre de ses clients en garantissant la rapidité et la facilité de recherch pensent également au bien etre de ses clients en garantissant la rapidité et la facilité de recherche, le choix de confort e la voiture, le professionnalisme des chauffeurs, le débit automatlque et la présence de petits extras non payant à la disposition de l’utilisateur. (bouteille d’eau, bonbons etc. un concept qui se dit juste, gage de confiance et au service de ses clients grâce à . – Des tarifs au meilleur prix selon la gamme de voiture choisie. Mais aussi des tarifs transparents car le montant de la course est déjà pré-établie – Une disponibilité du service 7j/7, 24h/24 – La possibilté pour les clients et les chauffeurs de se noter en fin de course. Des commentaires disponibles et transparent par tous. Cependant le modèle économique d’Uber possède une particularité. LJn modèle basé sur la théorie du « surplus consommateur ».
En effet, Uber dispose d’un algorithme qui augmente la tarification lorsque le nombre de demandeurs est très élevé. À plusieurs reprises, cela a joué de mauvais tours ? Uber, créant alors un bad buzz provenant d’utilisateurs ayant payé des sommes astronomiques. Pour contrer cela, Uber mise sur la pédagogie en sensibilisant les utilisateurs sur les pics d’activité, cela a notamment été prévu our cette fin d’année 2014 pour la nuit du réveillon. À court terme, Uber devra identifier des solutions pour faire fluctuer son parc de chauffeurs en fonction des pics, ou retravailler son algorithme.
Par ailleurs, Uber doit faire face à la montée en puissance d Par ailleurs, Uber doit faire face à la montée en puissance de la concurrence dans certaines villes, Uber doit parfois réduire ses marges. En effet, certalns de ses concurrents proposant des commissions plus faibles, Uber a du trouver des solutions. Parmi ces solutions, Uber joue notamment très fortement sur les romotions pour rester le service numéro 1 des usagers, car la clé c’est avant tout les utilisateurs : tant qu’il y aura des utilisateurs en masse sur Uber, les chauffeurs auront besoin de rester fidèles.
En rognant sur ses marges, l’entreprise se met en risque, mais pour le moment, il s’agit avant tout d’être le premier sur le marché dans tous les pays sur lesquels Uber s’implante. Enfin, les lobbies représentant les compagnies de taxis sont très actifs pour tenter d’interdire Uber ou tenter de le réguler pour freiner son expansion. pour le moment Uber mise entre autres ur son capital sympathie pour mettre les utilisateurs de son côté, comme cela a par exemple été le cas pour UberPop via la création d’une pétition en ligne.
Mais Uber mise également fortement sur sa croissance rapide pour devenir vite trop gros pour être freiné ? la manière d’un Google ou d’un Amazon. Les enjeux marketing et managériaux spécifiques à ce contexte l_Jne vérltable mise en valeur de futilisateur : Mettre l’utilisateur au cœur du produit est un élément clef de succès de Uber. Que ce soit pour le voyageur ou le chauffeur, l’utilisation du service doit être simple et intuiti