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ne maison est un bâtiment de taille moyenne destiné au logement d’une famille, voire de plusieurs. C’est pourquoi elle est souvent considérée comme un symbole de la famille. Une maison est, en droit civil français, un immeuble, mot qui désigne aussi couramment un édifice de plusieurs étages divisé en plusieurs appartements occupés par diverses familles. On parle alors d’immeuble collectif. Sommaire [masquer] 1 Terminologie et définitions Sni* to View 1. 1 Étymologie 1. 2 Terminologie 1. 3 Définitions juridiq 1. 4 Définitions fiscale 2 Histoire 2. Premiers habitats 2. 2 Premieres maiso 2. Antiquité 2. 4 Au Moyen Âge or 8 âges des métaux 2. 5 Période contemporaine 3 Technique 3. 1 Construction 3. 2 Environnement et énergie 4 Soclologie 4. 1 Fonctions 4. 2 statistiques 5 ypologie 5. 1 Types constructifs 5. 2 Types régionaux 5. 3 Types fonctionnels 5. 4 Types historiques 5. 5 Spécimens de maisons comme ostal, oustal en occitan, avec l’idée de recevoir, d’accueillir, le mot mas étant réservé à des constructions plus petites, et il a donné la forme française péjorative masure.
Terminologie[modifier modifier le code] À partir de 1801, une maison qui est agréable et confortable, grémentée notamment d’un jardin, est souvent appelée du nom des anciennes maisons de campagne romaine : villa, en particulier lorsqu’elle est située dans un lieu de villégiature. Une maison au 57, rue The Close,SaIisbury, Angleterre. Cette maison est typique du style georgien, mais les fenêtres du toit ont probablement été ajoutées après sa construction.
Le terme d’architecture « pavillon » était traditionnellement utilisé pour désigner les maisons d’habitation isolées à un seul corps de bâtiment, avant l’apparition de la locution « maison individuelle » qu’on oppose à « immeuble collectif Définitions juridiques[modifier I modifier le code] Aux regards de l’administration fiscale française, un logement peut être dit résidence principale, si les occupants y résident plus de 183 jours par an, et résidence secondaire si elle est destinée aux périodes de repos.
Sur le plan juridique, en droit français, la maison individuelle est définie comme « un immeuble à usage d’habitation ou un immeuble à usage professionnel et d’habitation ne comportant pas plus de deux logements » pour le contrat de construction d’une maison individuelleintroduit au Code de la construction et e Ihabitation le 19 décembre 1990 dans l’article R 231-11. D l’habitation le 19 décembre 1990 dans l’article R 231-11 Définitions fiscales[modifier I modifier le code] En France, de 1798 à 1926, l’imposition foncière se faisait sur les portes et fenêtres.
Histoire[modifier I modifier le code] Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! L’évolution de la maison est parallèle à l’histoire de la ville dont elle est, depuis la fondation des villes antiques, jusqu’à la seconde moitié du xxe siècle, en passant par la fondation des bastides, ‘élément constitutif élémentaire2. Premiers habitats[modifier I modifier le code] Reconstitution d’une hutte à Terra Amata Reconstitution d’une tente paléolithique àPincevent. Reconstitution d’une cabane dans la grotte du Lazaret.
Il faut sortir de l’image d’Épinal de l’homme des cavernes vivant dans des grottes et abris sous roche, protections naturelles contre l’extérieur. Les humains préhistoriques n’ont jamais vécu dans les parties reculées des grottes et ont habité dans des régions qui étaient totalement dépourvues de cavernes (Afrique de l’Est par exemple). Ils ont parfois mis à profit les abris sous roche et les porches de grottes pour implanter leurs habitats, mais il ne faut pas perdre de vue que les sites archéologiques se sont mieux conservés dans de tels contextes et y ont également été recherchés préférentiellement3.
Au paléolithique, l’homme est un chasseur-cueilleur nomade qui s’installe dans des lieux proches de l’eau sous abri ou dans des campements en plein air. Il y mont des lieux proches de l’eau sous abri ou dans des campements en plein air. II y monte des tentes et des huttes, abris temporaires n branchages ou ossements. Ces abris adaptés au milieu et aux conditions météorologiques laissent comme traces archéologiques des fonds de cabanes, des pierres plus ou moins agencées, des trous de poteaux tandis que les structures aériennes (toiture, peaux, branches) disparues ne peuvent que faire l’objet de reconstitutions hypothétiques.
En Europe centrale et orientale (site représentatif : le village de Mezhyrich4), des vestiges de huttes avec une armature en ossements de mammouths remontent à 35 000 ans5. Premières maisons au néolithique et aux âges des étaux[modifier I modifier le code] Reconstitution d’une maison en adobe à Çatal Hòyük. Reconstitution d’une maison néolithique enEurope. Le début de la sédentarisation au néolithique est attesté dans le village de Mallaha, situé en milieu semi-aride, caractérisé par des constructions circulaires et semi-circulaires à demi-enterrées, qui font partie des plus anciens bâtiments permanents connus.
Elles sont construites en terre avec un parement en pierre et avaient sans doute une toiture en peaux d’animaux ou en petit bois soutenue par des poteaux dont il reste des traces. Des habitations en briques crues enduites de plâtre commencent à apparaître durant le néolithique du Proche-Orient. Adossées les unes contre les autres, elles sont couvertes de toits en terrasse et communiquent entre elles par des cours intérieures. Du fait de l’absence de rue, elle PAGF terrasse et communiquent entre elles par des cours intérieures.
Du fait de l’absence de rue, elles sont seulement accessibles par une ouverture pratiquée dans le toit et des échelles de bois aboutissant au « coin cuisine »6. En Europe tempérée, de grandes maisons à toit de chaume, llongées de IO à 50 mètres de longueur, parfois alignées côte à côte selon la direction des vents dominants, réalisées en bois, clayonnage et torchis, abritent des « familles élargies Les maisons près de lacs sont de type palafitte tandis que celles de l’Europe du Sud-est ont un style hérité du Proche-Orient7.
Aux âges des métaux (Âge du bronze et Âge du fer), les habitations présentent les caractères d’une maison individuelle (dimensions plus réduites, généralement rectangulaires, sauf dans le nord-ouest de l’Europe où elles sont circulaires) délimitée ar un enclos, ce qui marque le début de la propriété privée. Elles sont constituées de charpentes plus complexes (grâce à l’outillage métallique) portées par une ossature de bois avec des poteaux fichés en terre ou parfois des semelles de fondation en pierre ou en matériaux pilés8.
Antiquité[modifier I modifier le code] Article détaillé : Habitation de la Rome antique. Des vestiges de maisons à patio en pisé ou en pierre sont relevés en Mésopotamie, Égypte antique, Chine ou dans la vallée de l’Indus9. Reconstitution d’une maison grecque antique. ? l’époque romaine, le domaine rural des classes aisées est la villa romaine. En ville, les milieux dominants possèdent de belles propriétés, les domus, plus la villa romaine. es domus, plus ou moins grandes et luxueuses en fonction de leur fortune, qui doivent refléter le statut social et la dignitas de leur propriétaire. Les nombreuses familles plus modestes logent dans des insulae. La maison en Grèce antique va de la simple cabane du paysan en pierre ou en torchis, sans fenêtres jusqu’aux maisons des populations plus aisées avec plusieurs pièces articulées autour ‘un patio (souvent à péristyle) et de deux chambres à coucher ? l’étage, les plus riches ayant des pièces réservées aux hommes et aux femmes, l’andrôn et le gynécée.
Le toit est en chaume ou en tuile et des avant-toits surplombent les murs (blanchis à la chaux à l’intérieur comme à l’extérieur) en briques d’argile séchée ou en torchis sur ossature bois avec une base de pierre qui protège les éléments les plus vulnérables de l’humidité.
Au nord, prédomine la maison de plan circulaire, mais l’habitat caractéristique est la maison à mégaron de plan rectangulaire10. Certaines ont un porche ouvert surmonté d’un pignon à faible pente ou d’un fronton. L’architecture publique privilégie la construction de temples, l’absence de palais s’explique par le fait que les Grecs anciens n’ont pas eu de royautél 1.
Au Moyen Âge[modifier I modifier le code] Au Moyen Âge, dans un même quartier, une même rue, se côtoient des taudis bas, des logis d’artisan ou de boutiquier à un étage sous grenier, des immeubles à encorbellement de notables, des palais et hôtels particuliers de princes grenier, des immeubles à encorbellement de notables, des alais et hôtels particuliers de princes. L’habitat urbain est essentiellement en bois au VIIIe et ixe siècle puis la pierre devient prépondérante aux xiie siècleXlllavant qu’elle ne soit remplacée par du pan de bois de qualité aux xive siècleXV12.
Période contemporaine(modifier I modifier le code] Le phénomène de la villégiature naît au xviiie siècle dans la grande bourgeoisie dont la maison de campagne en tant que résidence secondaire est une extension de patrimoine, reprenant le modèle rousseauiste de la société de cour, les aristocrates vivant dans un hôtel particulier lors de la saison es visites appelée saison sociale (en) et retournent dans leur domaine en campagne en été.
La VIIIa, issue de la villa romaine antique et de la Villa médicéenne de la Renaissance, devient ainsi au xixe siècle une propriété bourgeoise confortable, puis au XXe siècle synonyme de pavillon (maison individuelle de lotissement pavillonnaire, de banlieue de grande ville ou parfois s’intercalant dans le tissu urbain) des classes moyennes, entourée d’un jardin sauvent modeste13.
La révolution industrielle du xixe siècle entraine la création d’habitations à bon marché, notamment des petites maisons es cités ouvrières, maisons identiques à la base alignées sur rues, des maisons des cités-jardins s’inspirant des réalisations britanniques d’Ebenezer Howard et du mythe du « cottage » ou du pavillonnaire standardisé qui est privilégié lors de la reconstruction après la Seconde Guerre mondiale. ? partir d qui est privilégié lors de la reconstruction après la Seconde Guerre mondiale. À partir de 1975, les inquiétudes nées de la crainte d’un épuisement des ressources sur la planète conduisent l’État français à faire étudier par EdF-GdF et le CSTB pour es maisons le label haute performance énergétique, puis ceux de bâtiment durable, à énergie positive ou à basse consommation énergétique ainsi que de maisons à haute qualité environnementale.
Technique[modifier modifier le code] Construction[modifier I modifier le code] Articles détaillés : Histoire de la construction, Autoconstruction et Maison individuelle. On distingue généralement deux types de maisons : la maison de constructeur, souvent proposées sur catalogue, elle est construite en série, restreignant ainsi la possibilité d’individualiser cette dernière dans une premier temps ; a maison d’architecte est, comme son nom l’indique, conçue par l’architecte lui-même qui essaye ainsi de répondre aux attentes personnelles du futur propriétaire.
L’habitation obtenue est alors une construction unique. Environnement et énergie[modifier modifier le code] Si elle réponds aux démarches architecturales soucieuses de l’environnement, elle est qualifiée de « maison Haute qualité environnementale » (HQE). Si elle respecte certains critères sévères de consommation énergétique, elle est appelée maison passive. Elle peut de plus se définir comme maison positive si elle génère de l’énergie.