TPE Prison
La vie après la prison Gelberg Adrien, Fecherolle Madeleine, Beauregard Axelle Travaux Personnels Encadrés Lycée Sophie Germa- 1 DESI Introduction Sni* to View « Etre libre, ce n’est pas seulement se d barrasser de ses chaînes… Cest vivre de manière à respecter et renforcer la liberté des autres » « Un long chemin vers la liberté », Nelson Mandela partout dans le monde, la société entend que toute entorse à ses lois soit sanctionnée. La société rappelle ainsi à tous les citoyens, qu’ils sont liés par un pacte social, qu’ils doivent en respecter les règles et qu’aucune transgression ne sera tolérée. ne sanction peut être n simple rappel à l’ordre, une contravention, une amende civile ou pénale. S’il s’agit d’une sanction plus sévère, elle peut imposer des contraintes qui touchent la personne physiquement: travail d’intérêt général, ou été en prison puisse de nouveau vivre en conformité avec les normes et les valeurs de la société. La réinsertion sociale ne s’arrête donc pas simplement à la remise en liberté d’un individu. Pour ce travail de TPE, nous nous sommes intéressés à la vie en prison et particulièrement la vie à la sortie de prison.
En effet, une vie à la sortie de prison est possible mais elle peut parfois poser problème au oment de la mettre en pratique. Alors comment la vie en prison peut influencer la vie à la sortie ? Comment faciliter le changement de milieu de vie ? Et surtout, Est-il réellement possible que les ex_detenus se reinserent dans la societe française ? Comment les programmes de réinsertion sociale ainsi que les moyens mis en œuvre pour aider à la réadaptation des personnes remises en liberté permettent d’éviter que ces personnes retournent en prison ?
Sommaire Histoire et vie dans les prisons 1) La naissance du concept de la prison 2) Son évolution jusqu’à nos jours 3) Les difficultés rencontrées dans les prisons Il. La réinsertion 1) Les difficultés de la réinsertion 2) Les aides apportés aux détenus Ill. La récidlve 1) Chiffre de la récidive 2) Les aménagements de peine 3) Les projets pour lutter contre la récidive 8 sanctionnant la délinquance. Auparavant le but premier des prisons était de maintenir les accusés de crimes jusqu’à ce que leur sanctlon sot décidée (supplice, exécution ou bannissement).
C’est Michel Foucault dans son célèbre livre Surveiller et punir » qui traite de l’évolution des techniques de punition et de la naissance de l’endroit. 1) La naissance du concept de la prison: Des prisons de l’antiquité omaine jusqu’à la naissance du concept de prison moderne en France A. L’empire romain premier à inventé le concept de l’emmurement Dans l’antiquité, La prison n’existait ni comme peine, ni comme institution. L’empire Romain, qui dominait une grande partie de l’Europe ne procédait pas à la détention de longue durée.
Elle n’était qu’accessoire, en l’attente d’un jugement ou d’une exécution. La peine était maximum de quelques mois, en attente de sa punition, de libération ou de son exécution. A cette époque la réduction ? l’esclavage (pour dettes ou en étant fait prisonnier de guerre) était lus courante que l’enfermement. Les premières prisons étaient donc pour la plupart des lieux d’exécutions, comme la prison de Tullianum (image de droite), crée au XVIIème siècle avant JC près du capitole Elle avait pour but la détention mais aussi l’exécution.
Ces prisons n’avaient absolument rien a voir simples prisons ( sans qualificatif particulier) ou sont enfermés toute sorte de personnes ayant enfrelnt la loi et étant condamnées mais la plupart des prisonniers restent des grands criminels . Elles sont placées à l’extérieur des villes. Les prisons ouvertes n’étant pas réellement des prisons dans le ens ou une personne ayant commis une infraction quelconque étaient directement enfermée en prison ouverte (sauf si son elle était considérée comme trop dangereuse) sans recevoir un quelconque jugement.
Elles servaient entre autre de prisons de « transition » et n’étaient pas réservées aux grand criminels (leurs murs coïncident avec ceux des villes ou des royaumes) pas claire la différence A l’époque il y avait une nette préférence pour les prisons ouvertes car les prisons fermées étaient très mal entretenues et suscitaient une répugnance générale La majorité des prisonniers étaient en prisons ouvertes ttendant d’être présentés au juge le jour fixé. Le reste des prisonniers demeurait en prisons fermées et était composé de quelques grands criminels, vagabons ainsi que des pauvres sans cautions.
On pratiquait ce qu’on appelle « l’emprisonnement préventif’ qu- consistait à emprisonner des gens avant qu’ils ne deviennent des menaces pour la population (comme par exemple enfermer un malade pour empêcher une épidémie d’éclore). Il pouvait être utilisé aussi avaient transeressé la loi PAGF 8 (préventifs ou pas) étaient effectués en prisons ouvertes. Les rares emprisonnements préventifs pour les prisons fermées étaient éservés aux criminels notoires ou aux personnes ayant commis des délits graves.
On voulait grâce à cette méthode diminuer le nombres d’accusations qui n’avaient aucun fondement ou qui avait des motifs inadmissibles. Les gens réfléchissaient donc plus avant d’accuser quelqu’un car en faisant cela le chemin de la prison pouvait s’ouvrir pour eux aussi. Prison construite dans les remparts au moyen âge Les prisons du moyen âge ne ressemblaient donc pas du tout aux nôtres même si elles avaient déjà bien évolué depuis l’Antiquité. On ne pouvait pas encore qualifier ces prisons de prisons modernes et beaucoup de progrès estaient à faire comme l’amélioration des conditions de vies en prisons fermées.
De plus, pendant la féodalité, le pouvoir judiciaire était éparpillé et beaucoup de gens pouvait exercer leu s propre justice, que ce sot des roi, seigneurs ou évêques. De plus, les prisons étaient dans des états pitoyables car ont se souciait très peu des prisonniers et des gardiens. C. La naissance du concept de prison moderne (1788-1944) À la veille de la révolution, Il existe deux types de prisons : Les prisons ordinaires pou s 8 rs en villes,châteaux ou auberges).
Neanmoins, elles se trouvent principalement dans les illes et peuvent être plus ou moins remplient en fonction de leur position géographique et de leurs taille. Les prisons appelées « Maison de force » ou l’on exerce la justice dite « retenue » qui se décline sous deux principales formes. Elle peut être rendue par le Roi en personne (les très célèbres « lettres de cachet ») ou par une juridiction d’exception nommée par le roi afin de remplacer la juridiction ordinaire. Les prisonniers etaient enfermés le plus souvent pour une durée indéterminée et placés dans des maisons de force ou de correction.
Certaine, considérées comme des « prisons du roi », étaient des prisons de uxe pour les prisonniers peu ordinaires comme les politiques ou criminels de bonnes familles enfermés par lettres de cachet (comme par exemple la prison de la Bastille). Elles étaient considérées comme les symboles du pouvoir arbitraire royal. C’est pour cette raison que les partisans de la Révolution ont attaquer la Bastille le 14 juillet 1789 Prison de la Bastille C’est à partir du 14 juillet que commence les révoltes de la Révolution et donc en parallèle la transformation de la prison en France.
La prise de la Bastille, peinture de Jean-Baptiste Lallemand vers 1790 6 8 Cela change beaucoup de chose pour un détenu car ême si son droit de liberté est suspendu durant sa peine, son deuxième et troisième droit (propriété et sûreté ce qul veut dire la protection contre un emprisonnement arbitraire) sont garantis. 1 791: Le premier code pénal est adopté. La peine de mort et les travaux forcés sont conservés mais il généralise la peine privative et place l’enfermement au centre du système judiciaire. Le but de la prison est d’être un lieu de punition et d’amendement du condamné par le travail et l’éducation. ? partir de la deux types de prisons sont crées : les prisons départementales pour les ourtes peines et les prévenus ainsi que les maisons centrales pour les longues peines. -1792: Le ministère de l’intérieur est chargé de gérer le budget des prisons. Il crée en son sein une commission chargée de la sup. ‘eillance générale des prisons. -1852: Décret prince-présidentiel interdit le droit de vote en prison. -1872: Création de la Commission d’enquête parlementaire ? Haussonville chargée d’étudier les établissements pénitenciers et de proposer des mesures pour améliorer leurs normes. 1875: La loi Bérenger généralise l’emprisonnement en cellules dans les prisons départementales. 1885: Le 14 août la loi instaurant la liberté conditionnelle est crée. -1911: Le 13 mars l’administration pénitentiaire devient un service du ministère de la justice. -1912: Loi instaurant la liberté surveillée. A partir de 1944 le concept de prisons modernes état né. Les plus grands changements avaient étés réalisés. Dans le passé la prison servait à priver le droit daller et venir d’un prisonnier afin de le punir. Dans la p 7 8 prison servait à priver le droit d’aller et venir d’un prisonnier afin de le punir.
Dans la période 1945-1980 le but principal en plus de la punltion était permettre u condamnés une réinsertion sociale. Le gouvernement mettra en place des lois et principes qui sont encore remis en question de nos jours. 2) Les conditions de vies et les difficultés actuelles des prisons en La vie en prison est très difficile pour plusieurs raisons Surpopulation Premièrement la surpopulation carcérale est un problème évident et explique en partie la violence qui sévit quotidiennement en prison. Le rôle principal d’une prison est de protéger la société contre les individus dangereux.
Le problème est que sa capacité d’accueil est limité alors que le nombre de détenus ugmente (par exemple au 1er avril 2014 la capacité d’accueil des prisons françaises était de 57 680 pour un total de détenus égal à 68 859 c’est-à-dire 2 % de plus que l’année 2013). un détenu coûtant à peut près 100 euros par jours à l’état cela falt environ 32 000 euros par an ( et en multipliant avec tout les détenus un total de 220 348 800 euros par an pour tout les détenus résidents dans des pénitenciers en France Puisque le nombres de n n’évolue pas au rythme PAGF 8 8 vie dans les prison est de plus en plus dure.
Ily a toute sorte de violence entre détenus que ce soit le acket, les règlements de compte, la violence gratuite ou le viol. Les violences peuvent être dues au racisme de certain détenus envers d’autres détenus excerçant d’autres religion (en France exercer sa religion dans le cadre de la loi est possible depuis 1905). Il faut vraiment + d’infos Hygiene de vie La qualités de la nourriture elle, dépend de l’habilité du cuisinier budget de la prison ainsi que du nombres de repas à servir. Beaucoup de cuisine sont dans un état d’hygiène faiblement aceptables.
Les établissements pénitenciers ne sont pas entretenus comme il le faudrait car les dégradations (volontaires u non) ne sont pas réparées au plus tôt, faute de budget. Le manque d’hygiène se comprend surtout quand on voit l’état des douches. Les installations (qui étaient mal conçues au départ) ont mal vieilli. L’écoulement est difficile à cause des cheveux. poils, débris de savon. L’espace des douche est petit il est donc possible avec tous ces facteurs d’attraper des maladies de peau ou autre….
De plus les perpétuelles rénovations fond que les douches n’ont jamais une qualité optimale. Maladies Aujourd’hui un détenu peut avoir accès à des soins médicaux équivalents à ceux que l’ont peut trouver ? l’extérieur. Sa santé est totalement prise en charge que ce sot aux niveaux physique ou psychologique. Des unités de consultations de soins ambulatoires (LJCSA) sont implantées dans les établissements pénitenciers. Cela n’empêche pas les détenus de tomber malades.
Certaine maladies en prison resten tes que n’empêche pas les détenus de tomber malades. Certaine maladies en prison restent plus fréquentes que d’autres. Par exemple, en raison de la surpopulation et d’une allmentation médiocre les taux de tuberculose sont 10 à 100 fois supérieurs à ceux de la population générale. Le VIH est lui aussi très présent dans les risons. Il est principalement du à la surreprésentation de population toxicomane utilisant des seringues et aux rapports homosexuels consentis ou non.
La diffusion du SIDA est mesurée régulièrement et même si il est en baisse depuis 1990 le taux de prévalence reste 7 fois supérieur ? la normale. tu fais pas d’ouverture sur la réinsertion/ quand ils vont sortir pou r Madeleine Ainsi, en 2009, 22 367 détenus ont exercés une activité rémunérée et près de 32 millions d’euros de rémunération leurs ont étés versés. plus graphique pour adrien condition détenus, cantinage, qd acunes sources de revenu