TPE femmes

essay A

Sous partie : l’épouse dans la famille le devoir d’être une bonne épouse Une bonne épouse doit se comporter ainsi : Après ses prières du matin , habillée correctement en prenant compte de sa condition social , elle sortira accompagnée de femmes honnêtes et marchera les yeux baisses sans regarder ni a gauche ni a droite. Elle placera son mari au dessus de tous les hommes, avec le devoir de l’aimer, de le servir, de lui obéir, se gardant de le contredire de toutes choses. Elle devra se montrer douce, aimable et devant les calme et modérée. Si l’épouse constate ieu uniquement.

Elle veillera a ce qu’il d’une humeur égale. Sni* to devra se montrer ra son malheur ? en se montrant Bien que l’égalité des époux soit posée dans l’échange des consentements, la femme reste pourtant sous l’autorité de son mari. Lhomme endosse la responsabilité de l’honneur de la famille. L’époux a le pouvoir sur la famille. La femme est alors presque considérée comme une mineure tout le long de sa vie, passant de l’autorité de son père à celle de son mari. La répudiation est interdite et l’adultère de la part de la femme , est sérieusement condamné.

Elle se doit d’être féconde et non impuissante. Cela peut être l’une des causes du divorce. Le prestige de la DAME, l’épouse du seigneur est considérable dans le coeur des guerriers. Elle cristallise leurs rêves rêves, leurs désirs, leurs espoirs. Le chevalier doit se montrer prêt à mourir héroiquement pour son amie, alors que celle-ci est censée le protéger par son amour et lui inspire vaillance et courage. La brutalité conjugale • Battre sa femme au moyen âge était courant et parfois même conseillé.

Les coutumes de Beauvesis autorisent le mari à corriger on épouse, surtout en cas de désobéissance. En plusieurs cas, les hommes peuvent être excusés de mauvais traitements envers leurs femmes, sans que la Justice ait le drolt de s’en mêler. Car il est permis à l’homme de battre sa femme pourvu que la chose n’aille pas jusqu’à la tuer ou même l’estropier, surtout si sa femme siest attirée ces mauvais traitements par quelque fautes graves, comme le refus d’obéir ? ses commandements. » Cette brutalité se retrouvait dans tous les milieux sociaux.

II y avait aussi des mariages heureux mais on ne devait pas en parler car il était malfaisant d’en faire état. Dans l’Aristocratie, l’amour courtois avec ses règles et ses coutumes permirent aux jeunes gents de s’ouvrir aux émois de monde amoureux sans en dépasser les limites. Les rapports sexuels qu’entre époux : Au moyen âge, l’église ne permet la sexualité que si elle a pour but la procréation. Pendant ses règles, l’épouse est déclarée impure et doit éviter tout rapport, de même pendant la grossesse.

L’Eglise en profite pour interdire toute relation sexuelle entre époux pendant les fêtes du calendrier liturgique : Carême, pâques, jours des salnts, avant la comm PAG » OF d endant les fêtes du calendrier liturgique : Carême, Pâques, jours des saints, avant la communion, le dimanche jour du seigneur, les mercredis et vendredis jours de deuils. C’est pour contenir l’amour excessif que les clercs en Imitent l’expression En cas de non respect de ces règles, le cas d’adulaire pourrait s’appliquer entre époux.

L’accouchement . Si la vocation de la femme marié est d’enfanter, la femme stérile étant mal vue, la grossesse et Paccouchement représentait un grand danger pour la jeune mère qui risquait sa vie, de même que celle de son enfant. Par manque de connaissance médicales, e moyens mais surtout par manque d’hygiène, beaucoup de femmes mourraient en couche ou de ses suites. Les femmes étaient très angoissées et le taux de mortalité atteignait un pic entre 20 et 30 ans.

Quand une femme mourrait en couche, la maronne devait s’empresser de pratiquer une césarienne pour extraire le nouveau né et lui donner l’ondoiement autorisé par l’église, car ce baptême empêcherais son âme de errer dans les limbes. Les sages femmes se transmettaient l’art de l’accouchement de générations en générations. Après l’accouchement, la mère déclarée impure, ne peux entrer a ‘église pendant 40 jours au bout desquelles le prêtre pratiquera la cérémonie des relevailles. Avoir un garçon est plus valorisant que d’avoir une fille.

Après l’accouchement, si la maman est saine et sauve, elle a droit à un verre de vin, une volaille et son bouillon. Mais, au Moyen Age, on comptait tout de même 50 % de mort vin, une volaille et son bouillon. Mais, au Moyen Age, on comptait tout de même 50 % de mortalité lors des accouchements La contraception au moyen âge Pour éviter les grossesses a répétition, les femmes utilisaient des méthodes abortives à base de plantes, décoction, potions, mulettes. Cela provoquait des choques et était totalement proscrit par l’église.

En désespoir de cause, il ne leur restait comme solution que l’abandon ou bien alors l’infanticide. Afin de lutter contre ces abandons, Véglise décide en l’an 600, que les mères les plus démunies déposent leurs enfants sur les parvis afin que le prêtre puisse les proposer a l’adoption par quelques fidèles. Voici quelques recettes contraceptives farfelues inventées du moyen âge utilisées parallèlement aux interdictions de l’église • Enflammer un trognon de chou et l’éteindre dans le sang des ègles.

Pour ne pas être enceinte pendant une année, il suffit aux femmes de cracher trois fois dans la bouche d’une grenouille. Attacher un œil de cerf qui louche avec une racine de marjolaine et l’arroser le soir de l’urine d’un taureau roux ; Faire une ceinture avec les poils des oreilles de mulet, animal stérile, ou boire son urine, des talismans avec ses oreilles ou ses testicules. Fiente d’éléphant mélangée au lait de jument portée en talisman, se place sur la vulve. Se laver dans la fontaine de Saint Martial ou boire l’eau de la fontaine de Saint Estelle.