Tpe dopage
Les sportifs utilisent cette pratique pour modifier leur morphologie, augmenter la force et la puissance musculaire, améliorer l’oxygénation, accroître la concentration.. En bref pour se dépasser… Est- e pacquer les limites humaines sont peut-être atteintes dans le milieu sportif, que l’athlète est forcément contraint à s’en remettre au dopage pour encore améliorer ses performances ? Le compétiteur est-il obligé de passer par le dopage pour battre encore et encore les records ?
Nous montrerons alors dans une première partie que sans l’aide premier boy fruits I évapora 12, 2009 35 pages du dopage, un sportif peut , en ayant recours à une bonne alimentation , en optimisant sa technique et en faisant attention a son matériel, voir ses capacités nettement augmenter.. Nous verrons ensuite dans une seconde ombrées records, qui à une certaine époque paraissait imbattables (comme la barre censée infranchissable des 10 secondes au 100 mètres en 1 960), ont été pulvérisés.
Ces records aujourd’hui sont si hauts que l’on viendrait à se demander si, dans une certaine mesure, les limites humaines n’ont pas été atteintes. Les nombreuses recherches scientifiques et les nombreuses études effectuées dans le sport ont porté leurs fruits et ont permis ainsi d’énorme progrès dans les domaines technique, mental, tactique, alimentaire et matériel rendant encore aujourd’hui le record possible. Quels sont ces progrès ? Dans quels domaines a-t-on e plus progressé et dans quels domaines peut-on encore progresser ?
Peut-on encore améliorer les performances ou alors a-t-on atteint des limites infranchissables ? Dans un premier temps, nous allons étudier les progrès qu’il y a eu dans l’alimentation du sportif, avec des régimes alimentaires spécifiques aux sports et aux besoins du corps et des muscles, ensuite nous pourrons détailler les évolutions techniques qui ont été faites dans tous les sports au niveau des mouvements, trajectoires et autres pour enfin étudier les résultats impressionnant que auvent procurer les nouvelles technologies à travers d’entraînements meilleurs et de matériels plus perfectionnés. ) Une alimentation meilleure Dans cette partie, nous allons voir qu’aujourd’hui comparé à il y a quelques années, les connaissances dans l’alimentation du sportif et dans les régimes particuliers qu’il doit suivre pour réussir sont évolués. Cette alimentation, parfois négligée dans le temps, a de nos jours temps, a de nos jours une influence énorme et est considérée comme un des facteurs les plus importants à la réussite du sportif.
Nous pourrons donc montrer, que lors ‘effort, les entretenus ont une grande ?importance pour le sportif. Les régimes sportifs permettant à l’athlète d’être au meilleur de sa forme suivants les sports seront eux aussi développés. Ai) Le besoin des muscles Faire du sport exige de l’énergie. Le corps prélève cette énergie de la combustion des graisses et des glucides. Lors de la pratique sportive, les glucides sont la source principale d’énergie pour les muscles et deviennent même la source exclusive lors d’un effort très intense.
Cette énergie provient de notre alimentation quotidienne (autant par les aliments simples, tels lipides, glucides et routines, mais aussi grâce aux sels et minéraux) qui subit diverses transformations chimiques regroupées sous le terme de métabolisme. ? l’intervention du glucose dans les cellules musculaires Le glucose est la principale source d’énergie de la majorité des cellules. Cette molécule appartient a la catégorie des glucides qui sont présents à peu près dans tous les aliments sous forme d’amidon, de glycine, de saccharine, etc….
Que ce soit chez un sportif ou bien chez une personne ne pratiquant pas de sport intensif, le glucose est stocké dans les cellules musculaires sous forme e glycine. Lors d’un effort, ce glycine est transformé en glucose puis utilisé sur place à des fins énergétiques, permettant le fonctionnement des muscles. On peut dire les activités sportives. Ainsi, pendant la contraction d’un muscle, les réserves glucides sont accessibles et permettent de reformer de la. T. P (molécules énergétiques).
Le glucose est donc une molécule fondamental e pour tout individu et notamment un sportif. C’est pourquoi, les sportifs consomment avant ou pendant un effort, beaucoup de glucose sous différentes formes. ? Les besoins hydrauliques Les besoins en eau sont estimés à 1 ml/calorie donc 2 à 2,5 I pour une alimentation d’environ 2000 à 2500 calories. Les aliments d’une journée apportant environ 1 litre d’eau, il faut boire 1 à 1,5 1 d’eau par jour. Cette quantité d’eau doit être répartie tout au long de la journée.
Elle sera augmentée en fonction des pertes sidérales et respiratoires liées à l’effort, pertes extrêmement variables suivant les conditions de l’effort : durée, intensité, température ambiante, altitude, sécheresse de l’air… La soif chez un sportif entraîné, est un mauvais indicateur de l’état de déshydratation. Chaque sportif doit savoir estimer ses pertes d’eau pour boire en conséquence (couleur des urines, pesée juste avant et après entraînement… ).
Les boissons alcoolisées seront consommées que très occasionnellement. L’alimentation apporte les matériaux nécessaires à la construction et à la réparation des structures de l’organisme, et assure la restauration des réserves Le corps humain est composé de 60%, d’eau dont les trois principaux rôles sont: -de refroidir le corps -d’évacuer les déchets -les transferts d’énergie aux cellules musculaires b) Les entretenus dans le sport ? Les différents combustibles Ils diffèrent selon l’intensité de l’exercice.
L’activité intense met en jeu de façon prépondérante le métabolisme des glucides, tandis que l’exercice d’intensité modérée est soutenu essentiellement par le processus arborée et engage les réserves de sucre, de graisses et de protéines. Le mélange de combustibles se modifie avec la durée de l’effort. Pour une même intensité, plus l’effort se prolonge et plus le mélange utilisé s’enrichit en lipides. Le muscle dégrade alors les réserves à distance : le glycine du foie et surtout les acides gras du tissu adipeux.
L’organisme se emporte comme un économisées de son stock géologique (qui est peu important), d’autant plus qu’il est bien entraîné. -Les glucides Les glucides sont des sucres et les produits qui en dérivent. Le glucose est un glucide simple dont l’organisme tire pratiquement toute son énergie. L’amidon est un glucide végétal. On appelle féculent un légume riche en fécule, c’est à dire en amidon (ex : les pâtes, le riz … ) Le glycine est l’équivalent animal du glucose.
Il représente la forme de stockage du glucose dans le foie de l’organisme. La cellulose des végétaux, autre matières grasses. L’alimentation doit procurer trois acides gras instaures dont l’organisme est incapable d’effectuer la synthèse (acides linoléum, évangélique, rachitique). Les lipides sont principalement une réserve d’énergie pour l’organisme, ils sont présents dans les phénomènes de croissance, de reproduction, dans le fonctionnement de la peau. -Les protéines Elles font partie du groupe des protides qui sont des acides aminés.
L’organisme est capable d’effectuer la synthèse de la plupart des acides aminés (il en existe une vingtaine), mais huit d’entre eux doivent lui être obligatoirement fournis Ar l’alimentation. A partir de ces acides, l’organisme produit ses propres molécules prostitues qui constituent le support architectural de la matière vivante. En cas de besoin, l’organisme est capable d’employer ses protéines pour couvrir ses besoins énergétiques. -Les vitamines Elles participent à la composition de nombreux enzymes qui permettent les réactions chimiques cellulaires, en particulier la transformation des combustibles en énergie.
Ce sont la étamine, la rébellion, la ancien, la vitamine BAI 2, la prédomine, l’acide foliole, l’acide phonothèque et a bottine qui agissent en synergie pour assurer une digestion correcte, la contraction musculaire et la production d’énergie. Elles n’améliorent pas directement la performance mais l’entraînement modifie nos besoins en tissulaire (A) et osseuse (D). -Les sels minéraux Ils contribuent à la construction cellulaire (calcium et phosphore des os) et participent au fonctionnement des grands appareils (influx nerveux et contraction musculaire).
Ils sont éliminés en petite quantité par la sueur. Leur équilibre naîtra et extralucides en est perturbé, ce qui entraîne parfois la sensation de fatigue, voire des entraccuser. Ils doivent être apportés par une alimentation diversifiée en quantité et variété suffisantes. Cc) Les connaissances alimentaires ? Alimentation équilibrée Les sportifs de haut niveau doivent avoir une alimentation équilibrée. Un seul écart de leur part peut se ressentir aux niveaux de leurs performances.
Voici les clés d’une alimentation équilibrée: -Variété : manger de tout pour ne risquer aucune déficience. -Modération : manger raisonnablement pour ne pas accumuler de surcharges inutiles. -Plaisir et conductivité : conserver, quoiqu’ arrive, le plaisir de la table, le goût des lats, le goût du partage et de la fête. -Mieux choisir Aucun aliment, ni aucune famille d’aliments, ne réalisent Céréales et féculents » : glucides lents (amidon), protéines végétales, fibres, vitamines B. 4 « Fruits et légumes » : minéraux, vitamine C et fibres. « Corps gras » (beurre, margarine, huile) : lipides, vitamines A, D et E. 6 « Produits sucrés » : sucres rapides. 7 « Boissons » : eau. La variété des produits alimentaires, permet à chacun de choisir selon ses goûts, son budget et ses besoins (besoins occasionnels, choix nutritionnels conseillés ou situation pathologique). Mieux répartir: Une bonne répartition alimentaire préserve d’une alimentation déséquilibrée et pléthorique et de ses complications  long terme. Conservons notre culture et nos traditions ; évitons « la dérive  l’angle-saxophone’, surtout chez les jeunes.
Mieux répartir dans la journée: -Faire régulièrement trois repas (plus un goûter pour les enfants et les adolescents). Prendre un vrai petit déjeuner : fruits ou jus de fruits ; pain ou céréales ; beurre ou confiture ; thé ou café ; lait ou fromage, pour bien démarrer la journée et éviter les grignotage dans la matinée. Attiserais, des boissons sucrées et alcoolisées, des grignotage (barres chocolatées, graines  apéritif, vénériennes), et ne fréquenter les « faste-foot » qu’occasionnellement. A chaque sport son alimentation La pratique sportive n’impose pas de grandes modifications à une alimentation saine et équilibrée, exception faite des épreuves de longue durée, et de celles qui se déroulent dans un environnement particulier (montagne, lieu marin, etc.. ). Il n’est donc pas nécessaire de parler de « régime pour sportif « , mais d’adaptation de l’équilibre nutritionnel aux divers épisodes de la vie sportive. En période d’entraînement, le sportif a besoin de faire des réserves.