Théorie economique

essay B

THEORIES ECONOMIQUES COMPAREES. 2 types de dynamiques : une transitoire et une tendancielle, La dynamique transitoire : la manière dont le système s’ajuste a La dynamique Tendancielle : quand tt c’est ajusté vers quoi l’économie se dirige, dynamique de long terme Ces deux approches s’expriment dans les différentes théories économiques. Pour la dynamique transitoire, chez les classiques, c’est la question du progrès technique.

Que se passe-t-il si une économie bascule vers une économie intensive en capital ? passe-t-il SI on bascul ensembles de techni utilisent une autre te La dynamique transit echnologie ? OF49 Swape loview nextp g itoire ? Que se logie ? On a des si les entrepreneurs e le changement de pour les classiques il n’existe pas un continuum dans les technologies ? Si je bascule dans les technologies intensives en capital comment le chômage peut-il se résorber ? Si on passe de A à B le chômage va-t-il augmenter ?

Admettons qu’il existe 2 technologies dans l’économie . d’accumulation du capital, du rythme auquel s’accroit le capital. Ce sont précisément les questions qui préoccupaient les classiques, notamment Ricardo et Marx. Ce sont des questions qui pour eux sont centrales. Chez Ricardo, le coût de production du blé est toujours plus élevé donc on va avoir des entrepreneurs qui vont avoir des techniques intensives en capital avec une montée en capital qui se résorbe lentement.

Chez Ricardo on a donc la dynamique tendancielle qui nous dit que le coût du travail s’élève et les entrepreneurs utilisent des technologies qui économisent le travail et on a des changements brutaux avec la dynamique transitoire qui repose sur l’idée la croissance de l’économie va augmenter de moins en moins jusqu’à stagner Chez Smith, les choses sont moins noires, il pense que la ynamique tendancielle est plutôt celle d’une économie en croissance capable de se développer sans limite. La dynamique tendancielle ne conduit pas une dynamique négative.

La dynamique transitoire porte chez Smith, porte sur le fait de savoir si les marchés s’autorégulent bien ? Oui, la loi de Say, on peut parler du dynamique transitoire plutôt heureuse. Dynamique tendancielle, étude des rendements croissants, éléments qui permettent à l’économie d’augmenter tous le temps. Chez Marx, la dynamique transitoire est fondée sur l’innovation technologique et ces effets sur son évolution avec la part des evenus. Le changement technologique est une réduction du taux de plus-value. Chez Marx, la dynamique transitoire repose sur Pétude des dynamiques de production et sur révolution des salaires réels.

Dans les phases de prospérit 2 49 production et sur l’évolution des salaires réels. Dans les phases de prospérités, les entrepreneurs se tournent vers un accroissement du capital donc qui se juxtapose avec un accroissement de l’emploi et accompagné avec une baisse du taux profit donc baisse du rythme de l’accumulation du capital baisse du taux d’emploi baisse du salaire réel et cela restaure le taux de profit. La dynamique tendancielle repose sur la baisse tendancielle du Après avoir vu ces trois auteurs, on étudiera Keynes.

Mise en évidence des hypothèses que dans certains cas abaisser les salaires ne permet pas de remonter l’emploi. On fera de l’analyse macro de CT et ensuite on étudiera comment à partir du modèle AS AD on peut parler des cycles. Puis on va étudier Harrod, c’est l’auteur qui a été le premier a décrire les tendances de l’approche Keynésienne. La question qu’il pose c’est de savoir si l’économie peut croître de manière stable ? Puis on verra, la théorie de répartition du revenu, analyse statique e court terme. Est-ce qu’il y a un lien entre la concurrence imparfaite et la distribution du revenu ?

Puis on abordera une question sur la finance. CHAPITRE 1 : LOI DES DEBOUCHES ET DYNAMIQUE CLASSIQUE – La loi de SAY. Pour comprendre la loi de Say il faut partir de la 101 de Walras. Avec cette loi: p Dl -01) , valeur de l’excès de demande, + P2 ( 02-02) + Dm -Om -O C’est la loi de Walras, la somme des demandes excédentaire est nulle. En terme plus macro, si un marché est en déséquilibre si l’excès de demande est positif on aura alors une contrepartie sur l’autre marché est donc un excès marché 9 aura alors une contrepartie sur l’autre marché est donc un excès d’offre sur le marché 2 ou sur le marché de la monnaie.

La loi de Walras signifie que si un marché est en déséquilibre alors un autre marché l’est aussi. La somme des excès de demande sur les autres marchés est égale et de signe contraire ? l’excès de demande sur le marché considéré. La loi de Walras, n’interdit pas les déséquilibres partiels. Les classiques n’ignoraient pas les déséquilibres partiels mais ils laissaient cela de côté.

De cela on peut tirer L’identité de Say : l’excès de demande de monnaie est toujours ulle soit hypothèse : Dm=Om Dans une économie de change la monnaie est perçue comme un moyen d’échange et non une réserve de valeur, elle n’est jamais demandée pour elle-même. Du coup on voit que dans la loi de Walras le troisième membre est nul. Du coup on voit bien que si un marché est en excès l’autre l’est aussi inversement. C’est une question d’ajustement d’offre et de demande. Marché 1 marché 2 Du côté du bien 2 on voit que l’excès d’offre de bien 2 on va stimuler la demande et les prix baissent, mais les entreprises produisent moins.

On dit que le profit est maximum quand la quantité Rm=Cm recette marginale = coût marginal) Rm; Cm;p Rm 4 9 résorbe assez vite et la crise ne dure que le temps de l’ajustement. Mais si les ajustements par les prix dopèrent lentement alors la crise peut durer. La variante est que l’on peut avoir Dm différent de Om, on appelle cela l’égalité de Say L’égalité de Say signifie qu’un excès d’offre de biens peut trouver sa contrepartie aussi bien dans un excès de demande de biens, que dans un excès de demande de monnaie ( ie une tendance non-saturée a thésauriser) ou les deux à la fois.

Lorsque les mécanismes de marché fonctionnent normalement quand les prix réagissent normalement aux déséquilibrent des marchés), si la monnaie est demandée pour des motifs de transaction ( lorsque les agents ont besoin de monnaie pour réaliser leurs achats et leurs ventes ) la loi de Say affirme que tous les déséquilibres sont nécessaires. Admettons qu’on est un excès de demande de bien 1 positif on aura alors un excès de demande de monnaie, à mesure que les prix augmentent l’offre de monnaie diminue donc le déséquilibre se résorbe.

A mesure que les prix baissent la valeur des encaisses réelles augmente et donc Hoffre augmente. L’économie est en excès d’offre généralisé on a trop de bien 1 et trop de bien 2, on a une surproduction générale qui a pour contrepartie un phénomène de thésaurisation. Les classiques diront, le prix du bien 1 et celui du bien 2 va baisser, les ajustements à la baisse des prix vont impacter l’offre de monnaie. La valeur du niveau général des prix affecte le pouvoir d’achat de la monnaie . Baisse de Pl et baisse de P2 et donc baisse de P et augmentation de 1 /P augmentation de Hoffre de monnaie.

DI-OI)+ P2 ( 02-02) s 9 baisse de P et augmentation de 1 IP augmentation de Yoffre de monnale. DI-OI) + P2 ( 02-02) + Drn-om= O A mesure que les prix baissent, les agents anticipent une baisse des prix. Donc ces anticipations à la baisse vont accentuer les déséquilibres. Les anticipations des agents peuvent venir contrarier un retour à l’équilibre. Les risques d’extrapolation de l’évolution des prix peuvent se montrer déstabilisants. Phénomène d’extrapolation de la tendance. Il faut que les anticipations soient inélastiques alors on peut montrer que cet ajustement peut revenir à Péquilibre. ll- Keynes et la loi de Say. 1 Dl Il faut être en mesure de dire de combien se déplace la courbe de demande. On considère un excès d’offre de bien. Cela provoque une baisse des prix qui va provoquer 2 effets : a) accroissement du bien 1 donc déplacement de la courbe initiale de la demande b) une baisse des recettes mar inales donc Rm< Cm ce qui provoque une baisse de I' ment le long de la courbe 6 49 impasse. Effondrement du système. Keynes va dire l'effet revenu est dominé par l'effet prix ça va plus vite le long de la courbe d'offre que le déplacement vers la gauche de la courbe de demande donc on est toujours a l'équilibre.

Comment justifier que c va dominer a et b : -première hypothèse consite à dire que la pmC est comprise ntre O et 1 n c < 1 D cela veut dire que la demande globale, dYd/dY = c et cela est inférieur à 1. cY+ Cbarre +1 + G + X pour trouver c = dYd/dY alors il faut dire que l'investissement est exogène donc dans la première équation il faut écrire I barre. [Yoù barre investissement exogène. La démonstration keynésienne visant à invalider la loi de Say reposée sur 2 hypothèses centrales : La première hypothèse en raison d'une loi psychologique fondamentale la propension marginale à consommer se trouver bornée entre O et 1.

La seconde hypothèse essentielle à la démonstration de Keynes, u moins une composante de la demande globale était exogène. Sous ses deux hypothèses il est, en effet, possible de montrer qu’une baisse de la production globale (production sur tous les marchés de biens dans l’économie) qui s’accompagnerai d’une baisse des revenus dans l’économe (baisse la production, baisse de l’emploi, baisse des revenus… ) et donc baisse de la consommation et baisse de la demande globale. Et donc sous les hypothèses de Keynes on montre que la baisse de la demande globale sera moins rapide que la baisse de l’offre globale.

Donc a et b soit effet prix dominera c effet revenu. Les ajustements par les prix nous ramènent à l’équilibre de plein emploi. 9 revenu. CHAPITRE2 : Mécanismes et blocages de la croissance chez Smith ; 2/1 croissance et division du travail. Idée chez Smith selon laquelle le rendement marginal du capital n’est pas obligatoirement décroissant. Dire que le rendement capital est constant cela veut dire que chaque équipement On peut accumuler du capital et à chaque moment en tirer le meme prfoit que les unités de capital antérieur.

II n’y a pas de limite à la croissance car on peut toujours en tirer un rendement constant. Economistes soviétique , croissance extensive. Non-décrolssance du rendement marginal du capital : Idée général , l’indivision du travail s’accompagne d’une réorganisation du travail à l’échelle macro, et elle génère des économies internes et externes. La division du travail est donc la base du progrès technique. L’Etat n’a pas à intervenir dans ce jeu économique.

Le progrès de la division du travail joue un rôle essentiel dans la croissance en étant à l’origine des améliorations de l’organisation du travail, des découvertes scientifi ues et des innovations techniques ( économies in rnes) ont convergé. Le fait que les rendements marginaux du capital soient constant ignifie que les écarts du taux d’épargne entre les pays se manifestent par des écarts de taux de croissance permanents entre ces pays. 2/3 les prolongements de Young 1928 YOUNG explique l’apparition d’une dynamique de croissance par la combinaison de trois mécanismes. – Accroissement du capital par tête en fonction de la dimension du marché. L a division du travail dépend de l’étendue du marché. Etendu du travail C] dimension du travail 0 économie interne et économie externe 0 gain de Productivité-û accroissement du revenu national 0 accroissement de l’épargne 0 hausse du apital par tête Û ( à nouveau) ETENDU DU MARCHE 2- Les rendements croissants ( éco internes et externes) qui résultent de la mécanisation et qui se traduisent par la distribution de revenus additionnels. – L’accroissement de la demande provoqué par l’apparition de ce surplus de revenus et par celle de nouveaux biens d’équipements et de nouvelles branches 1) Et 2) et 3) signifient que le processus de croissance est endogène et cumulatif. Chez Smith les gains de productivité se partagent uniformément entre les différents acteurs, classes de la société ( entre capitalistes, rentiers et salariés). La demande globale va devoir s’adapter aux accroissements de l’offre car ça répartition du revenu ne change pas. Hausse du taux d’épargne, gne constant, le stock de OF processus de croissance est endogène et cumulative.

EXEMPLE des économies du Nord pendant les trente glorieuses. Qu’est- ce qu’il va bloquer ce cercle vertueux ? Pourquoi cela ne continue pas ? Extension du marché va limiter la croissance. Le marché cesse de s’étendre, dans le cas où les besoins seraient saturés alors les économies cesseraient de croître. Hypothèse de Satiété des besoins qui mettrait fin à ce mécanisme de croissance. L’étendue du marché justifie pour certains pourquoi les activités de publicité sont si grandes dans nos économies ( ciblage des goûts, préférences du consommateurs… . selon Smith, un élément de blocage : effet de la division du travail : il s’inquiète sur le caractère aliénant du développement économique, des conséquences de la division. On a un progrès économique qui peut engendrer une souffrance morale une aliénation qui peur avoir un effet délétère. Inquiétude : problème de spécialisation. l_a réponse : c’est ? l’Etat ne contrecarré les effets inquiétants sur l’économie. Il faut ontenir les effets négatifs du développement économique.

Ce que les individus perdent , il faut que l’Etat compense par un système éducatif permettant de compenser ce manque. Etat va jouer un rôle de catalyseur à travers l’éducation . Il réagit entre la division du travail et Féconomie interne et économie externe. ( voir schéma) L’Etat ne peut pas intervenir dans le gain de productivité. 2/4 les blocages de la croissance. Chez Smith, s’il y a ralentissement éco, ce ralentissement est principalement d’origine exogène provoqué par des forces exogènes à l’économie CHAPITRE 3 : Mécanismes et blocages de la croissance 0 9