The Problem We All Live With
Plan : 1. Introduction 2. Développement : Description Analyses 3. Conclusion 4. Avis Comment Hauteur s’engage-t-il contre le racisme dans son Sni* to View œuvre ? The Problem We All L • Introduction De nationalité améric or 3 ockwell est né le 3 février 1894 à New York et est mort le 8 novembre 1978 ? Stockbridge, à l’âge de 84 ans. Il était peintre illustrateur et était influencé par Howard Pyle. Ses œuvres les plus réputées sont « The Problem We All Live With » et « Before The Shot « The Problem We All Live With » a été réalisé en 1964 pour le magazine
Look pendant le Mouvement des Droits Civiques. Développement : 1. Description : C’est une huile sur toile, qui mesure 91. 4 cm de haut sur 147. 3 cm de large[]. Il représente, Ruby Bridges, une jeune afro-américaine, âgée de six ans lors de cette peinture, alors qu’elle se rend dans une école distinguer l’injure raciale « Nigger » qui signifie nègre, négresse ainsi que « KKK » qui signifie Ku Klux Klan. Une tomate écrasée, jetée sur elle, est également visible. 2. Analyses : [l L’utilisation de la saturation guide le regard de l’observateur.
Elle st fondée sur la pureté de la couleur ; une teinte hautement saturée a une couleur vive et intense tandis qu’une teinte moins saturée paraît plus fade et grise. Cest ainsi que notre regard parcourt Pimage et analyse instantanément l’illustration : on part de A et on termine par D. Une petite fille escortée par quatre agents fédéraux attire immédiatement notre regard au centre du tableau. L’enfant est mise en valeur par sa petite taille, contrastant avec celle des agents qui, eux, sont grands mais aussi par sa couleur de peau noire tranchant fortement avec le blanc de sa tenue.
Cette fillette tient à la main ses affaires pour aller en classe : elle marche en regardant droit devant elle et semble déterminée. Cette petite fille n’est là que parce que la loi l’autorise désormais à fréquenter la même école que les enfants blancs. La loi qui semble être rappelée en plusieurs endroits du tableau par des touches de jaune : la règle de la fillette ainsi que les badges et les brassards des agents. De chaque côté du tableau, les 4 hommes, vêtus de costumes bruns ou gris, encadrent parfaitement la petite fille; ils sont ses ardes du corps.
Ils l’escortent jusque dans l’école car bien que la loi fédérale vienne de mettre fin à la ségrégation dans les écoles, les parents des enfants blancs ont du mal à acc vienne de mettre fin à la ségrégation dans les écoles, les parents des enfants blancs ont du mal à accepter cette règle. Ces agents incarnent donc la Loi et sont les symboles de l’institution. Le peintre n’en fait pas des héros ; l’héroïne c’est la petite fille. Ils marchent d’un même pas avec elle, ce qui donne au tableau un certain rythme et un certain mouvement.
Ils ont la fonction de protéger Ruby mais aussi celle de l’encadrer, de limiter son espace. On peut également voir une ligne au sol, à droite de Ruby. Elle nous indique un passage symbolique dans sa vie car elle vient de passer la ligne qui séparait les blancs des noirs. Paradoxe de la situation : ce sont des blancs qui garantissent sa sécurité mais qui en même temps l’enferment dans un espace restreint. Conclusion : Norman Rockwell n’est pas un peintre excessivement engagé. Il accompagne l’opinion. Cette œuvre publiée dans le magazine
Look en janvier 1964 est devenu un symbole de la lutte afro- américaine aux États-Unis dans les années 1960. Cette œuvre est un engagement majeur de Norman Rockwell dans les années 60, le combat pour l’égalité entre les Blancs et les Noirs fait rage et révèle au monde des personnalités comme Rosa Parks ou Martin uther King Jr. aujourd’hui citées comme exemple d’une lutte non-violente Avis : Heureusement que des personnes comme Norman Rockwell était là pour dénoncer cette ségrégation et donc pour tenter d’y mettre fin. Malheureusement, le racisme existe toujours.