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Afin de contrôler la démographie du pays, le gouvernement de la République populaire de Chine a lancé deux politiques majeures de contrôle des naissances : la politique du wan xi Shao (chinois . ; pinyin : wén xl shéo ; littéralement : « mariage tardif, naissances peu rapprochées et peu nombreuses »), lancée au début des années 1970 et la politique de l’enfant unique (iffJ / jìhuà shëngyù zhèngcè, « politique du planning familial La mise en place de la politique démographique extrême que l’on nomme la « politique de l’enfant unique » est quelque peu urprenante de prime abord.
En effet, la fécondité chinoise a fortement chuté entre 1970 et 1 978, passant de 5,75 ? 2,75 enfants par fem démographique préc cn efficace. Toutefois, e ais Sv. ige to la politique particulièrement –:nd particulièrement particulièrement élevée lors des années pro-natalistes, la densité du nombre de femmes en âge de procréer va progresser jusqu’au début des années 1990[4] et la natalité va donc demeurer très élevée pendant encore plusieurs décennies.
Dans un premier temps, l’instauration de la politique de l’enfant unique n’a pas onduit à une réduction du taux de fécondité ; au contraire, la baisse de la fécondité observée lors de la période précédente a marqué un coup d’arrêt.
Après une très légère reprise jusqu’? atteindre environ 2,8 enfants par femme au cours de la décennie 1980, la fécondité est repartie à la baisse au cours de la décennie suivante, puis s’est stabilisée aux environs de 1,6 enfants par femme[5],[6]. On peut noter que les pays voisins ayant adopté une polltlque mons autoritaire de réduction de la natalité ont aussi connu une baisse substantielle du taux de fécondité.