Tartuffe

essay B

Comment molaire a-t-il rendu cette scène comique ? Dans cette scène, il y a deux personnages de comédie : dorée et marine. marine est une jeune fille soumise, rocher par son père à épouser tartufe. Elle n’ aucun premier boy serra I empâta 22, 2011 AI pages l’extrait étudié de la pièce de molaire : tartufe ou pouvoir sur son père comme elle le rappelle : « Un père, je l’avoue, a sur nous tant d’empire » ; « C soie toi vie nées eau Contre un père absolu que veux-tu que je fasse ?

Elle explique de la sorte qu’elle ne peut rien faire contre la décision de son père. marine semble résignée mais cela montre une réalité du suivisme siècle : La fille ne peut pas discuter les volontés de son père. Ces pourquoi elle ne semble pas révoltée mais plutôt passive et le montre en osant : « Que je n’ai jamais eu la force de rien dire Elle paraît être un personnage timide et soumis. dorée est une servante énergique. Bien que n’étant qu’une domestique, elle est la confidente de marine, « T’ai-je pas là-dessus ouvert cent fois mon c?Ur ».

marine tutoie dorée et celle-ci la vouvoie, pourtant, la servante est loin d’être une domestique très réservée. Cela donne un aspect comique de la scène : dorée n’ pas sa langue dans sa poche : « Et que si tartufe est pour lui si charmant,[… ] Il le peut épouser sans nul empêchement Ces phrases comiques rappellent que la volonté du père est insensée et édicule. AI y a, dans cette scène, une sorte de combat entre l’action et la passivité. dorée parle beaucoup plus que sa maîtresse dans cette scène, c’est elle qui dirige la discussion, qui l’oriente.

Cette façon de faire lui donne plus de pouvoir et d’importance que marine qui est plus passive. La domestique lui reproche en effet son mutisme, sa soumission. Elle emploie l’expression : « Avez vous donc perdu, dites-moi, la parole ». Elle pousse la jeune fille à agir, n’hésitant pas à la gronder et perdu, dites-moi, la parole Elle pousse la jeune fille à agir, n’hésitant pas à la gronder et à remettre en cause sa assouvit : « Sans que du moindre mot vous l’ayez repoussé!

Face à l’inaction de marine, dorée fait preuve de bon sens, remettant en cause l’autorité et surtout le raisonnement paternel d’rognon. Dans la réplique « Et faut-il qu’en ceci je fasse votre rôle? », dorée énonce les arguments qu’aurait dû prononcer marine. Ces en employant les mots « c?Ur », « aime » et « plaire » que dorée parle d’un mariage d’amour mais avec les mots « que », « non pas », « qu’étant celle » et « c’est à vous » elle affiche son véritable avis et marque une opposition entre le ère « lui » et la fille « vous ».

dorée rappelle à quel point la décision de son père est insensée, que le mariage doit être une question d’amour entre les deux jeunes gens et que les goûts du père n’avaient rien à voir avec cela : « Vous vous mariez pour vous, non pas pour lui » et « C’est vous, non à lui, que le mari doit plaire Dans cette scène, dorée a un rôle particulier. Elle veut faire réagir sa maîtresse et pour cela, elle sait trouver les mots justes.

A partir du moment où elle dit « Mais raisonnons », avec beaucoup de tact, elle pose les questions appropriées qui touche marine. Cela montre que la servante s’approche progressivement de son but : lui faire se rendre compte quel n’aime pas tartufe mais avaler. Elle répète une même question de manière différente : « L’ compte quel n’aime pas tartufe mais avaler. Elle répète une même question de manière différente : « L’aimez-vous, je vous prie, ou ne l’aimez-vous pas ? » ; « Et si c’est tout de bon que cet amant vous touche ? ; « Enfin, vous l’aimez donc ? ». Par ce procédé, elle s’assure des sentiments de marine et en posant plusieurs fois de suite la même question, elle provoque des réponses sincères pour qu’elle e puisse douter de son amour. Malgré sa timidité et ses réserves, marine se montre très ferme sur un point : l’amour qu’elle a pour avaler. Il ha donc une différence entre ses réponses généralement courtes et celles qu’elle fait à propos de son amour par ces expressions : « Ah!

Qu’envers mon amour ton injustice est grande », « dorée ! Me dois-tu faire cette demande ? T’ai-je pas là-dessus ouvert cent fois mon c?Ur » et « Et sais-tu pas pour lui jusqu’ va mon ardeur ? Alors que dorée peut s’enorgueillir d’avoir poussé marine à exprimer la réalité de son amour pour avaler, été dernière va donner clairement son opinion sur la situation. Elle va alors dresser le portrait des us et coutumes de l’époque en matière d’amour.

La jeune fille a un devoir de réserve sur l’expression de ses sentiments, elle parle « de la pudeur du sexe et du devoir de fille ». Comme les filles de son époque, marine n’envisage pas de divulguer son amour au grand jour de par sa timidité liée son éducation : « Et veux-tu que mes feux par le monde étalés… Selon marine timidité liée à son éducation : « Et veux-tu que mes feux par le monde étalés… ».

Selon marine se serais à avaler de mander sa main à son père : « Et n’est-ce pas à lui de m’obtenir d’un père ? De par cette phrase, elle se dédouane et se disculpe des accusations de passivité de dorée. Là où le raisonnement de marine trouve ses limites, c’est en cas d’échec de la démarche de avaler, elle envisagerait de se suicider. Cela n’est pas une option possible aux yeux de dorée qui va réagir vivement.

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dorée va s’efforcer de donner un aperçu de la vie que marine pourrait avoir en la compagnie de son époux tartufe : une petite vie de bourgeoise de province, médiocre et ennuyeuse à souhait. marine est horrifiée par été perspective au point de demander grâce à sa servante qui obtient alors son attention. Son but est atteint. Elle va tourner le couteau dans la plaie jusqu’ ce que l’étroitesse d’esprit de marine se brise laissant la place au projet de dorée.

Pour en revenir, après cette analyse générale, à la question principale , il y a, dans cette scène, de nombreux procédés comiques tels que le comique de situations qui se manifeste plus spécialement lorsqu’ personnage se trouve dans une posture inhabituelle voir absurde ou embarrassante, l’ironie qui désigne un décalage entre le secours et la réalité, entre deux réalités ou plus généralement entre deux perspectives, qui produit de l’incongruité, le comique de mots qui réside dans les jeux de perspectives, qui produit de l’incongruité, le comique de mots qui réside dans es jeux de mots, mais aussi d’images amusantes, de double sens et les personnages comique où l’amusement réside dans la personnalité, les manières, le phrase, les défauts et les manies des personnages. Certaines phrases de ce texte suivent un protocole comique parmi ceux cités si dessus Les grands principes de l’ironie sont ici respectés. Ils visent choquer ou agacer les destinataires du discours pour les faire réfléchir ou simplement réagir, tout en amusant les personnes indirectement concernées. dorée par ces phrases : « Et que si son tartufe est pour lui si charmant, Il e peut épouser sans nul empêchement. » insulte le père et bouscule la fille dans ses convictions du père intouchable.

Et du sort tragique auquel se destine marine, dorée fait une boutade : Fort bien : c’est un recours où je ne songeais pas ; Vous n’avez qua mourir pour sortir d’embarras ; Le remède sans doute est merveilleux. Faisant de l’ironie, une forme de démonstration par ‘absurde, le suicide étant qui plus est dans la religion catholique considéré comme un aller simple en enfer. En guise d’introduction à la tirade : du vers : « Non, non, je ne veux rien. » Au vers « Vous vivrez trop contente avec un tel mari jalonnée d’ironie », dorée commence par dire avec persuasion l’inverse de ce qu’elle pense « Non, non, je ne veux rien. Je vois que vous voulez être à Monsieur tartufe » ; dépeigne pense « Non, non, je ne veux rien.

Je vois que vous voulez être à Monsieur tartufe » ; dépeignant le portrait de tartufe en transformant ses défauts en d’improbables alités N’est pas un homme, non, qui se mouche du pied, dorée amplifie ainsi la souffrance de marine en attribuant de compliment du vers 644 aux vers 647 pour que cette vision surréaliste du personnage la choque au point de susciter le rejet. dorée transforme l’ironie en outil de provocation car dans les phrases: « Quelle allégresse aurez-vous dans votre âme, Quand d’un époux si beau vous vous verrez la femme ! » Elle met en doute l’amour de marine envers avaler, pour forcer encore ici une réaction de marine qui se voit dégoûtée à l’idée d’un époux si laid dans les fa?tes. Le comique de situation quant à lui vise à créer des situations cocasses et improbables à l’inverse des conventions.

La réaction du spectateur sera la surprise, et de cette surprise naîtra a prise de conscience de l’humour sous- agacent. Pour le destinataire, un processus légèrement différent, puisque, après la surprise, il y a une forme de provocation dans ces conventions bousculées. Ainsi dorée prend le rôle de la maîtresse par cette phrases : « Et faut-il qu’en ceci je fasse votre rôle ? » devient presque plus importante que marine puisque plus réactive par la suite. Ces inversions des rôles peu appréciée l’époque par les puissants personnages. A certain moment, marine axe rôles peu appréciée à l’époque par les puissants personnages. A certain moment, marine exagère et dramatise la situation, rappelant au passage les précieuses ridicules.

Elle donne à la pièce un élan dramatique par son expression . « De me donner la mort si l’on me violente. » mais elle n’en viendrait probablement pas aux actes de par son manque de personnalité et de courage. Cette distorsion entre sa volonté et ses capacités créent le ridicule d’où un comique de situation. Je ne compatis point à qui dit des sornettes Et dans l’occasion mollit comme vous faites. dorée gronde marine mais seulement c’est vraiment impensable que par ces expressions : « Je ne compatis point à qui dit des sornettes Et dans l’occasion mollit comme vous faites. », une subordonné ai une relation telle avec son maître.

marine supplie dorée avec les mots : « Ha ! Cesse, je te prie, un semblable discours, Et contre cet hymen ouvre-moi du secours,C’en est fait, je me rends, et suis prête à tout faire. ». Au point que là encore, c’est la servante qui prend le dessus sur sa maîtresse. Couvrant de ridicule la pauvre marine désemparée. dorée donne une sort de punition à sa maîtresse. Dominant la discussion, dorée s’improvise même juge par cette punition : « AI faut, pour vous punir, que cette affaire passe. Point : tartufe est votre homme, et vous en tâterez. », qu’elle administre sans fléchir. Tels les coups de bâton sur les dos de gèrent dans les fourberies de sciais, sans fléchir.

Tels les coups de bâton sur les dos de gèrent dans les fourberies de sciais, ces phrases successivement accablent la pauvre marine qui finit par fléchir et se soumettre aux bons soins de dorée dorée accentue le côté ennuyeux de la vie futur de marine si elle épouse tartufe. De phrase en phrase, elle enfonce le clou, toujours le même car du vers : Non, il faut qu’une fille obéisse à son père, au vers ; Si pourtant votre époux.

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