tarkovski
Le cinéma d’Andrei Tarkovski Avec sept long-métrages, Tarkovski parvient a marquer Ihistoire du cinéma. Sa filmogr avoir du monde. Tou seulement ce dernie En quête de a prése constat de son absen or4 que l’on peut ei est un poète, douloureux ki filme la Terre et non le Ciel. La scène la plus d monstrative en la matière se situe certainement dans le prologue d’Andrei Roublev, lorsqu’un homme défie les lois physiques par le biais d’une montgolfière fumante. Seulement cette homme s’écrase sur le sol, ici, Tarkovski cherche a montrer que l’homme essaye d’échapper a sa ondition d’origine.
Par le biais de ces films, Tarkovski se montre philosophe. Ainsi nous allons vous falre part ici, de sa façon de penser. «Stalker» est l’un des plus beaux films de l’histoire du cinéma. Tarkovski parvient sans peine a nous transporter par la beauté qu’offre ce film. II est difficile d’analyser un film aux réponses inconnues. «Stalker» n’est pas le premier film de science fiction « 2001 L’Odyssée de l’espace » Soviétique. « Stalker » s’ouvre dans un bar accompagné d’une musique douce. La première ainsi que la dernière partie du film est ournée dans un noir et blanc très éclalré.
L’histoire du film est simple, il existe une «Zone» où chaque souhait peut être réalisé, il suffit d’atteindre la chambre. Seulement, il est très difficile d’y accéder, la zone est entourée de policiers. En raison de cela, il existe des stalkers. Un stalker c’est quelqu’un qui connaît « la Zone » et est payé pour faire passer les personnes. Dans le cadre du film, le stalker va faire passer un écrivain ainsi qu’un professeur de chimie. Au long du film, les trois personnages vont se découvrir et se poser a eux même des questions sur la ie.
Ce qui est très habile de la part de Tarkovski c’est de nous garder attentif jusqu’à a fin du film. En dépit du fait que le film est très lent comme toute sa filmographie d’ailleurs, «Stalker» ne manque pas d’opérer un fructueux croisement, comme souvent lorsqu’il s’agit de science-fiction, avec le film d’action. C’est tout particulièrement le cas lorsque le stalker et ses deux compagnons, au moyen d’une jeep, à la fin d’un prologue en noir et blanc, arrivent a accéder a « la Zone » a la suite d’une fusillade des policiers.
Lorsque les trois personnages arrivent a pénétrer dans la zone, le noir et blanc passe a la couleur. Néanmoins, bien qu’il se fasse volontiers contemplatif dans de longs plans (p PAG » OF d a la couleur. Néanmoins, bien qu’il se fasse volontiers contemplatif dans de longs plans (parfois fixes), Tarkovski continue de distiller tension et suspense. Ainsi le spectateur reste captivé tout au long du visionnage. plusieurs sentiments sont ressentis à travers les yeux du stalker, on passe rapidement de la nervosité a la peur. une des conversations les plus marquantes u film reste celle de la quête du bonheur.
Les trois hommes révèlent qu’ils ne sont pas heureux et qu’il n’ont jamais connu un homme ayant atteint le bonheur. « Stalker » parvient de la plus simple mais de la meilleure manière a séparer « la Zone » de la Terre. Le contraste entre le noir et blanc et la couleur est magnifique. Le projet de Tarkovski est le même que celui des surréalistes. Tarkovski est un cinéaste mystique dans le sens où il cherche à nous révéler le caractère mystérieux du monde et de notre existence, caractère ystérieux que la science et la raison ont pu voiler un temps, mais qu’elles ne pourront jamais élucider.
En ce sens, on peut dire que le cinéma de Tarkovski est un cinéma dé-réaliste. Tarkovski cherche à déréaliser le monde pour en retrouver la réalité la plus fondamentale, celle du mystère inhérent à l’existence et qui est à l’origine de notre besoin naturelle de métaphysique. Il pose les questions fondamentales a l’être. Il décrit le monde selon son univers, ses pensées. Son œuvre est un perpétuel décalage avec la réalité, le réalisateur