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La Guerre des mondes (The War of the Worlds) est un roman de science-fiction écrit par H. G. Wells, publié en 1898. Cest l’une des premières œuvres qui confronte l’humanité et une race extraterrestre hostilel, et le reflet de l’angoisse de l’époque victorienne et de l’impérialisme.

La Guerre des mondes a été adapté en feuilletons radiophoniques (dont une version de Orson Welles qui défraya la chronique en 1 938), jeux de rôle, bande dessinée ainsi que deux long-métrages (le premier a été réalisé par Byron Haskin en 1 953 et le second par Steven Spielberg en Par delà le gouffre e l’espace, des espri sont à ceux des bête OF4 et impitoyables, cons re? _ . Swip next page dressaient lentemen de notre monde ce que les nôtres lects vastes, calmes c des yeux envieux, pour la conquête 1894.

Des astronomes sont témoins d’étranges activités à la surface de Mars, comme des flash ou des explosions de gaz incandescent. L’étonnant phénomène se répète pendant les dix nuits suivantes puis cesse. Des météores venant de la planète rouge se dirigent bientôt vers la Terre. Le premier s’écrase en Angleterre, dans le Surrey : il s’agit d’un objet ayant la forme d’un ylindre de vingt-cinq à trente mètres. Les curieux se rassemblent autour du cratère, mais ils sont bientôt tués par une machine gigantesque sortie du cylindre.

Par la suite, les autres cylindres envoyés Sv. ‘ipe to envoyés depuis Mars s’écrasent et libèrent d’autres engins mécaniques contrôlés par des créatures tentaculaires. Les tripodes, armés d’un Rayon Ardent et d’un gaz toxique appelé Fumée Noire (Black smoke), se dirigent vers Londres en désintégrant tout sur leur passage. Carmée britannique réplique. Mais rapidement, la lutte tourne à l’avantage des envahisseurs.

Les populations terrifiées fuient cet ennemi implacable qui pompe le sang des malheureux qu’il capture et sème partout une mystérieuse herbe rouge qui étouffe toute végétation. Commence alors pour le narrateur, une fuite dans un monde ravagé, où il ne croise plus que des individus isolés, à la limite de la folie. Puis, il se rend compte que les martiens ont soudain cessé toute activité : les microbes terriens, auxquels ils n’étaient pas habitués, les ont exterminés.

Genèse et contexte[modifier modifier le code] Les canaux de Mars[modifier I modifier le code] Comparaison entre la Terre et Mars ? partir de la fin du XIXe siècle, la croyance en l’existence de canaux martiens et de planètes habitées marque l’imagination populaire. En 1877, l’astronome Giovanni Virginio Schiaparelli, directeur de l’observatoire de Milan, observe la présence de très grandes traces rectilignes sur la surface de la planète Mars. Cette découverte ne fait cependant pas l’unanimité.

Percival Lowell, un millionnaire, décide de se consacrer exclusivement à l’étude de la planète rouge et fonde en 1 894 un observatoire dans l’Arizona avec sa fortune personnelle. En 1900, il a référencé pl 2 894 un observatoire dans l’Arizona avec sa fortune personnelle. En 1900, il a référencé plus de 400 canaux bien trop rectilignes, selon lui, pour être des formations naturelles. Lowell est bientôt persuadé que Mars abrite une civilisation avancée luttant contre une Importante sécheresse2. H. G. Wells s’établit en 1895 dans le Surrey avec sa femme.

Il passe une grande partie de ses journées à écrire et à se balader dans la campagne. Au cours de l’une de ces balades, Wells et son frère discutent à propos de la possibilité de l’arrivée d’êtres venus d’une autre planète. La discussion fait germer dans la tête de l’écrivain une idée, bientôt nourrie par des articles sur les fameux canaux de Mars3. En 1896, Wells, qui suivait de très près les avancées scientifiques de son époque, publie Intelligence on Mars, où il couche sur papier ce qui va devenir La Guerre des mondes.

L’auteur suggère que les Martiens sont attirés par la Terre car leur propre monde, très ancien, est asséché et mourant4. Colonialisme[modifier modifier le code] Dans La Guerre des mondes, une forme de vie extraterrestre venant de Mars attaque Londres. Nous sommes à la fin du XIXe iècle et l’Empire britannique, l’ensemble territorial composé des colonies, protectorats, mandats et autres territoires gouvernés par le Royaume-Uni s’étend sur une grande partie du globe et ne connaît pas d’adversaire.

Wells bouleverse cette conviction en réduisant cet empire en ruines, anéanti par une plus grande puissance. Les Martiens s’imposent comme une « race superieure »5. Ad 3 par une plus grande puissance. Les Martiens s’imposent comme une « race supérieure »5. Adaptations[modifier modifier le code] Bande dessinée et illustrations[modifier I modifier le code] es premières éditions illustrées sont signées Warwick Goble Pearson’s Magazine, 1898) puis Henrique Alvim Corrêa (L. Vandamme, Bruxelles, 1906). En 1946-1947, Edgar p.

Jacobs réalise des illustrations au lavis de La Guerre des mondes dans les pages du Journal de Tintin. Un album sorti aux éditions Dargaud en 1986 reprend ces illustrations. Le comics Killraven s’inspire directement de La Guerre des mondes replacée dans un contexte moderne. La seconde mini-série de La Ligue des gentlemen extraordinaires se déroule à l’époque de La Guerre des mondes et en offre une vision alternative. War of the Worlds, une bande dessinée écrite par Ian Edginton et essinée par D’Israeli aux éditions Kymera sous le titre La Guerre des mondes.

Romans[modifier modifier le code] En 2003, Jean-Pierre Guillet a proposé une suite à La Guerre des mondes, La Cage de Londres6. Dans ce roman, quelque temps après avoir échoué, les Martiens récidivent et, mieux préparés, vainquent. Depuis lors, ils se nourrissent du sang des humains parqués dans de gigantesques enclos. Le roman La Machine à explorer l’espace de Christopher Priest s’inscrit dans la continuité de La Guerre des mondes et de La Machine à explorer le temps de Wells. Radio[modifier I modifier le code] 4