Sunday bloody sunday – u2 (histoire des arts)

essay A

Histoire des arts. Fiche résumé : IJ2 – Sunday Bloody Sunday Introduction : présentation générale de l’œuvre. Nature et genre : chanson de rock. Nom : Sunday Bloody Sunday. Nom de l’album associé et date de sortie : 3ème single de l’album « War» (CD), sortl en février 1983. Le single est sortl après l’album, en mars. 1er single : New Year’s Day (janvier). 2nd single : Two Hearts Beat as One (mars). Durée : 4min34 ors Auteur des parole Sni* to View groupe) Auteur de la chans Biographie du gro s deux membre du landais de rock formé en 1976. Il est com-posé de Bono (Paul Hewson) au chant,

The Edge (Davld Evans) à la guitare, au piano et au chant, Adam Clayton à la basse et Larry Mullen à la batterie. Le groupe se forme dès le lycée. Il s’appelle au départ le « Larry Mullen’s Band », et après avoir changé de nom plusieurs fois, s’est définitivement rebaptisé « LJ2 » en référence au modèle de l’avion américain qui a été abattu en URSS quelques jours avant la naissance de Bono. Cest avec son troisième album War qui parait en 1983, que le groupe obtient son premier grand succès, et acquiert une renommée internationale.

C’est dans cet album que le groupe l_J2 prend ouvertement position s SWipe page sur des sujets politiques. Contexte : écrite suite au Bloody Sunday ou Dimanche Sanglant du 30 janvier 1 972 qui s’est déroulé à Derry en Irlande durant le conflit nord-irlandais. Première partie : description et analyse. Le morceau commence par une intro de batterie : ce thème Mthmique est repris tout au long de la chanson. Il rappelle les roulements de tambours militaires joués pendant les défilés. Vient ensuite le riff de la guitare qui est repris tout au long de la chanson.

Rythme : binaire (4/4) Caractère : militaire, énergique, puissant, dynamique. Nuance : évoluent entre mezzo forte et forte. Tempo : modéré. Parties : 1 refrain répété 4 fois, 3 couplets, 1 solo de guitare et 1 pont (le pont désigne une partie dont les accords se différencient des accords principaux. On peut le considérer comme une petite chanson dans la chanson même, c’est une transition entre deux parties. ) Instruments utillsés . guitare, batterie, violon électrique, basse. Voix : ligne mélodique variée mais agréable, facilement chantable et marque les esprits.

Evolue dans la tessiture la plus onnue, c’est-à-dire baryton. Description de l’affiche : représente un petit garçon avec une blessure à la bouche. Type de musique : rock, à caractere engagé. Description par partie : Le 1er couplet Bono semble dégoûté par ce qu’i caractère engagé. Bono semble dégoûté par ce qu’il voit aux informations, il ne peut rester insensible et impuissant (« i can’t believe the news today, canit close my eyes and make it go away »). Le 2eme couplet Le ton se durcit.

Bono y décrit un champ de bataille (« broken bottle under children feet »), des corps gisent sur le sol (« body ccrass the dead en street ») et il crie sa colère (« i put my backup against the Wall »). Solo de guitare Le solo est très original par sa construction. Il ne reprend pas la ligne mélodique du morceau mais emprunte plutôt une technique propre à la musique irlandaise. (Technique du bourdon) Le pont Juste après le solo arrive une parenthèse. Bono demande d’arrêter de pleurer (‘Wipe your tears away »), preuve que la guerre n’est pas une fatalité et qu’il faut garder espoir envers l’avenir. eme couplet Bono y crltique les médias qui nous montrent la violence au uotidien et la banalise : ils finissent par rendre difficile le discernement entre la fiction et la réalité et la rende banale au point qu’elle ne choque presque plus (« and it’s true we are immune when fact are fiction and tv reality ») alors que des gens pleurent et de nombreuses personnes risquent encore de mourir, parfois dans une totale indifférence ( » pleurent et de nombreuses personnes risquent encore de mourir, parfois dans une totale indifférence (« and todays the millions Cry, we eat and drink while tomorow they die »).

Mais la bataille réelle ne fait que commencer : pas celle qui va voir la victoire des atholiques ou des protestants mais celle qui verra la victoire de jésus « to claim the victory Jesus won » (les irlandais catholiques sont très croyants). Deuxième partie : interprétation. Contexte L’Irlande du nord est partagée entre les protestants, proches de la couronne Anglaise, et les catholiques qui veulent leur indépendance.

Les paroles de la chanson décrivent les événements qui se sont déroulés à Derry le 30 janvier 1972, connus sous le nom de Bloody Sunday : treize manifestants pacifiques, dont sept de moins de 19 ans, furent tués par des tirs de l’armée britannique, ? ‘issue d’une marche réclamant le respect des droits civiques en Irlande du Nord et la fin des pratiques discriminatoires des pouvoirs locaux envers les catholiques au niveau politique, social et économique.

Il y eut un quatorzième mort décédé quelque mois plus tard de ses blessures. LJ2 a voulu dénoncé la violence de cette opposition, sans toutefois prendre de parti. Cette chanson est plutôt un message de paix. Analyse musicale : La musique dans cette chanson sert avant tout PAGF message de paix. La musique dans cette chanson sert avant tout à mettre en valeur e texte de la chanson, et plus particulièrement son message.

Le rock permet par nature de mettre en valeur certains aspects du texte, en commençant par la formation instrumentale, qui est généralement simple à retenir, pour que l’auditeur ayant intégré la musique, se concentre sur les paroles. La guitare joue un riff, élément propre au rock. Ce motif sans cesse répété durant toute la chanson va pourtant disparaître ? certains moments clés, notamment sur le refrain. Cet effet de rup-ture mettra alors en valeur le texte, qui justement s’adresse ? l’audlteur : « combien de temps devrons-nous chanter cette chanson ?

La musique interpelle l’auditeur en même temps que la question qui se repose incessamment dans ce refrain. Le premier instrument qui rentre n’est autre que la batterie, rappelant les rythmes militaires. Le mot « long » (à la fin du refrain « How long ») est chanté sur une valeur de temps plus longue, comme un sanglot, pour illustrer le sens du mot, et donc accentuer le regret contenu dans cette question. Tous ces détails musicaux contribuent au message de pax porté par ce texte, et servent à le faire passer à l’auditeur.