Sujet d’invention: les misérables

essay A

Petit-Gervais arriva essoufflé chez les gendarmes. Il courrait sans s’arrêter jusqu’à la gendarmerie et se mit à raconter son histoire au premier gendarme qu’il vit. «Messieurs, un homme m’a volé ma pièce de quarante sous! » Le petit savoyard respira un grand coup et tenta d’expliquer son histoire de se rappeler ce qu’il venait de voir. Donc je rentrais chez moi et je décidais de passer par un sentier pour raccourcir mon trajet.

J’étais heureux car la journée fut articulièrement belle. J’eus deux cheminée a ramoner! Ce n’est pas tous les jours qu’une occasion comme celle-ci se présente. Je m’amusait à faire s main. J’étais particuli Mais par mégarde je que Je n’avais pas vu il ne bougeait pas. Ce p g es sur le dos de ma e de quarante sous! u pied d’un homme au pied d’un arbre, son pied sur mon trésor. Je lui demanda de me la rendre, mais je pensais qu’il devait dor Swige to next page dormir, car il ne comprenait pas ce que je lui demandait.

Au début e ne voyais pas son visage, il portait une casquette sur sa tête. ne grande barbe couvrait presque tout son visage. Il s’est levé U et j’eus très peur car il était très grand et très fort. Il avait des mains énormes. II portait une blouse et un pantalon tout abimé. Je pensais qu’il devait dormir dans les bois ces derniers temps. Il me demandait de partir, mais j’insistais d’avantage. Je n’avais pas l’intention de partir sans mon trésor. J’eus l’impression de faire face à un ours!

J’avais quand même tenté de bouger son pied, j’eus peur et je me mis à pleurer. C’est alors qu’il brandit un bâton et me dit de me sauver. Jamais auparavant, j’eus entendu une voix comme celle-ci. Elle était si forte que j’ai encore la sensation de l’entendre dans ma tête! Je croyais que ma dernière heure arrivait et c’est alors que je pris mes jambes à mon cou et me voilà devant vous. Il faut retrouver cet homme, c’est un animal sauvage et dangereux. Il peu certainement tuer quelqu’un, j’en suis sur.