Suis je responsable de mon existence?
Suis-je responsable de mon existence? Au sens usuel, l’existence représente la vie que l’on mène. Cependant, philosophiquement parlant, cette notion est intimement liée au concept d’essence dont elle se distingue du fait qu’elle représente l’action d’être et non la nature de l’être. En ce sens, l’attribution de responsabilité consiste pour un individu à répondre de ses actes et à les assumer. Dans cette optique, pouvons-nous réellement être garant de notre être? Sommes-nous créateurs de notre personne? Tenons-nous les commandes en ce qui concerne notre devenir?
N’existe-t-il donc pas des facteurs extérieurs tout aussi répréhensibles – si faute il ha- capables de mouvoir les actes de quiconque? Au sens courant, la responsabilité peut prendre deux dimensions. En effet, la notion de responsabilité peut être définit comme la capacité, le pouvoir de prendre des décisions par soi-même. Dans ce cas, répondre à la problématique d’une responsabilité de l’homard-ne sur son existence serait d’éclaircir la question suivante: l’homme est-il capable de prendre des décisions par lui-même?
De ce fait, il est possible de se pencher sur l’aspect totalement argotique de la responsabilité: l’homme peut choisir de se lever le matin à haï pour se rendre au travail, ou, il existence? Premier bu aune parer SI, 2009 | 8 pages problématique d’une responsabilité de l’homme sur son peut faire le choix de se laisser vivre, en dépit des tracas économiques et sociaux liés à ce geste tels swaps toi vie nixe page que les problèmes d’appartenance à la société, la précarité financière, etc..
De plus, dans une société comme la notre, l’homme détient le droit de vote, ce qui lui permet d’émettre son opinion au sujet du système qu’il affectionnerait le plus. Cependant, d’un point de vue strictement moral, le terme de responsabilité représente l’obligation de chacun de répondre de ses actes, ou encore l’obligation de réparer le préjudice causé à autrui, soit par son propre fait , soit par le fait de ceux qu’on doit surveiller. En effet, les parents sont tous responsables de leurs enfants jusqu’ leur majorité.
De cette manière, pendant cette période, tout acte répréhensible de la part de l’enfant sera reproché aux parents puisqu’ étaient censés veiller sur lui. En d’autres termes, il est question de « classer » l’homme home un être responsable de quelque-chose (de son rôle de parent ou de maître d’école au sein de la société) et autonome de tous ses faits et gestes, en gardant bien en tête ses facultés de « libre arbitre ». Il peut, techniquement parlant, assouvir les moindres de ses caprices mais sa liberté se doit -d’un point de vue juridique- « s’arrêter quand elle empiète celle des autres ».
A partir de cette capacité d’agir selon ses envies, dessertes estime que l’introspection, le doute du pour et du contre constitue une décision à part entière. En effet, l’homme peut « décider d’hésiter » puisque cela induit qu’il fait implicitement le choix de la réflexion l’homme peut « décider d’hésiter » puisque cela induit qu’il fait implicitement le choix de la réflexion. La citation du philosophe « je pense donc je suis », illustre bien cette thèse. En effet, par exemple, il peut agir de manière immorale en se voilant la face, mais ceci constitue juridiquement parlant un délit.
Mais il existe parfois des délits qui ne sont pas reconnus aux yeux de la loi mais qui sont tout de même répréhensibles. Par exemple, je peux soir de porter des chaussures confectionnées en thaïlandaise -sans doute par un enfant- dans le soucis du prix ou je peux acheter une autre paire de chaussures -certes plus chère- mais entièrement créée en italien ou en France, ce qui me laisse la conscience tranquille. De ce fait, par le biais de boycotts ou autre, nous pouvons nous avérer être responsable du fonctionnement de l’humanité toute entière, et changer énormément de choses.
Dans un autre contexte, l’homme est de nos jours devenu responsable de son environnement. Effectivement, l’éthique est de nos jours de plus en plus écologique esquissa partir du constat de la dégradation de notre costumée liée à notre insouciance, on est désormais de plus en plus mobilisé en ce qui concerne l’entretien de notre planète (accords de cote, tris des ordures ménagères… etc.). Néanmoins, en ce qui concerne sa propre existence, l’homme peut constituer, au sens philosophique du terme, un spectateur.
En effet, il n’ pas choisit à proprement parler d’être ce philosophique du terme, un spectateur. En effet, il n’ pas choisit à proprement parler d’être ce qu’il est au moment présent. Il est né indépendamment de sa propre volonté et présente le fruit de l’union charnelle de ses deux parents, point. Ces deux même géniteurs n’ayant pas choisi cet enfant en particulier avec telle ou telle spécificité. Sa propre existence lui échappe, d’autant plus qu’il se retrouve complètement ancré dans un univers.
De plus, l’affirmation d’une responsabilité de son existence ne constitue-t-elle pas un leurre lorsque l’on prend en compte des facteurs extérieurs? En effet, est-ce-que ‘homme tient réellement les commandes de son avenir? N’est-il pas baigné dans un contexte socio-économique le poussant à agir et à penser e la même façon que le dictent son temps et son cadre de Prenons l’exemple de certaines choses qui nous sont hors de contrôle; la maladie, la mort, nous démontrent que l’homme et parfois incapable de prendre le dessus sur son existence.
En effet, lorsque personne se retrouve malade d’une maladie incurable telle que le SODA (bien qu’il apparaisse souvent à la suite d’actes dépourvus de conscience), l’homme se retrouve complètement impuissant face à son destin et voué à la mort prématurée. De même qu’ l’échelle de l’costumée, face aux catastrophes naturelles, l’homme se retrouve empiétement réduit à sa petite force face au géant naturel. AI est complètement inapte à un quelconque contrôle force face au géant naturel. AI est complètement inapte un quelconque contrôle et se retrouve à craindre pour sa vie et celle de ses proches.
Par exemple, le taisant à mâle aux maladives du 26 décembre 2004, de part son bilan très lourd illustre bien que l’homme ne peut rien contrôler si ce n’est à sa propre échelle. Dans un contexte moins pesant, celui de la société contemporaine, où la monopolisation, l’information et la communication règnent comme émettrices de pensées, de odes vestimentaires, et surtout de modes de vie, l’homme est toujours « victime de son temps ». En effet, ne sommes-nous pas ancrés dans un contexte idéologique et politique nous influençant de part la publicité dans des directives qui nous sont hors de contrôle?
Les moyens de communication -devenus indispensables dans une société comme la notre- sont perçus de plus en plus comme étant des facteurs de pensée manichéenne , où il existe d’une part, a façon idéale de se servir de « son libre arbitre »- c’est-à-dire l’élite de la réussite, le « rêve américain de ‘existence » prônant les valeurs de travail et de prospérité – et d’autre part, l’anticonformisme – « le mal incarné » – et seulement partiellement accessible puisqu’ constitue une marginalisions de l’individu (d’où l’exemple choisit au préalable de l’homme refusant de se lever tôt le matin pour aller travailler), cette même marginalisions partiellement accessible bisexuelle dicte un mode de vie insupportable entraînant I marginalisions partiellement accessible bisexuelle dicte un mode de vie insupportable entraînant l’homme à sa perte (exemple des SUD) puisqu’ ne « rentre pas de le loue De surcroît, de nos jours l’homme est spectateur des images véhiculées par la télévision, ou la violence, le sexe, le « mal » est souvent impunément étalé et de ce fait banalisé. En effet, les stéréotypes se forment de manière assez répétitive…
Prenons l’exemple de films ou de séries télévisées diffusés sur des chaînes de télévision ou à des tranches horaires accessibles à tous, nous permettant de suivre le quotidien -certes, fictif- d’un tueur en série, où le narrateur, ce « je » si proche du téléspectateur, conte son ode de fonctionnement (comment, pourquoi, où et qui il tue). Nous pouvons effectivement faire le constat qu’une âme faible, sensible et facilement amadouée se montrera compatissante et complètement endoctrinée par ce quotidien expliqué de l’autre côté de la vision globale « on ne tuera point », ou l’on s’offusque de voir aux informations que l’on a retrouvé une jeune personne disparue depuis des mois dans des sacs poubelles, alors que paradoxalement, on « approuve » la violence télévisée et on s’en abreuver. Incontestablement, la vision manichéenne de la spontanéité est applicable sur toutes les sociétés, toutes époques.
En effet, nous pouvons voyager à travers le temps et revenir une soixantaine d’années en arrière, juste à la période où la France était d temps et revenir une soixantaine d’années en arrière, juste à la période où la France était dite « de Vichy » et que la propagande a réussit à convaincre un grand nombre de citoyens français d’un pseudo- « machiavélisme inné » du peuple juif. Sommes nous en droit -à notre époque et au sein de notre société ignorante car complètement éloignée et routage de toute guerre et terreur dictatoriale- de juger nos aïeuls responsables d’avoir tolérer ou effectuer cette persécution de la communauté juive ? Ou devons-nous prendre en compte la possibilité qu’ils constituaient les proies d’une propagande sans merci instaurée par la terreur régnante liée à l’emprise des milices nazies sur les pope ôtions?
De ce fait, la célèbre phrase de Jean Paul Sarthe stipulant autrui comme étant l’enfer (« l’enfer c’est les autres ») complète la thèse d’une incapacité de l’homme à prendre totalement sa vie en main puisqu’ se retrouve miaulement influencé par son univers. Cette problématique, d’un point de vue cartésien, serait – sans vouloir prêter au grand dessertes une réflexion qu’il n’aurait pas eut- vite élucidée puisqu’ considérait le choix de douter comme une directive à part entière. A partir d’une réflexion, du choix de l’introspection, la désobéissance d’un point de vue moral et éthique se serait imposée de force.