Strategie

On a un développement concernant la sensibilité « aux arquer » (mutation des Majors vers le loi-cosy). * Enfin, tendance de consommation segmenté (d’une part business et d’autre part le tourisme… ). D / L’influence technologique * L’essor de l’informatique dans les années 1980 qui a père?t de révolutionner le système de réservation et d’optimisation (lied management, Global Distribution système… * Dans la même idée grande influence contemporaine distribution classique très coûteux… ). * Niveau du risque de l’investissement important (retour sur investissement très long : estimé à 14 ans et près de 580 ventes… ). * Importance de la recherche et développement ainsi que e l’innovation qui est source d’un avantage concurrentiel essentiel pour survivre dans ce secteur. * Enfin, il y a une possibilité de transfert technologique du militaire vers le civil (par exemple le Pentagone pour le projet de l’avion « aile volante » investit car il existe une version militaire…

Alors cet investissement servira l’aviation civile. Après avoir déchiffré le micro-environnement de l’industrie du transport aérien des passagers nous allons nous pencher sur son mécontenteraient à travers l’analyse de l’intensité concurrentielle. Pour cela nous utiliserons le modèle des 5 forces de Porter. AI / Le mécontenteraient à l’aide du modèle Porter A/ Analyse des nouveaux entrants potentiels Tout d’abord, il y a de nombreuses barrières à l’entrée du secteur du transport aérien des passagers… Barrières à l’entrée financière : intensité capitaliste, par exemple le coût d’un avion est très important, long amortir… C’est un gros investissement. * Barrière à l’entrée en termes de ressources et de compétences : il y a une certaine rareté/spécificité de la main d’?ouvre (lied management, pilote, maintenance… ) Cela entraîne donc une hausse de la masse salariale et once une hausse du coût d’exploitation sur un secteur qui et donc une hausse du coût d’exploitation sur un secteur qui dégage pas de grosse marge.

On peut aussi parler des effets d’apprentissage… Ce secteur traite d’élément à forte valeur ajoutée nécessitant une certaine connaissance et maîtrise. * Accès à une zone d’implantation : l’accès aux aéroports (taxes, solos,… ) sont coûteux mais malgré tout outre l’aspect financier tout le monde peut en obtenir si on y met le prix. * L’accès au réseau de distribution : il est très coûteux et peut freiner certains d’entrer dans ce secteur. Barrières réglementaires : (taxes, solos, règles depuis 1 1/09/01 , normes SOI etc… ).

On vient de voir qu’il existe de nombreuses barrières l’entrée du secteur mais qui peuvent être franchises condition d’en être financièrement capable. AI faut cependant différencier les oui cosy des majors…. Al est beaucoup plus compliqué de pénétrer le marché des majors… Malgré tout le développement ces dernières années des compagnies oui cosy montre que le secteur est relativement sensible aux nouveaux entrants potentiels qu’il ne faut pas sous estimer. B / Les produits de substitution AI faut tout de suite différencier deux sortes de concurrence.

L’une que l’on qualifiera de direct et l’autre d’indirect. Concernant la concurrence directe, elle est la seule en mesure à pouvoir apporter un produit de substitution (en terme d’innovation, un nouvel avion qui attire le client ou en terme de rapport qualité/prix… ). Sauf sur de petit trajet (entra national) où peuvent entrer en ligne d terme de rapport qualité/prix… ). Sauf sur de petit trajet (entra national) où peuvent entrer en ligne de compte e réseau du transport ferroviaire (mais exclu tout trajet qui demande de traverser mer ou océan, à l’exception de ‘engrangèrent… . Il faut noter que le secteur du transport aérien des passagers est difficilement substituée d’où un faible poids des risques liés aux produits de substitution. Cependant, si l’on segmente le marché, la part relative au transport aérien d’affaires (business) on peut remarquer que ce facteur de substitution peut être relevé en deux points : * Développement de la visionnèrent (gain en termes de coûts mais aussi concernant l’impact écologique et taxe carbone). * Possibilité pour les grosses sociétés d’acheter un jet privé.