Stage danse passion
En ce qui me concerne, je pense que la danse est l’union parfaite entre art est sport. Le plus souvent, ces avis changent en fonction du « types » de danse et de la personne interrogée. Pour certaines, des disciplines telles que le hippy-op, le ragea ou autres « danses de rues » ne méritent pas la qualification de danse, mais de provocation et de vulgarité gratuite. Pour ces personnes, seules les taïga premier boy jeune 1 empâta 22, 2011 6 pages disciplines comme le modérer Jazz, le Contemporain ou encore la danse Classique méritent le qualificatif de danse en tant qu’art.
Quoi que nous en pensions, et peu importe a discipline concernée, plusieurs facteurs communs sont l’acharnement, le travail, relevé des défis, le respect des autres sont applicables. Que l’on cherche le succès ou bien que l’on soit dans l’échec. Comme dans toutes étapes de la vie, chaque cours de danse possède ses défis et ses obstacles. Mais, et ce peu importe l’avis de la personne sur le sujet, la danse reste , dans la majorité des cas , une passion pour ceux qui la pratiquent , peut à la fois être source d’échecs et/ou de succès.
Ce qui fera l’objet d’une première partie. De plus, il a souvent pu être constaté que es facteurs rentrant en compte dans la discipline, peuvent être reconduis « ailleurs », c’est le cas notamment dans le monde de l’entreprise. Ceci, nous servira alors de deuxième partie. Ce qui nous permettra ensuite de conclure et de clore ce sujet. La. La notion d’échec et de succès en danse. Comme je le disais précédemment, étant une danseuse de hippy-op, depuis plus de dix ans, revenir au Jazz fut un défi de taille.
Habituée à des mouvements plutôt « saccadés », « bloqués », à tendance masculine. Le côté « élégant », « léger » et « gracieux » des mouvements de la discipline Jazz rendait le défi insurmontable. Mais comme dans toutes disciplines, et étant soucieuse de ne pas être en situation d’échec, de gros efforts allaient devoir être fournis. Dans ce cas-là, deux notions ont pris le dessus : le travail et l’acharnement, la persévérance. Car comme dans le cadre des études nous n’obtenons rien sans rie persévérance.
Car comme dans le cadre des études nous n’obtenons rien sans rien. J’ai alors pris conscience que ce n’était pas en allant, seulement, une fois par semaine en cours de danse, que mon niveau s’améliorerait. Cela ne veut pas dire que je prétends aujourd’hui avoir éteint l’excellence. J’en suis même encore très loin. Mais une amélioration commence à se faire sentir. Dans mon cas, et cela l’est aussi en hippy-op, e manque de souplesse est cruellement évident. C’est alors que la notion de persévérance est alors entrée en jeu.
A raison de plusieurs fois par semaine, je recourrai à de petites séances d’étirement. Même si cela n’est pas encore flagrant, et ce compte tenu des lacunes précédemment accumulées, mes « capacités » vont en s’améliorant. Mais ce n’est pas pour autant que je dois me reposer sur mes acquis et considérer eue ma progression est finie. Malgré l’apparence de discipline individuelle, le Jazz, comme les autres danses, nécessite des travaux de groupes. Rentre alors en compte la notion de gestion de conflits, éventuels , pouvant exister.
Mais également le fait d’être à l’écoute des autres. Lors de petits ateliers, nous devions trouver, par groupe des enchaînements, souvent en relation avec un thème ou une musique choisit. L encore, se présentait un nouveau défi. Celui d’accepter des mouvements qui ne me plaisaient pas forcement, ou des idées avec lesquelles je n’étais pas toujours d’accord. Mais à force d’échanges et des idées avec lesquelles je n’étais pas toujours d’accord. Mais à force d’échanges et de négociations, des terrains d’entente se trouvaient facilement et ce dans la bonne humeur.
Je fous même surprise par le fait que certains membres du groupe me sollicitaient pour intégrer des mouvements hippy-op dans nos enchaînements. C’est alors qu’un autre défi se présenta, et cette fois-ci, il concernait tout le groupe. Il s’agissait d’assembler les enchaînements de chaque groupe en un seul. Par conséquent, il fallait donc trouver les liaisons nécessaires pour relier les afférentes phrases, dans le but d’arriver à une chorégraphie finale avec tout le groupe. Ce qui fut , à la vue de la chorégraphie finale , un brillant succès.
Il. Des facteurs également rencontrés dans l’entreprise « Le travail et la persévérance, sont les clefs de la réussite Voilà la ligne directrice que devrait suivre toutes personnes travaillant dans une entreprise. Car comme en danse ; pour tout chef d’entreprise, marqueter, commercial etc.. S’il n’ a pas de travail fourni, il n’ aura ni reconnaissance, ni succès. Ces personnes doivent alors redoubler d’efforts fin que leur produit, leur création aboutissent et parfois même atteignent l’excellence.
En revanche, si l’un des facteurs manque, c’est l’échec assuré pour cette entreprise. A ce moment-là, elle ne doit pas baisser les bras , mais reprendre le problème de A à Z, voir où il pouvait être , quelles ont été les e les bras , mais reprendre le problème de A à Z , voir où il pouvait être , quelles ont été les erreurs commises , et pourquoi elles l’ont été. Car comme le dit l’expression : « ce qui ne me tue pas, me rend plus fort », cela signifie que même en situation d’échec absolu, l’entreprise doit se élever. Même si pour cela, elle doit tout changer.
Comme par exemple, trouver de nouvelles stratégies, de nouvelles idées, de nouveaux marchés à conquérir etc.. Et c’est parfois grâce à des mois, voire des années d’acharnement et de travail que cette entreprise atteindra le but qu’elle s’était fixé. De ce point de vue, on peut notamment faire référence à l’entreprise Anglaise « thé Body spot ». Qui, partie d’une vulgaire petite boutique de quartier, se retrouve à force d’ambition et de persévérance, dans le top 10 des plus grandes entreprises de cosmétique dans le monde. Mais entre également en considération des facteurs sociaux.