solution multiplication des absences
Document 1 : Réduire le travail sur écran Nous allons voir qu’il faut réduire ce type de travail pour les collaborateurs car il représente un nombre important de risques.
Si le poste de travail n’est pas adapté, cette activité cause en effet de nombreux troubles qui portent atteinte à la santé psychique et physique de ces salariés : la fatigue visuelle due à une forte sollicitation de la vue, ? l’éclairement excessif ou insuffisant, à la distance trop courte entre l’œil et l’écran rapport aux yeux, à I OF au manque de larme , p g l’œil sec, des maux d lourdeur des globes é trop haut par ravail ininterrompu, un syndrome de des rougeurs et une des troubles musculo-squelettiques (TMS) déclenchés par exemples par une posture statique, la plus part du temps mauvaise, pendant de longues heures d’affilées et par un équipement inadapté comme une souris trop petite ou trop grosse en fonction de la taille des mains des collaborateurs. Donc les muscles et tendons sont touchés principalement ceux de la nuque, des région lombaires, des poignets et des épaules.
A cela il faut ajouter que la colonne vertébrale, à cause de l’immobilité prolongée, les femmes et les personnes souffrant d’obésité sont es plus touchées ; un état de stress qui est caractérisé par une impossibilité d’organiser son propre travail, une diminution du délai et une durée prolongée du travail ininterrompu. De plus, ces troubles créent un lien entre le stress et TMS puisque lorsque le salarié est stressé il est plus c contracté que d’ordinaire par conséquent les muscles ne se relâchent pas complètement au repos. Mais aujourd’hui, plus précisément depuis 2007, la situation de travailler sur un ordinateur est devenue fréquente et incontournable, donc le nombre de salariés qui travaillent sur un ordinateurs ne cesse d’augmenter.
A cela il faut ajouter que, le pourcentage des salariés qui passent plus de 20 heures par semaine a aussi progressé : Par conséquent, des plaintes et angoisses des salariés ont souvent eut lieu à cause des effets du travail sur écran. En effet selon une étude de l’institut CSA pour le cabinet ACTINEO, les collaborateurs sont victimes du temps passé devant leurs écrans . 49% des collaborateurs restent à travailler devant leurs écran, leur Smartphone ou leur tablette et d’autres outils Informatiques, plus de 6 heurs par jours ; les salariés estiment à 41 % que le travail prolongé portent tteinte à leur santé ; 59% des collaborateurs souffrent de lombalgies ; 35% souffrent des yeux et de la nuque ; les employés ont été affectés par des maux de tête pour 34% .
De plus, des études épistémologiques ont montré que la fréquence des maladies comme par exemple les démangeaisons, la sensation de brûlure et l’érythème facial, sont plus élevées chez les collaborateurs travaillant sur un poste informatique que chez les autres. Ily a aussi dautres enquêtes qui s’orientent sur les émissions chimiques emis par les écrans comme les champs magnétique, électri ues électrostatique et de la apeur de phosphate de t onsidèrent que ces 3 que ces émissions chimique entraînent des allergies caractérisées par des irritassions, une congestion nasale ou des maux de tête. *Ce document est le résumé globale des 9 dossiers trouvés sur internet sur la réduction du travail sur écran . http://www. inrs. fr/accueil/situations-travail/bureau/travail -ecran/prevention-ecran. html *Mis en ligne le 04 novembre 2011 http://www. insee. fr/fr/themes/document. asp? eg *juin 2013 http://www. travailler-mieux. gouv. frffravail-sur-ecran. html http://www. cap•tal. fr/carriere-management/actualites/de plus-en-plus-de-salaries-se-plaignent-du-bruit-et-du-travail -prolonge-sur-ecran-888740 *Mis à jour le 1 5/11/2013 ? 1937 dw27. pdf http://www. google. fr/url? sa=t-]==s=l 10 =http%3A%2F %2Fwww2. ac-clermont. fr%2Fhygiene-securite%2FRisques_et _1 HX3Ni8TOd4iTrw *Mis à jour le 23/01 http://www. inrs. fr/accueil/ iatheque/doc/publications 3 3 troubles causée par le poste de travail informatisé, il existe pour l’employeur, des moyens de prévention efficaces ou même des affiches, pour les collaborateurs.
Afin de mettre en place ces moyens, le point de départ est de prendre en compte la situation e travail dans son ensemble, c’est-à-dire de se préoccuper des contraintes liées à la tâches, au poste, à l’équipement dédié, ? l’environnement et à l’organisation du travail donc ces éléments vont permettre de construire un plan d’action identifiant les management des préventions appropriés aux risques discernés comme par exemples si le poste de travail n’est pas adapté, les salariés doivent le signalés à leur supérieur hiérarchique ou à leur médecin de travail. un bureau empilé par des documents ou d’autres éléments, réduit l’espace de travail et gêne les mouvements, donc il faut le angez régulièrement. les collaborateurs doivent quitter leurs écrans de temps en temps pour ne pas entraîner des troubles physique comme par exemple un mal de tête. les salariés doivent varier les activités, ainsi ils doivent faire des pauses courtes mais régulièrement pour faire un exercice d’étirement afin de na pas crée des troubles physique et psychique. En effet, des problèmes peuvent naître si les salariés restent souvent statiques dans la même position. es employés doivent changer fréquemment de position devant leurs écrans pour ne pas provoquer les douleurs et la fatigue usculaire donc l’employeur doit présenter aux salariés un espace où ils puissent changer de position et surtout bouger. dans le cas particulier, c’est-à-dire où le salarié travaille debout, il est recommandé que le poste de travail soit à l’auteur de la taille des salariés 4 3 travaille debout, il est recommandé que le poste de travail soit à l’auteur de la taille des salariés comme le plan de travail à la hauteur de coude, Ihaut de l’écran au niveau du regard et un repose pied pour transférer le poids du corps d’une jambe ? l’autre.
De plus, il faut ajouter que les moyens de préventions peuvent ?tre aussi présentés sous forme d’affiches : Ainsi les entreprises peuvent les utilisées pour d’attiré vraiment l’attention des collaborateurs et ensuite les sensibilisés des troubles causés par le travail sur écran, si ils ne respectent pas les conseils qui leurs sont adressés. Donc, ces conseils permettent aux salariés un bien être et un mieux vivre dans leurs postes de travail informatisés. *Ce document est le résumé globale des 1 1 dossiers trouvés sur internet sur l’amélioration du poste de travail informatique des collaborateurs grâce à l’ergonomie : http://www. ravailler-mieux. gouv. fr/Travail-sur-ecran. html http://www. inrs. r/accueil/situations-travail/bureau/travail-ecran . html Mis en ligne le 19 septembre 2011 http://www. cdg62. fr/index. php/prevention/hygiene-et-securite -au-travail/1 1-prevention/288-le-travail-sur-ecran Novembre http://www. infirmier-sante-travail. fr/dossiers/travailecran. php Mis à jour le 03/10/2009 http://www. concept-bureaufr/content/14-ergo n omie-et- bien -etre 1 =l – http://www. google. fr/url? sa=t=j==s=l =web=10=0CF4QFjAJ=http%3A%2F _am rm atique%2Fdw27. pdf HX3Ni8TOd41Trw Mise à jour le 23/01 /2009 http://www. inrs. fr/accueil/produits/mediatheque/doc/publications 2004 http://vft•m. inrs. r/accueil/produits/mediatheque/doc/publications 2005 http://www. pi-groupe. net/spip. php? page=article-article=77& lang=Fr Document 3 : Amélioration du oste de travail informatique ? l’aide de l’ergonomie 6 3 nformatique à apercevoir les situations de travail qui provoquent ces TMS et surtout à agir sur leurs causes. Mais pour appeler l’ergonome il faut une demande de la direction de cette entreprise, du CHST, du médecin du travail, des cadres et des alariés au cabinet conseil de l’ergonomie pour qu’on trouve l’ergonome adapté à nos besoins. Il faut que l’entreprise rédige le cahier des charges de l’intervention et faire le choix parmi les réponses.
Les 3 étapes de la démarche pour faire le bon choix sont : 1) Construire un cahier des charges accordé avec notre entreprise 2) Choisir l’ergonome « idéal » adapté à nos besoins 3) Identifier les critères de choix d’un consultant La démarche de l’ergonome est basée sur 3 éléments principaux, l’analyse ergonomique du travail, l’application de connaissances en ergonomie et aussi la participation du personnel. En effet, l’ergonome va observer la situation de travail des salariés à l’aide de grilles d’analyse, de relevés systématique d’activités comme les postures, l’analyse d’incidents et de dysfonctionnements qui sont à l’origine de ces troubles.
Ensuite, il mesure certains facteurs de conditions de travail grâce aux appareils de mesures d’ambiances physiques(sonomètre, luxmètre) , de la charge physique (dynamomètre, appareils de mesure de la fréquence cardiaque). Enfin, il réalise des entretiens avec les acteurs de l’entreprise pour prendre conscience de leurs avis sur leur ituation de travail. En effet, Fergonome a un grand nombre de missions comme par exemple, e l’amélioration des conditions de travail, la réorganisation du travail, l’étude d’ambiance physique (bruit, luminosité et poussière) ou encore écouter et aider nos salariés qui sou d’ambiance physique (bruit, luminosité et poussière) ou encore écouter et aider nos salariés qui souffrent des troubles visuels. La participation du personnel va améliorer les conditions du travail plus rapidement.
Leurs participation est associés aux études et exercices ergonomiques. Par exemple, ils oivent consultés le CHST pour tout projet d’extension ou de réaménagement. Cet ergonome peut rester quelques jours dans notre entreprise ou plusieurs mois, tout dépend de sa mission et donc du travail ? réaliser. Ensuite, l’amélioration des conditions de travail à l’aide de l’ergonomie est une chose Importante car aujourd’hui le fait de travailler sur un ordinateur est devenu une situation de plus en plus fréquente, donc il est primordial de bâtir des bonnes conditions ergonomiques. En effet, un poste de travail modulable permet de rendre simple et conforme les postures adoptées par les salariés. ur améliorer les conditions du poste de travail, il faut prendre compte tous les éléments qui composent ce cadre de travail puisque ces différents facteurs jouent un rôle déterminant dans l’appariation des troubles physiques comme par exemples : e fauteuil, en effet il doit être équipé d’un dossier et d’une assise réglables, avec des accoudoirs réglables et repliables. De plus, la profondeur de l’assise doit permettre aux salariés de s’assoir dans les positions qui lui convient le mieux, c’est-à-dire de reposer le bas du dos sans que le bord ne réalise une pression à l’intérieur es genoux, pour permettre un bon appui. Ainsi, le fauteuil doit avoir un dossier de 45 à 55 cm, la profondeur de l’assise doit se comprendre entre 40 et 42 cm, et la hauteur de l’assise doit être de 42 à 51 cm.
AC B3 l’assise doit se comprendre entre 40 et 42 cm, et la hauteur de l’assise doit être de 42 à 51 cm- A cela il faut ajouter que, la hauteur idéale de l’assise est déterminée en posant les pieds ? plat sur le sol avec les cuisses horizontales. La souris, qui doit être placée sur un tapis à côté du clavier ? droite pour les droitiers et à gauche pour les gauchers. elle doit ?tre équipée d’un repose-poignet. A cela il faut ajouter que le poignet du salarié ne doit pas être en soutien sur le bureau pour s’écarter des traumatismes musculo-squelettiques par exemples au niveau du poignet et du coude. L’écran doit placée perpendiculairement aux fenêtres avec le point haut de l’écran aux niveaux des yeux et à une distance de 60 cm environ. De plus, l’écran doit être positionnable et abaissable.
En effet, il est décourager de travailler à long terme sur les écrans intégrés au clavier. Il est aussi nécessaire de régler l’éclairement de l’écran. Ensuite il y a un certain nombre d’accessoires comme par exemples : – un repose-pied -un repose bras à placer devant le clavier Ces éléments ergonomiques ont en effet un coût : Ecrans antireflets : 60 eur peut être installé, le Fond pour l’Amélioration des Conditions de Travail (FAC T). A cela il faut ajouter que seuls les PME de moins de 250 salariés en ont le droit, donc notre entreprise peut en bénéficier. Donc le travail sur écran dans des conditions de travail pas très bonne augmente les troubles visuelles et musculo-squelettiques et un état de stress.
Mais grâce à l’aide de l’ergonomie, les ntreprises peuvent arriver à un résultat efficace où les problèmes de santé peuvent sont diminuer. A cela il faut ajouter que , l’étude du 02/2007 à prouvé que de bonnes conditions ergonomiques et organisationnelles permettent de réduire les troubles. Donc on obtiendra un poste de travail comme ceci : *Ce document est le résumé globale des 15 dossiers trouvés sur internet sur l’amélioration du poste de travail informatique des collaborateurs grâce à l’ergonomie : http:nwww. sohf. ch/Themes/Ecran/44034 F. pdf octobre 2013 http://www. concept-bureau. fr/content/14-ergonomie-et-bien www2. ac-clermont. fr/hvei 0 3