Situtation economique de l allemagne
SOMMAIRE Quelques chiffres et Infos : I]-lntroduction : Mise au point Contexte Européen : Il]-Secteur économique et Culture industrielle allemande : Secteur Primaire : Secteur Industriel : Secteur tertiaire Ill]-impact d’une « sur » optimisation économique : IV]-Difficulté économ Le chômage La mise à niveau des Le défi du vieillissem Dualité du travail. p g population : 80. 621. 78B Monnaie locale : euros Nature de l’état : L’Allemagne compte 16 états ou provinces (lander), qui ont des gouvernements et législatures locales jouissant d’une grande décentralisation par rapport au ouvernement fédéral.
Niveau de développement : pays à revenu élevé, Membre de l’OCDE, Membre du GB. Rappels : L’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) a, en 1961, succédé à l’organisation européenne de coopération économique (OECE), fondée en 1948 pour gérer l’aide américaine d’après-guerre. est la première économe d’Europe, ce qui explique son rôle de leader dans la gestion de la crise de la dette de la zone euro. L’Allemagne est depuis 2007 la quatrième puissance économique mondiale, derrière : Les États-Unis/la Chine et le Japon,
Et c’est la première de l’Union européenne Cest le pays qui contribue le plus au budget de l’Union européenne. et de l’Europe, avec un produit intérieur brut de 3 601 milliards de dollars. Remarque : Cest le pays qui contribue le plus au budget de l’Union européenne. Rappels : Le PIB c’est un indicateur de richesse pour connaitre la valeur du pays sur une année En tant qu’indicateur de production, il permet de mesurer la croissance du pays : c’est-à-dire la valeur totale de la production de richesse de ces agents économiques.
CAIlemagne se caractérise par une population active qualifiée râce à l’apprentissage professionnel, et un niveau de vie élevé. Les entreprises et les syndicats allemands fonctionnent en cogestion ; on parle de capitalisme rhénan. Ill-Historique économique de l’Allemagne. Le modèle allemand constitue une réponse originale à la crise des années 1930 et aux impéra- tifs de la reconstruction d’après-guerre, le modèle allemand a pour première dimension la préservation d’une concurrence équitable et ordonnée. Rappel historique Lorsque le Mur de Berlin s’effondre, la république fédérale dAllemagne (R. F.
A. à l’Ouest est une économie de marché avancée et prospère. Elle dispose de nombreuses P. M. E. -P. M. I. et de grands groupes internationaux dont les produits et processus de fabrication sont soumis à une vive concurrence sur le marché mondial. Ces entreprises doivent en ermanence s’adapter, se restructurer ou disparaître 2 mondial. Ces entreprises doivent en permanence s’adapter, se restructurer ou disparaître. Quarante ans d’une compétition intense leur ont permis d’accumuler un haut degré de savoir- faire. La libre compétition est considérée en R. F. A. comme la meilleure arantie du progrès social.
Quant à la République démocratique allemande (R. D. A. ), elle éprouve durant les années 1 980 de grandes difficultés pour maintenir en marche son économie planifiée. Durant quatre décennies de dictature communiste, les initiatives individuelles sont bridées par une économie administrée au sein de laquelle le plan décide de l’allocation des ressources, du programme de production, des techniques employées et des circuits de distribution, bref un régime communiste et totalitaire. cu D’une économie sociale de marché, l’Allemagne est passée depuis es années 90 à un capitalisme de type anglo-saxon.
Mise à mal par le poids de la réunification, l’Allemagne retrouve des taux de croissance élevés depuis 2005. Cette économie est une des plus compétitives au monde. Selon l’avis de plusieurs économiste, ce come-back économique de l’Allemagne est dû aux « réformes globales et profondes» mises en œuvre par le gouvernement précédent de Gerhard Schrôder et initialement poursuivies par la grande coalition d’Angela Merkel » 3 été conclus au sein des entreprises, entrainant une politique de modération salariale , conditionnée le plus souvent par e maintien de l’emploi et le renoncement à des plans de délocalisation.
Ces mesures ont permis de restaurer, voire de renforcer les atouts structurels de l’économie allemande ; elles ont aussi accentué les fragilités inhérentes au « modèle allemand » Point infos : Malgré la crise, L’Allemagne a réussi à contenir son taux de chômage autour de 5,2%.
Cependant, le défi de l’intégration de l’ancienne Allemagne de l’est, où le taux de chômage est très élevé, persiste Confrontée à la mondialisation de l’économie suscitée par la chute des régimes communistes, l’ouverture de la Chine au arché, la suppression d’un grand nombre d’entraves à la liberté du commerce international et la révolution technologique dans l’information et la communication, l’Allemagne s’interroge au début des années 1 990 sur sa capacité, dune part, à rester concurrentielle sur les marchés mondiaux, Cagriculture est très importante, contrairement aux idées reçues ; en termes de comparaison, l’Allemagne se situe juste derrière la France en termes de production céréalière mais la devance et occupe ainsi le 1er rang européen en ce qui concerne la production de lait. L’Allemagne possède un tissu de petites et moyennes entreprises industrielles innovantes et exportatrices. Dans l’industrie de transformation, l’Allemagne compte 5000 entreprises de plus de 250 salariés, contre 2000 en France. Très nombreuses sont les entreprises industrielles moyennes à caractère familial (le Mittelstand).
Son économie compte des marques d 4 entreprises industrielles moyennes à caractère familial (le Mittelstand). Son économie compte des marques de notoriété mondiale pour la qualité et la performance de leurs produits (Audi, Mercedes, BMW, Miele… ). Les nouvelles technologies représentent 30 % des investissements neufs au cours des trois dernières années, contre IO % en France. CAIlemagne a également un réel avantage dans la production de brevets débouchant sur de « nouveaux » produits. Fortement spécialisée, la production allemande est condamnée à l’exportation. L’économie est ainsi fortement dépendante de la conjoncture mondiale.
Elle repose entièrement sur la croissance du PIB mondial Rappels : une conjoncture économique, C’est une situation qui résulte de plusieurs évènements qui peuvent s’avérer être une suite en cascade. La contribution du secteur industriel au PIB allemand a baissé de en 1970 à environ aujourd’hui Secteur tertiaire . Comme dans toutes les économies développées, le secteur tertiaire est le premier employeur allemand. près de 28 millions de personnes y travaillent dont 10 millions dans le commerce, Phôtellerie, la restauration et les transports Ce secteur est constitué à plus de 40 % de PME/PMI. Comme dans toutes les économies développées, le secteur tertiaire est le premier employeur allemand. rès de 28 millions de personnes y travaillent dont 10 millions dans le commerce, l’hôtellerie, la estauration et les transports. Ce secteur est constitué à plus de 40 % de PME,’PMI. Le secteur tertiaire contribue à environ du PIB. Le modèle économique allemand repose surtout sur un maillage dense de PME qui sont plus de 3 millions et qui emploient des salariés. S millions et qui emploient 70% des salariés. Le modèle économique Allemand est un succès car il est très compétitif. Compétitivité permis par deux facteurs : -Faiblesse des impôts -Faiblesse des salaires. Cela a pour impact direct pour les investissements (explosion) mais aussi pour le PIB.
Cependant pour d’un point de vue social, c’est une profonde remise en cause du système de protection que l’Allemagne avait hérité du capitalisme Rhénan. Point infos : Le capitalisme rhénan (aussi appelé « modèle social rhénan ») est l’un des quatre grands modes d’organisation du capitalisme IV]-Dlfficulté économique : De l’ordre de 11 % en 1997 (soit plus de 4 millions de chômeurs), le taux de chômage a connu un pic, le nombre de chômeurs atteignant 5 millions en 2005, puis a commencé ensuite à baisser, avec 3,776 millions en 2007, pour passer sous de la barre des millions en 2008 (7,1 % de la population active), soit le taux le plus bas depuis seize ans.
Le chômage a remonté au début de l’année 2009, avec 3,48 millions de chômeurs, soit % de la population active, avant de redescendre en 2010 (3,23 millions de chômeurs) puis en 201 1 (2,976 millions de chômeurs, soit 7,1 % de la population active). Remarque : Ce taux de chômage est nettement supérieur à l’Est par rapport à l’Ouest. La mise à niveau des nouveaux Lànder La mise à niveau des nouveaux Lander apparait en effet beaucoup plus longue et difficile que prévu. Ces derniers – qul e participent qu’à hauteur de 5 % à la production industrielle de l’Allemagne et à ses expo perdu 40 % des emplois 40 % des emplois existant en 1989 – constituent encore, comme les autres pays d’Europe centrale et orientale, une région en régime de transition.
Ce qui fait le plus défaut aux nouveaux Lander, ce sont des entreprises de grande taille ayant leur siège social à l’Est et capables d’alimenter les petites et moyennes entreprises nécessaires à la reconstitution d’un tissu industriel et social. Les activités de service autres que de proximité restent également ous-développées à l’Est. Le défi du vieillissement de la population Le principal défi auquel l’économie allemande et déjà confrontée est celui de la démographie. La rareté relative de la main d’œuvre qualifiée, notamment dans les secteurs les plus exportateurs D’ici à 2050, la population active se contracterait d’un tiers. En 2060, l’Allemagne comptera 1,5 personne de 20-64 ans pour une personne de 65 ans ou plus.
Ces évolutions peuvent remettre en cause la pérennité des régimes sociaux. Entre 201 0 et 2060 les dépenses de pensions de retraite evraient augmenter plus vite en Allemagne (+2,6 points de PIB ) qu’en France (+0,5 point). pour surmonter cette dynamique démographique défavorable, IAIlemagne devra mener une politique d’immigration soutenue. (Ce n’est pas encore le cas. ) Les réformes menées sur le front de l’emploi ont conduit à une dualité du marché du travail selon que les emplois sont soumis ou non à cotisations sociales. Elles ont permis de réinsérer sur le marché du travail des personnes auparavant sans emploi. La loi Hartz IV, qui a durci le régime d’indemnis