Schaupenhauer
De plus le savant ne s’intéresse, selon schizophrène, qu’ des « phénomènes rares et choisis », c’est-à-dire qu’il ne se passionne que pour certaines choses précises, sans s’être réellement questionné sur « les choses générales de la VIe », sans av si e toi vie nixe a e scaphandrier premier boy mission chopes 11, 2009 4 pages swaps toi vie nixe page avoir remis son propre savoir en question. Sur ce sujet, schizophrène rejoint la position qu’exprime hausser dans ses Méditations cartésiennes.
En ce qui concerne l’étonnement philosophique, l’auteur nous explique que le philosophe a une attitude de remise en question radicale de tout ce qui l’entoure. Que ce dernier n’hésite pas à partir de ses propres pensées pour orge sa vision du monde car c’est dans cette volonté que réside la sagesse. schizophrène nous met donc en garde, il ne faut pas confondre sage et savant, car c’est dans cette différence que réside le début du raisonnement Dans la deuxième partie de son texte schizophrène définit l’homme ordinaire : comme l’homme qu’il juge indigne de pouvoir philosopher.
Cet homme, trop simple d’esprit, ne peu remettre en question ce qu’il l’entoure car il ne se questionne pas sur le « pourquoi » des choses ni sur leur « comment ». L’homme ordinaire fait confiance à ses nés. Or pour schizophrène les sens sont trompeurs car ils ne nous revoient pas l’image des choses telles qu’elles sont en elles-mêmes. L’auteur qualifie l’intellect de l’homme « inférieur » de « réservoir des motifs à la disposition de la volonté », arrêtons nous sur cette phrase afin de comprendre ce que schizophrène veut dire.
AI définit l’intellect de l’homme comme un tas de raisons comprendre ce que schizophrène veut dire. AI définit l’intellect de l’homme comme un tas de raisons valables au service de la volonté, cette même volonté que l’on peut réduire comme une pulsion ou un désir qui formule l’instinct. L’intellect ne servirait donc qu’ former une justification présentable. L’homme d’une intelligence faible, ne peut donc comprendre et percevoir ce qui l’entoure.
Ce même homme, « uni au monde et à la nature » est incapable d’avoir un point de vue détaché de lui-même, il ne peut se regarder être ; il est pris dans le flux de la vie. Dans cette dernière partie, schizophrène donne sa version de l’étonnement philosophique. Un homme, quelque soit son degré d’intelligence, s’il prend conscience du fait qu’il est mortel, peut tendre à la philosophie. En effet, pour schizophrène, la philosophie réside dans le fait d’avoir conscience de sa mortalité, et de sa souffrance.
Ce n’est qu’ se moment là, qu’un homme peut se rendre compte du monde qui l’entoure, et qu’il peut voir le « pourquoi » et le « comment » des choses. schizophrène nous dit que ce qui fonde la philosophie c’est l’étonnement ; un être qui aurait donc un début mais pas une fin pourrait t’il s’émerveiller ? Une chose est sûre, il faut la souffrance et la mort pour faire naître des questions chez l’homme.