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Histoire & Tragédies : Le génocide juif : ses victimes rouennaises Durant le XXème siècle, la France ainsi que le monde ont été plongés dans un siècle d’horreur et d’atrocité, causé par la Guerre. Les plus tristement connues étant les deux guerres mondiales, nous allons tenter d’en apprendre davantage sur le déroulement de ces catastrophes tant sur le plan humain que moral en nous interessant particulièrement à la seconde guerre mondiale.
En effet, la seconde guerre mondiale (1939-1945) a fait près de 70 millions de victimes, ayant perdu la vie dans des conditions d’atrocité certaine. Nous allons désormais vous faire partager le destin tra vécu à Rouen à cette rio or 2 d’être juif. Dans le but de décou Sni* to View s victimes ayant is la vie sous motif ions sur ces personnes, nous nous sommes rendus dans un premier temps devant le monument aux morts du lycée Pierre Corneille afin de relever les noms que nous pensions et catégorisions «? consonnance juive», en laissant parler notre instinct ainsi que nos préjugés.
Puis, nous avons vérifié la liste que nous avions rédigé sur le site du Mémorial de la Shoah et voici ce que nous y avons ppris page Monsieur Elie MANDEL, né le 02/06/1915 à Rouen et décédé ? Auschwitz en 1945. ors de son arrestation, il habitait dans la zone libre à l’Hôpital mixte de Chateauroux ? Chateauroux, où il était Garde malade. Il eut pour matricule le numéro 8454 et a été, par la suite, interné à Drancy le 23 Novembre 1943. Il sera déporté à Auschwitz le 7 décembre 1943 par le convoi numéro 64. Monsieur Claude BIGARD, né le 03/02/1924 à Rouen.
Il habitait au 45 rue de Reims à Rouen et était étudlant lors de son arrestation. Il sera interné comme la majeure partie des victimes des rafles, à Drancy. Il a ensuite été conduit par le convoi numéro 3 ? Auschwitz le 22 1942. Monsieur Lucien Jean LEW né le 12/07/1905 à Rouen. Il habitait 57 rue Jeanne d’Arc à Rouen il exerçait le métier de comptable. Il fut transféré de Drancy, le 22/06/1942, à Auschwitz et mourut dans l’année. Nous avons donc eu connaissance d’une partie de l’histoire de ces personnes, victimes de la cruauté humaine, nous permettant ainsi de mettre une vie, si ce n’est une mort, sur des visages.