S Duction Amour Et Mariages 1

Séduction, amour et mariages en Nouvelles-France Dans l’ouvrage « Séduction, amour et mariages en Nouvelles France Y, le lecteur peut analyser [‘histoire des premiers ancêtres québécois qui ont vécu dans la vallée laurentienne sous le Régime français, grâce aux sources trouvées à travers le livre. Il est écrit comme une série de petites histoires vraies au sujet des sentiments, de l’amour, de la séduction et des mariages des jeunes garçons et des jeunes filles.

L’écrivain, André Lachance, S Duction Amour Et Mariages 1 Premium gy Magnolia-HamzeIoee MapTO 27, 2015 5 pages o page Magnolia Hamzeloee Mots ,206 le 1 février 2015 spécialisé dans l’hist historiques pour rac beaucoup de livres. livre dénonce certain Il nous apprend que ors e utilise des archives alement déjà écrit l’ our est présente, le to View urant ces périodes. e cette époque, le sexisme et l’intervention de l’Eglise taient un problème pour de jeunes amants.

Le Sexisme Comme plusieurs parties du monde, à cette époque, le Canada n’avait pas encore établi les droits d’égalité entre les sexes. Les hommes avaient toujours les rôles les plus importants dans la ociété comme le travail, la gestion des finances mais également dans les relations. Les femmes étaient toujours inférieures et la propriété des hommes. La loi n’était pas de leur côté, et favorisait souvent les hommes. Pour chaque chose qui arrivait, la faute était rejetée sur les femmes.

Lach Lachance a utilisé des archives juridiques pour trouver ces informations, comme les mariages « forcés » durant lesquels les mariés n’étaient pas d’accord, ou les preuves de familles « vendant » leurs filles, en échange de marchandlses. Elles sont écrites comme des « fardeau économique » (p. 144). Le mari pouvait également « partager » sa femme avec son patron pour une augmentation de salaire. Alors, la femme était un objet plutôt d’une personne. Elles n’avaient jamais pensé que leur « amour » serait si mal traité. ? Le mariage se transformait alors en un véritable cauchemar. » (p. 144) Il y avait aussi des situations vraiment sérieuses dans des mariages qui sont désapprouvés même aujourd’hui, l’adultère. Quand vous êtes en amour, vous vous dévouez à l’un et l’autre. Si une personne est infidèle, elle era punie. Mais dans la vallée laurentienne, à cette époque, le mari sera toujours excusé. peu importe ce qu’il a fait, la femme sera coupable. En fait, « l’adultère commis par l’homme était toléré est considéré par la société civile comme normale. » (p. 56). Ily a aussi toujours un double standard, et cela « donnait aux hommes une liberté sexuelle plus grande tout en exigent la chasteté des femmes… » (p. 156). La femme était dans la plupart des cas maltraitée, et ni la justice ni l’église n’étaient en leur faveur. Je pense pour beaucoup de cette sectlon dans l’œuvre, Lachance avait besoin d’utiliser plus de lettres personnelles, il aurait aidé ses arguments. Plusieurs de ses sources étaient contestables. L’intervention de l’Église. Pendant cette pér Plusieurs de ses sources étaient contestables.

Pendant cette période, l’Église avait beaucoup de pouvoir. C’était la réponse à tout. Si vous ne la croyiez pas, ou n’étiez pas religieux, vous êtes condamné d’être un pécheur et vous aller souffrir dans l’enfer. « ‘Église a…. inspiré la peur de l’enfer et la crainte de Dieu à ses fidèles. » (p. 180). ‘Église était dans chaque spect de leur vie. Le mariage n’était pas seulement entre deux amants qui voulaient être ensemble, mais une union devant l’Église. Les deux amoureux devaient « unir devant Dieu » (p. 1 27).

C’était la seule façon pour que leur amour envers l’un et l’autre soit officiel. Ce n’était pas seulement le mariage, mais aussi les activités plus personnelles. Même après le mariage, les affaires sexuelles étaient encore sous le contrôle de l’Église. « La sexualité conjugale demandait donc un contrôle strict de la passion sexuelle. » (p135) Toute leur vie privée était compromise, mais ‘Église n’avait aucune preuve de ce qu’il se passait. Les femmes n’avaient pas de contrôle sur leur sexualité, même leur corps était « tes temples du Saint-Esprit » (p. 1 35).

C’était également l’homme qui décidait de faire l’amour, non la femme, même si elle n’était pas d’accord. « La femme mariée avait l’obligation morale et religieuse d’autoriser son marl à accéder à son corps. » (p. 139) Ni son corps ni son esprit ne lui appartenait. Les sources ici peuvent avoir été biaisées, l’Église était plutôt en faveur des hommes, lors s’il y a quelque chose injuste, ils vont probablement était plutôt en faveur des hommes, alors s’il y a quelque chose injuste, ils vont probablement le changer ou exagérer Ihistoire pour qu’il soit en faveur des hommes.

La femme n’avait pas le droit de demander le divorce. Même, une femme était continument battue par son mari, et elle a demandé pour un divorce, après beaucoup d’efforts, le juge a lui accordée la permission, cependant, son maintenait ex-mari a encore de la permission à dormir avec elle. Les sources ici étaient des record udicaires donc je pense qu’ils étaient bien choisis. L’Église était vraiment stricte dans ces sortes d’affaires, et tous ces règles et péchés étaient écrits dans les archives.

Pas le Manque d’amour, le Manque d’égalité Il y a toujours d’amour dans le cœur des personnes. Néanmoins, l’amour n’était pas toujours « libre s, au 17e et 18e siècle, il y avait une sorte de sexisme qui l’a détruit, ou ra rendu plus difficile d’accès, car la loi et la société étaient en faveur des hommes, et les femmes étaient toujours « le deuxième sexe L’église a oussé ses dictons et sa façon de penser encore plus loin, ce qui a creé une vie plus difficile à vivre, notamment pour les femmes.

Même quand l’amour était vrai, « quand la faim est à la porte, l’amour s’en va par la fenêtre. » (p. 130) le sentiment de manque détruit les autres sentiments. Le sexisme, et FÉgllse ont donc ? cette époque contribué à ruiner l’amour pur. L’Information André Lachance a utilisé différentes sources appropriées et justes qui l’ont aidé dans son argumentation. M. Lachance a utilisé des sources comme PAGF