RESPONSABILITÉ SOCIALE DES ENTREPRISES
(1 )-ldentification du problème 2/3 Hydro-Québec est une société par action depuis 1981 , son unique actionnaire est le gouvernement du Québec. Son activité est la production, le transport et la distribution de l’électricité. La source de son énergie est essentiellement hydraulique, mais elle exploite aussi d’autres types de centrales (nucléaires, thermiques et éoliennes). Elle est considérée comme le symbole de la réussite de la révolutlon des années 60. La renommée d’Hydro-Québec est due aux projets pharamineux qu’elle a pu réaliser depuis sa creation.
Ces projets ont permis d’augmenter la capacité ?nergétique du Qué pour les consommat à la déréglementatio u ma Nord. En plus de ma un permis de négoci org stabilité tarifaire uébec a su s’adapter ité en Amérique du uébec, elle a obtenu és américains. En effet chaque compagnie risque de faire face à des problèmes menés par les variables du macroenvironnement. Ce risque pourrait donc provenir de renvironnement démographique, économique, naturel, technologique et scientifique, politico- juridique ou socioculturel.
La tempête de verglas de janvier 1 998 a été qualifiée de catastrophe naturelle au Québec. Elle a causé es dommages importantes tant pour Hydro-Québec que pou les citoyens. Hydro-Québec a voulu prendre les m Swlpe to vlew nexr page mesures nécessaires pour éviter un tel drame dans l’avenir. Selon les recommandations de ses experts, Hydro-Québec doit construire une boucle d’alimentation en électricité, répartie en trois phases.
Mals la gestion de ce projet comportait beaucoup de lacunes causées par la précipitation de le réaliser, ce qui a mené à la négligence d’étapes importantes. Cette méthode de gestion a failli mener à l’échec le projet. De plus, lors du processus e développement du projet, ils ont abandonné la consultation envers différentes parties prenantes. Manque de consensus : problème apparent. Problème de fond qui est toujours relié a des enjeux de RSE est le deficit de legitimité morale procedurale Clairement, il est ou le problème???? (2ABC)- Analyse de l’entreprise 2. 13 + 1. 25/1. 5 Dans le projet de la boucle Montérégienne, Hydro-Québec se retrouve au centre de plusieurs parties prenantes avec lesquelles la Société d’État doit en tenir compte et à la limite, arriver à des accords. Parmi les principales parties prenantes nous retrouvons a Coalition des citoyens et citoyennes de du Val-Saint-François, l’OPA (association professionnelle syndicale des producteurs et productrices agricoles du Québec), le BAPE (bureau d’audiences publiques sur l’environnement), le gouvernement du Québec, la MRC et les clients d’Hydro-Québec.
Ce projet d’envergure est une belle occasion pour Hydro-Québec de répondre à différents besoins et régler du même coup les problèmes qui ont *AGF 9 rif q pour Hydro-Québec de répondre à différents besoins et régler du même coup les problèmes qui ont été au centre de la crise du verglas. Comme nous l’avons vu le besoin de sécuriser les régions les plus affectées par la tempête est un fait inéluctable.
Ce qui est particulier de la part d’Hydro-Québec est [‘approche avec ses clients. On peut remarquer une gestion paternaliste envers ses clients, l’organisation sait parfaitement ce qui doit être fait pour leur sécurité et ce, sans consultation des principaux intéressés. Hydro-Québec démontre une certaine sollicitude envers ses clients car ceux-ci sont vulnérables face aux forces de la nature et comme bon père de famille la Société d’État veille sur eux.
Si on analyse les différentes parties prenantes selon le modèle de Savage (1991 ) on peut qualifier l’IJPA d’«amis critique» puisque cette association démontre un potentiel de coopération et de menace élevé. pour cette raison la stratégie d’Hydro-Québec est de collaborer. Surtout qu’il s’agit d’une partie prenant avec laquelle les relations sont correctes présentement mais dans le passé les relations n’ont pas été toujours correctes ok.
En ce qui concerne les autre parties prenantes, on peut considérer la Coalition des citoyens et citoyennes de du Val-Saint- François comme étant une partie prenante marginale puisque le otentiel de coopération et de menace sont bas non le PM est élevé. Par contre, cette partie prenante est à surveiller dû à un certain potentiel à faire des allia certain potentiel à faire des alliances et former une coalition avec d’autres parties prenantes comme l’OPA et la MRC. n autre enjeu qui peut être aperçu dans ce projet est les différentes possibilités qui pourraient s’ouvrir à Hydro-Québec après la realisation des différentes phases du projet. Oui sécuriser les régions affectées, mais aussi comme les rumeurs qui circulent, ce projet permettrait à la Société d’État de cheminer l’électricité ers d’autres marchés et ainsi tenter de récupérer les coûts reliés à la crise du verglas. Au niveau de la RSE, on peut facilement constater qu’Hydro- Québec a opté pour une vision plutôt critique.
Dans ses décisions, on s’aperçolt que le côté légal est omniprésent. Les décrets se suivent un après l’autre en donnant des autorisations pour permettre l’avancement du projet. L’État joue un rôle capital dans ce projet, à la base il est le seul actionnaire dHydro-Québec et ensuite il donne les permissions particulières qui permettent ? cette société d’avancer dans son projet en évitant des étapes e consultation qui auraient retardé les différentes phases de plusieurs mois. Savage et al) et une vision dynamique (Mitchell). 1)-Selon le modèle de Savage : -UPA : partie prenante « amis critiques » Stratégie d’action souhaitée : une stratégie de collaboration pour limiter les risques qu’ils pourraient poser. Cette collaboration ne prendra pas forcément la forme d’une participation dans la prise de décisions mais une participation dans la définition des moyens et des voies de la mise en œuvre des différents projets impliquant l’OPA ok. la coalition des citoyens et citoyennes du Val-Saint-François : « éfinie comme marginales adversaire» Stratégie d’action souhaitée : surveiller de près afin de permettre de contenir leur potentiel de menace à un faible niveau. -On peut ajouter aussi le gouvernement du Québec qui est l’actionnaire unique d’Hydro-Québec comme une partie prenante amicale en raison de son potentiel de coopération et un faible potentiel de menace. k Stratégie d’action souhaitée : l’engagement sur des enjeux précis afin d’encourager une collaboration totale, en évitant des conflits d’intérêts dans les rôles du gouvernement (assurer une certaine séparation objective des rôles). Est-ce que ces stratégies sont coherentes ensemble pour donner un scenario 2)- Selon le modèle de Mitchell le et Wood : coalition des citoyens et citoyennes du Val-Saint-François : une partie prenante latente requérante dependante en raison de son manque de pouvoir et de +légitimité (cette légitimité reste subjective car elle est définie par les dirigeants).
Stratégie d’action souhaitée : aucune action particulière n’est ? envisager (selon le modèle) -UPA : partie prenante expectante dominante en raison de sa légitimité et son pouvoir ok Stratégie d’action souhaitée : mettre des mécanismes ‘engagement de l’OPA, la direction communiquer et rendre des comptes sur les différentes actions mises en œuvre touchant cette partie prenante. 3)- maintenir le statu quo : Ne rien faire.
Des groupes ou des parties prenantes dite latentes (ou marginales) peuvent s’allier et combiner leurs attributs afin d’obtenir les trois attributs (pouvoir, légitimité et urgence) et devenir une partie prenante définitive. C’est le cas par exemple si la coalition des citoyens et citoyennes de Val- Saint- François réussit à mobiliser plus de citoyens et des médias à leur cause. (3E)- Recommandation 1. 5/1. 5 *AGF 6 rif q Val-Saint-François. L’UPA est considérée comme un «ami critique» avec un potentiel de menace et coopération élevé.
Pour éviter les risques qu’elle peut poser, la collaboration et maintien d’une bonne relation avec elle sont de mise. par exemple : pour atteindre un accord bilatéral, Gérard a planifié un tracé en respectant l’Entente sur le passage des lignes en milieu agricole et forestier entre Hydro-Québec et l’OPA ; il a fait aussi un ajustement de tracé suivant les directives du processus de consultation. Mais cette relation est fragile selon l’expérience de Gérard.
Alors, la coupe d’un espace boisé sans autorisation eut interrompre cette relation en raison du non-respect de l’entente entrer Hydro-Québec et I’I_JPA (Annexe 6), Hydro Québec doit mettre un mesure afin d’éviter les erreurs d’opération dans le roulement de son projet. Le gouvernement du Québec a eu deux rôles dans le cas d’Hydro Québec. Quand il joue un rôle d’actionnaire unique d’Hydro- Québec, on peut le considérer comme une partie prenante amicale ayant plus de potentiel de coopération que de menace.
Quand le Gouvernement se doit de jouer son rôle en prenant des décisions pour le bien-être de la population, il peut devenir une artie prenante adversaire ayant plus de potentiel de menace que coopération. Pour éviter les risques de menace qu’il peut poser, Hydro-Québec doit respecter les lois et les règlements concernant l’environnement. La Coalition des citoyens et citoyennes du Val-Saint-François règlements concernant l’environnement. est une partie prenante avec faible potentiel de menace et coopération.
Elle est contre la solution proposée par Hydro – Québec pour faire son projet de la boucle Montérégienne puisqu’elle croit que la méthode qu’Hydro-Québec utilise a intimidé les habitants touches. De plus le schéma d’aménagement de la région et les lois relie avec l’environnement ne sont pas respectées. Alors le degré de menace de la coalition est augmenté par cette amplification d’enjeux. Le moyen de faire face aux risques que la Coalition des citoyens et citoyennes du Val-Saint-François peut poser est de la surveiller et réaglr avec la communication formel.
Si elle réussit à s’allier avec autre partie prenante qui a le pouvoir elle peut devenir adversaire. par ex. Processus de consultation, écoute son intérêt ici on peut adopter une consultation exceptionnelle en réduit les jours de consultation publique et la urée de l’audience publique. On préfère ce scenario puisque les deux autres stratégies ignoraient le potentiel de risques que la Coalition peut poser dans ses réactions. (4AB)-lmplantation 1. 25/1*5 L’entreprise pourrait entreprendre de nombreuses activités pour mener des changements.
En premier lieu, une activité importante qu’Hydro-Québec devrait entamer c’est de mettre à chaque fin du mois la population au courant du développement de ses projets. Cela pourrait donc s la population au courant du développement de ses projets. Cela pourrait donc se faire par la diffusion des informations des ctivités de la compagnie. La personne responsable de cette activité serait : un porte- parole des projets d’Hydro-Québec qui s’occuperait d’écrire les lettres ainsi que de les diffuser au moyen du site internet de l’entreprise.
En effet cette activité est importante mais ne demande pas beaucoup de temps, la lettre demanderait 2 à 4h heures de temps pour être écrite et l’information pourrait être diffusée sur le site directement après. Cette procédure coutera le total des heures travaillées du porte-parole qui devrait être d’environ 100 ? 200 $ par mois. Suite à cette procédure, Hydro-Québec devrait tout de même rendre en compte les opinions des habitants puisque ce sont eux qui financent leurs activités.
Bien évidemment ils n’entendront pas l’avis de chaque personne, par contre il pourrait imposer la création d’un comité de porte- parole des habitants qui eux pourront collaborer avec le comité d’administration d’Hydro-Québec. Comme second changement que pourrait prendre la compagnie Hydro-Québec, serait de bien suivre les instructlons du BAPE et de suivre les parcours d’aperçu des impacts environnementaux. Ainsi la compagnie sera responsable au niveau de ses parties prenantes ainsi que de renvironnement. 2. 513 Qualité de la rédaction