rapport de stage al omrane
Commerce des marchandises Le marché des principales commodités [main commodity group (ITS)] correspond à la quasi totalité des exportations ou importations d’un pays. Ces biens se divisent en trois catégories: les produits agricoles , les produits miniers (comprenant le pétrole) et les produits manufacturés (catégorie qui se subdivlse elle-même en quelques sous-catégories). Habituellement, ces trois groupes peuvent représenter entre et 100% des échanges d’un pays.
Ces catégories et les données proviennent de l’Organisation mondiale du commerce (OMC). Toutes les données sont en dollars courant(US). Dernière mise à jour: or 11 Sni* to View Types de produits Importations Exportations produits agricoles 4 922 410 000 14,3 3 693 710 000 21,1 Pétrole et produits miniers 10 200 700 000 29,7 2 649 250 000 dans la section « Statistiquesl Commerce » s’explique par la volonté pédagogique de retracer l’évolution des phénomènes.
En effet, les données en dollars constants, permettent des comparaisons dans le temps et dans l’espace puisque le bials d’inflation y est corrigé, ce que ne peuvent offrir des données en dollars courants. Cependant, même si l’image fournie par les données ci-jointes eut elle aussi être altérée par le phénomène de l’inflation, l’incidence y est minime, puisque le but premier est d’identifier la composition du panier d’exportations d’un pays, donc l’importance relative de chacun des secteurs exportateurs, et non uniquement sa valeur.
Enfin, le calcul du commerce des marchandises et servlces présenté ici (et par l’OMC) se base sur les rapports douaniers (faits par l’OMD) qui décrivent les mouvements de biens et services d’un pays vers un autre. Les données sur les exportations ou les importations provenant du compte de la balance de paiements comportent elle, des ajustements qui ‘ajoutent aux rapports douaniers.
Ces ajustements tentent de retracer toutes les transactions qui ont eu lieu entre des résidents et des non-résidents et qui n’ont pas été répertoriés par les douanes, et ce, en faisant appel, par exemple, à des renseignements fiscaux sur les résidents. pour de plus amples renseignements techniques, l’usager peut toujours consulter le manuel technique de la balance de paiements (MBP5) du FMI. Note de l’OMC: «Breakdown by main commodity group according to the ITS (WTO International Trade Statistics) definitions: Agricultural products refer to food (SITC Rev. ections PAG » 1 International Trade Statistics) definitions: Agricultural products refer to food (SITC Rev. 3 sections O, 1, 4 and division 22) and raw materials (SITC Rev. 3 divisions 21, 23, 24, 25 and 26). It differs from the Agricultural goods AOA definition (see above). Fuels and mining products include ores and other minerals; fuels and non- ferrous metals. Manufactures refer to iron and steel, chemicals, other semi-manufactures, machinery and transport equipment, textiles, clothing and other consumer goods.
Please note that due to the products not classified in the three main product groups, he sum of shares may not add up to a 100. » Importer au Maroc :: Introduction L ‘ exercice de I • activité d’ importation nécessite I • immatriculation au registre du commerce. Cette immatriculation s’ effectue auprès du tribunal de première instance du lieu de situation de établissement principal du commerçant ou du siège de la société. Le numéro analytique du registre du commerce doit être porté sur les titres d ‘ importation.
L ‘ importation des marchandises est soumise, en plus de la facture, du titre d’ importation et le cas échéant des autres documents exigible e des produits, à la PAGF30F11 I • exportation des marchandises déclarées sous tout régime de dédouanement sont fixés par l’ arrêté du ministre des finances et des investissements extérieurs no 1609-95 du 13 mars 1995 modifiant arrêté du mlnistre des finances no 1312-77 du 31 octobre 1977 fixant la liste des bureaux des douanes et impôts indirects, leurs compétences et désignant ceux par lesquels doivent s’ effectuer obligatoirement certaines opérations de dédouanement tel qu il a été modifié et complété par I • arrêté du ministre des finances et des investissements extérieurs no 609-95 du 13 mars 1995, B. 0 4320 du 16 août 1995 et I • Arrêté du Ministre de l’ économie, des finances, de la privatisation NO 1666-01 du 07 septembre 2001 (B. o NO 4940 du 04? 10-2001). Clrcuit de la déclaratlon en détail des marchandises dans les bureaux informatisés :. – Etablissement de la déclaration par I • importateur ou son mandataire 2- Dépôt de la déclaration transmission informatique des énonciations de la déclaration -la déclaration en détail doit être déposée dans un délai de 60 jours à compter de la date du dépôt de la déclaration sommaire n cas de transport aérien ou maritime et de la date de I • arrivée des marchandises au bureau de douane en cas de transport terrestre. -possibilité de dépôt de la déclaration par anticipation pour les marchandises périssables, dangereuses ou inflammables avant I arrivée des dites marchandises au bureau des douanes. 3- Enregistrement de la déclaration : le numero et la date d • enregistrement sont affichés sur le terminal utilisé par le déclarant et reproduits automatiquement. – dépôt de la PAGFd0F11 affichés sur le terminal utilisé par le déclarant et reproduits utomatiquement. 4- dépôt de la copie écrite de la déclaration : La copie écrite de la déclaration doit être déposée au bureau de douane concerné, au plus tard le: Sème jour ouvrable suivant celui de l’enregistrement pour les déclarations sous régimes économiques en douane ; – 15ème jour ouvrable suivant celui de l’ enregistrement pour les déclaration de cession sous régimes économiques en douane; – Le jour suivant celui de l’ enregistrement pour les autres déclarations 5- Vérification documentaire de la déclaration: Rectification des déclarations .
Rectification des éléments quantitatifs (valeur, quantités nombre) de le déclaration en détail le même jour de dépôt et avant la vérification physique des marchandises ; Rectification de la déclaration par anticipation au jour de I ‘ arrivée de la marchandise et avant la vérification physique des marchandises. 6- Détermination de la valeur en douane: 7- Visite et vérification physique des marchandises: 8- paiement des droits et taxes : Acquittement des droits et taxes contre quittance soit au comptant, soit par crédit d’ enlèvement soit par remise d ‘ obligation cautionnée – Enlèvement de la marchandise : Délivrance de ‘autorisation d’ enlèvement ; l’ exemplaire Bon ? Enlever de la déclaration est annoté de cette autorisation Les exportations marocaines Moins de 4% des entreprises marocaines exportent leurs produits. Parmi les 50 premiers produits du commerce mondial, le Maroc est présent sur 5 produits à eine.
Promotion insuffisante, fai PAGF B1 commerce mondial, le Maroc est présent sur 5 produits à peine. Promotion insuffisante, faible diversification, compétitivité érodée en sont les causes principales. L’heure est grave pour le commerce extérieur, même si les hiffres bruts ont tendance à atténuer les inquiétudes. Il est vrai que sur les cinq dernières années (2001-2004), les échanges extérieurs ont progressé de 10 % en moyenne, sait le même niveau que celui du commerce mondial. Seulement, la répartition des flux montre un déséquilibre pour le moins inquiétant. Ce sont les importations qui ont enregistré un taux à deux chiffres (+ 14 Y) au moment où les exportations ont plafonné à 2 % de moyenne annuelle.
Le bilan est d’autant plus inquiétant que, dans le même temps, des pays à économie similaire enregistraient des résultats appréciables. ar exemple, les exportations de la Malaisie ont augmenté de 29 % par an en moyenne, celles de la Turquie de 25 ‘h, l’Egypte affichait 14 % et, encore plus proche de nous, la Tunisie IO %. Avec une progression de 2 %, le Maroc est dernier de la classe, tout juste devant la Jordanie avec son 1 %. Le comble des combles est qu’à l’heure actuelle aucun organe n’est capable de fournir le nombre exact des entreprises exportatrices. Aucune des entités contactées par la Vie éco n’a pu fournir de réponse satisfaisante. Les organes en charge du domaine à des niveaux divers sont très divisés sur les chiffres.
Ainsi le nombre d’entreprises exportatrices serait de 2 000 pour la Smaex (Société marocaine d’assurance ? l’export), 5000 au ministère du Commerce extérieur, 6 000 pour l’ASMEX (Association ma 6 1 à l’export), 5000 au ministère du Commerce extérieur, 6 000 pour l’ASMEX (Association marocaine des exportateurs) ou encore 2173 dans la base de données du Centre marocain de promotion des exportatlons (CMPE). Cette situation malheureuse a au mons l’avantage de fournir deux enseignements majeurs : le Maroc ne dispose pas encore d’une entité chargée de la centralisation des informations concernant l’export. Deuxième déduction sur le fond celle-ci : nous comptons peu, très peu même, d’entreprises exportatrices.
Même en retenant l’hypothèse haute, celle des 6 000 entreprises exportatrices, et en faisant fi, dans le dénominateur, des entreprises informelles, à peine 4 % du total des sociétés marocaines exportent leurs produits (les registres de l’OMPlC comptent 150 000 entreprises inscrites depuis 1926). On perd encore au change face à la Tunisie avec ses 6 000 entreprises exportatrices (chiffre fournit par le CMPE)_ Ramené à la population, l’on se rend compte davantage de la faible rientation internationale de l’économie marocaine par rapport ? des pays concurrents. Ce manque de dynamique, conjugué à la perte de terrain de l’économie nationale, notamment en terme de compétitivité, explique l’aggravation du déficit commercial.
En sept ans, de 1998 à 2004, le taux de couverture a chuté de 15 points, passant de 69,7 % à 55 %. 200 millions de DH à peine pour la promotion Pourquoi alors autant de contre-performances ? Première réponse évoquée par les professionnels, «la promotion à distance». L’agressivité commerciale fait défaut et les moyens mobilisés sont insuffisants. Le budget promotionnel d PAGF70F11 L’agressivité commerciale fait défaut et les moyens mobilisés sont insuffisants. Le budget promotionnel du Maroc est l’un des plus faibles. Comparé à celui d’autres pays, notre budget est dérisoire. «A peine atteint-il 200 MDH environ Io sque celui de la Turquie est de 770 millions de DH et celui de [Espagne de 1,6 milliard.
Pour sa part, la Grande-Bretagne y consacre 4 milliards, la Corée du Sud 800 millions, la Tunisie et la Malaisie 700 millions», confie un responsable de l’ASMEX. Autre explication : les exportateurs continuent à offrir des produits aujourd’hui peu prisés sur le marché international. ?Le Maroc n’est présent que sur 9 % des 50 premiers produits du commerce mondiale», ajoute-t-on du côté de l’ASM EX. A cela s’ajoute la traditionnelle «perte de compétitivité du tissu productif en raison des coûts des facteurs de production, dont principalement fénergie et la logistique» en plus de la concurrence exacerbée à laquelle sont confrontées plusieurs filières, le textile et le cuir en particulier.
Autre facteur qui déclasse le Maroc, la structure faiblement diversifiée des exportations, et notamment des produits à faible teneur technologique. Une structure figée depuis plusieurs nnées, où trônent les produits textiles et cuir (36 %), suivis par les phosphates et dérivés (16 les produits de la mer et les produits électriques et électroniques avec, respectivement, 11 et 9 L’orientation des flux vers les marchés traditionnels de l’Europe est un autre handicap qui rend les exportations fortement dépendantes du taux de croissance de l’économie du Vieux continent. Même si le B1 Vieux continent. Même si le produit estampillé du label Maroc est exporté sur 169 pays, deux pays seulement, la France et l’Espagne, absorbent 50 % des exportatlons (75 % pour l’Union
Européenne), au moment où 85 autres pays n’en accueillent que Le taux de couverture chute à 50 % Le prix des produits marocains exportés sur le marché international est aussi un facteur explicatif. En effet, l’examen du prix moyen de chaque catégorie montre clairement une volatilité avec une tendance plus marquée à la baisse. Tous ces problèmes persistent. Et pour 2005, on ne voit pas d’éclaircie à l’horizon. Les chiffres des sept premiers mois donnent d’ailleurs raison aux sceptiques. Les statistiques arrêtées au terme du mois de juillet 2005 font état d’une aggravation notoire de l’ensemble des indicateurs. Comparé à la même période de l’exercice précédent, le taux de couverture a encore perdu 6 points chutant à 50 %.
En face, le déficit s’est creusé, atteignant 50,4 milliards de DH en progression de 24,5 Les exportations ont baissé de 1,7 % (51,1 milliards de DH) et les importations, flambée du pétrole aidant, ont progressé de 9,8 % franchissant le seuil des 100 milliards de DH (101 milliards de Parmi les produits les plus malmenés figurent bien sûr les articles d’habillement qui ont fait les frais de l’invasion chinoise. Ils ont diminué de 12,5 % par rapport à la même période de l’année ernière. Les fils, câbles électriques ont aussi chuté de 22 %. une situation qui serait attribuée; selon Hassan Benseddik, chef de la divis chuté de 22 %. Une situation qui serait attribuée; selon Hassan Benseddik, chef de la division des exportations au ministère du Commerce extérieur, à la conjoncture internationale difficile que traversent les industries de l’aéronautlque et de fautomobile.
Mais à cela s’ajoutent aussi, selon Bouchaib Barhoumi, industriel du secteur, «le déplacement de la demande internationale vers les pays de l’Est comme la Tchéquie, l’Ukraine, la Pologne ou encore la Roumanie. Le câblage est une industrie très volatile où la main-d’œuvre intervient jusqu’à 40 % dans le coût de production». Le Maroc est encore une fois jugé cher. Reste que les contre-performances les plus spectaculaires sont enregistrées du côté des fruits et légumes avec respectivement -69 % et -52 Les exportateurs ont subi cette année de plein fouet les conséquences de la sécheresse et du gel qui ont frappé le pays. N’empêche que l’offre marocaine est appelée à fournir davantage d’efforts, comme le relève M.
Benseddik, notamment en matière d’adaptation à la demande internationale. ?La tendance est aux produits bio et semi-industrialisés». Les produits de la mer échappent au naufrage Concernant l’emblématique huile d’olive marocaine, la campagne 2004/2005 a été des plus mauvalses, avec une chute de 35 % des exportations. «La récolte de 2004/2005 a été catastrophique. e peu qui a été exporté est constitué du reliquat de la campagne précédente», explique Murdoche Devico des Huileries de Meknès. 2003/2004 avait en effet été une année record avec une récolte de 110 000 tonnes. Cette année, les opérateurs n’espèrent guère plus de 60 0 11