rapport de stage
Dans le cadre de ma formation au sein de l’école Supérieure de Technologie d’Agadir, qui s’attache à améliorer la formation dispensée à ses élèves par des stages, je devais cette année passer un stage de fin d’étude qui aurait pour but de me rapprocher encore plus du monde professionnel à travers la confrontation d’une part entre ma formation et mes acquis théoriques et d’autre quotidiennes du mili pr or 28 opté pour effectuer stè6– leader mondial de l’in dérivés Industrie cot s exigences ette optique, j’ai ntreprise marocaine sus et produits De ce fait, la firme pour moi un milieu d’observation riche t offrant une variété d’exemples de management et de gestion vivants et réels ainsi qu’un endroit Plein de problème et risque que la société doit prendre en considération pour les faire face, En ce qui concerne la société « ICOM A » et comme les autres firme a connu récemment plusieurs problème mais le plus important c’est la déterminatlon du nouveau prix de vente des différents tissus fabriqués par l’entreprise vu les changement causé par la crise économique qui s’apparaît clairement dans la disparition du marché « faillite » de la société « IMPROTEX » filiale de la société « ICOMA » qui ?tait spécialisé dans la fabrication du fil qui était moitié vendu et l’autre fabriqué dans la société mère pour l’obtention des tissus de velours ainsi que l’épuisement du l’ancien stock du coton qui nécessite l’acquisition de celui-ci malgré l’augmentation de influencés par la crise économique A) Présentation de l’entreprise : Raison social Forme iuridique : INDUSTRIE COTONNIERE DU MAROC ICOMA e (SA) au capital de :s PAGF OF icoma@menara. ma Adresse Mohammedia, Maroc : Boulevard Hassan Il, BP102 B) Historique de la société : L’industrie cotonnière du Maroc, par abréviation ICOMA, est une ociété anonyme au capital de 34. 842. 300 dirhams, qui a été créée en 1947 par le groupe textilien SHEFFER, groupe français alsacien. L’ICOMA est une unité textile intégrée qui emploie environ 350 personnes dont plus de 20 cadres supeNisés par une équipe vacataire d ‘experts européens en textile.
Les bâtiments de l’usine couvrent une superficie de 28000 m2 sur un terrain de 60000 m2 partiellement aménagé habitations destinées aux cadres de la société. A la fin des années 60, il y a eu les premières insertions des cadres marocains dans la société ; et cette marocanisation s’était omplétée vers les années 74-75 quand la société fut achetée par monsieur Mohamed MEKOUAR propriétaire à cette époque d’une autre grande société de textile à Dakar au Sénégal, la SOTIBA. A cette époque ‘COMA produisait 5 millions de mètres par an de tissu Sportswear, Flat et velours. Et dés 1976, il y a eu le lancement de la gamme Denim avec une évolution constante ; sa production atteignit les 10 millions de mètres par ans.
Aujourd’hui ICOMA commercialise plus de 15 millions de mètres de tissu par ans basés sur trois li nes de produits, le Denim, le Sportswear et les tissus te dministratifs. rincipalement par l’acquisition de 9000 broches de continu ? filer ZINSER linkées à des bobinoirs SCHLAFHORST et de 2500 turbines Open-end. Il y a eu aussi le renouvellement total du parc des métiers à tisser qui est composé actuellement par 72 métiers double laizes SULZER RUTI P 7100. En ennoblissement, ICOMA a connu récemment la mise en place de deux lignes PAD- STEAM composées dans leur majorité par du matériel KUSTERS et GOLLER, conçues spécialement pour des grandes productions à la continue Cependant, ICOMA a connu dans ces 10 dernières années des complications suites aux événements qu’a connus le textile arocain.
Dans la guerre du golf en 1991 et ses répercussions, la grave crise d’énergie qu’a connue le Maroc en 1992 et 1993 qui lui ont fait perdre ses clients. Les modifications des tendances de mode poussant aux séries courtes et aux réassorts en addition ? l’impressionnant recul du marché du Denim qui représente plus de 86% du produit fini de la société, ont rendu la tâche de plus en plus compliquée. D’autres parts, l’acquisition de machines modernes automatisées qui permettent l’augmentation de la production et la diminution de la commande a obligé la société à diminuer son effectif qui tteignit au début des années 80 à peu prés 1 200 personnes sachant que le besoin actuel se limite à 300 personnes seulement.
On a aussi diminué les heures de travail ; on s’est contenté de 3 jours de travail par semaine. Ces mesures n’avaient pas été accueillies de bienvenues par les syndicats des ouvriers… Dans ces derniers temps, ICOMA a recruté des jeunes cadres du secteur textile pour donner un nouveau souffle et pour améliorer son image de marque. Cependant, la société n’a pas oublié les anciens de l’usine qui ont bénéficié des cours « formation continue » à l’ESITH. Le marché europée anciens de l’usine qui ont bénéficié des cours « formation Le marché européen représente 75% du chiffre d’affaires d’ICOMA c’est pourquoi on fait du marché à l’exportation .
Pour ce faire, on compte perfectionner sa manière de travailler en appliquant les normes européennes de fabrication et de contrôle ; et on opte dans un avenir proche pour une certification. Toutefois, ICOMA a un long chemin à parcourir avant d’être aux standards européens en matière de réactivité, les dirigeants de cette société sont conscients dont l’occupation principale est e réaliser des produits de plus en plus spécifiques, collant à la demande du client, avec un temps de réponse très court sans oublier de maîtriser le coût et la qualité, en cherchant au fur et ? mesure à diversifier la gamme des produits finis. C) Implantation de l’entreprise .
Shéma-l- D) Organigramme : Schéma-2 PAGF s OF Autocoro 2) Le fil cardé ou le ring Battage passage Cardage BE 1er passage Bobinoir BE 2éme CAF BAB GROSSE PREPARATION La grosse préparation constitue la première étape en filature où se fait l’ouvraison, le nettoyage et le mélange des fibres de coton fin d’avor une bonne homogénéisation de la longueur et des propriétés mécaniques ainsi que la couleur et la section des fibres. CIRCUIT DE GP . i) Eplucheur : le prélèvement automatique est fait à l’aide BLONDOMAT, muni d’un détecteur de métal et d’un détecteur d’étincelle, double ligne (tête rotative) ii) Pré mélangeur : Fait le mélange, l’ouvraison et le nettoyage du coton à l’aide d’un tablier incliné à pointe. Il est muni de cylindres garnis et d’une grille afin que les déchets puissent tomber dedans à cause de leur poids plus au moins excessif. iii) AXIFLO • Fait le mélange, rouve PAGF 6 OF oyage. En cas d’un coton Elimination des fibres courtes et axialisation des fibres Mélange des rubans.
Il y a 9 machlnes de BE dont deux types: préliminaire : étirage autorégulateur (BEAR) avec un numéro métrique sortant du ruban de NM0. 2 secondaire : étirage classique avec un numéro métrique sortant du ruban de : NMO. 22 pour le fil OPEN-END NMO. 18 pour le fil RING Le doublage utilisé pour avor un étirage non défaillant est d’E=6. vii) OPEN-END : ICOMA possède deux machines Open-end équipées de 216 turbines par machine, chacune possède un chariot automatique pour le remplacement et les rattaches des bobines ainsi qu’un ystème de flammage à l’aide d’un lecteur de disquette (la disquette est programmée au sein de la société). iil) Banc à broche : A comme fonctions : L’affinage (passage du ruban à la mèche) Donner une légère torsion à la mèche pour ne pas se rompre Renvidage : mettre la mèche sur une bobine. Deux machines d’âgés différents produisent la mèche dont le numéro métrique est de NM 1 ; rune possède 108 broches et l’autre 120 broches. ix) Continu à filer : Réalise les fonctions suivantes • Donner une torsion définitive pour avoir les propriétés mécaniques convenables pour l’utilisation ultérieure du fil. L’affinage pour avoir le tit tian de son utilisation PAGF 7 OF bobinoir se fait par Splice (soudage par soufflage de l’air). RECEPTION COTON Le coton réceptionné passe par un contrôle externe de HVI (Maturité, longueur, neps… Stock coton brut : « Fiche stock matière première » On enregistre les informations liées à la matière (fournisseurs, type, lot, date, poids, stock début, stock d’entrée) On mélange la bonne qualité du coton avec une qualité moyenne « une fiche de mélange » doit être établit pour savoir les changements liés à chaque lot LA PRODUCTION Le planning de production Le planning de production » est établit par le service planning, le document est envoyé chaque fin de semaine, les modifications liées au planning sont prises en considération, les changements du planning pourront effectuer par téléphone ou par changement de document Gestion de la production : « Fiche mélange coton » Tous les mélanges doivent être enregistrés dans cette fiche pour connaître les changements des lots pour prendre les consignes necessaires « Fiche journalière production » : Cette fiche contient toutes les productions par machine : 1. Production des cardes : 2.
Production des étirages PAGF E OF mensuelle Tous les facteurs permettant les pertes en rendement sont représentés par des graphes avec leurs pourcentages d’influence sur le rendement STOCK FIL : Le fil RING et le fil Open-end seront stockés sur des palettes dans l’atelier de filature dans l’attente de sa livraison EXPÉDITION DU PRODUIT FINI L’expédition du produit fini ( fil chaine ou fil trame) se fait vers l’atelier de préparation tissage ou département tissage par « un bon » dans lequel on mentionne NO palette livrée, l’équipe, la machine, le poids, le métrage, le retour si c’est le cas ? Toute expédition est enregistrée dans la base de données » ENTRETIEN ET NETTOYAGE DES MACHINES : Nettoyage des machines Nettoyage quotidien se fait pour éliminer les poussières dans l’atelier de filature Nettoyage hebdomadaire pour éliminer les poussières des organes internes des machines « Fiche du suivi des machines » Le mécanicien remplit une fiche de suivi des machines en suivant le planning de la maintenance préventive ou au cas ou la qualité du produit nécessite une intervention immédiate. Cette fiche contient : la date d’intervention, l’organe concerné, ature des travaux effectuée, les pièces de rechanges utilisées (désignation, référence), le temps d’intervention et l’intervenant A) Préparation tissage : a) Ourdissage . a. 1/ Cantrage : PAGF q OF préserver le parallélisme de la nappe. Guide fil : au niveau de l’ourdissolr le rôle de guide fil réside surtout dans le maintient dans les positions voulus mais la condition normale d’un ourdissoir il faut que le contact soit adoucie entre le fil et le râtelier pour éviter l’endommagement de fil.
Casse fil : leur rôle c’est d’arrêter l’opération de Fourdissage lors de rupture d’un fil. En général : Le rôle du cantre est de donner une tension régulière pour tous les fils par ses tendeurs, ainsi que détecter les casses fils, et faciliter la réparation de ces casses et éviter les entrelacements entre fils. a. 2) / Opération d’ourdissage: i. Définition: L’ourdissage est l’opération de préparer la chaîne des tissus, en enroulant la nappe des fils de chaîne provenant du cantre sur un rouleau, Les fils doivent être de même longueur, juxtaposés, parallèles et en nombre déterminé, avec une tension uniforme. C’est une étape doit être bien faite, pour assurer un bon déroulement du processus tissage.