R Sum Giasson
Résumé partie 4 Giasson Chapitre 17 : Les composantes de l’enseignement de la lecture de la 3ème à la 6ème année : L’évolution des lecteurs de 3e et 4e années : La plupart commencent en 3ème année avec une bonne maîtrise de la lecture et de l’identification des mots. Cependant, ils ont du mal à lire des mots irréguliers ou rares (chlorophylle, ou certaines parties de ceux-ci. Ils doivent aussi élargir leur lexique orthographique. La reconnaissance des mots doit être automatique et mobiliser peu d’attention. Ils vont lire des texte mieux comprendre Ils progressent dans I sti capacités à réagir au or %
Iciles Ils vont hension et les ploiter l’information. L’évolution des lecteurs de 5e et 6e ann es : Ils élargissent leur bagage de mots et peuvent reconnaître des mots irréguliers. Il perfectionnent leurs stratégies de compréhension. Ils peuvent se concentrer sur l’information essentielle d’un texte et sa structure. Ils lisent mieux les tableaux et les graphiques. Ils acquiert plus d’autonomie dans la lecture. La bibliothèque de la classe : Elle donne aux Es des habitudes de lecteurs Amélioration du rendement en lecture et la motivation. *Variété des livres importante (différents niveaux de difficultés).
Classement des livres (présentoir tournant, rotation des livres avec d’autres classes, routine du livre de la semaine, coup de cœur des Es) comprend des activités de lecture avec le groupe classe, en sous- groupe et personnellement. Il doit y avoir un équilibre entre ces différents regroupements. Trop d’enseignement collectif – élèves passifs. L’équilibre dans les types de textes : Il permet de rencontrer des fonctions différentes de texte (roman, fables, encyclopédie, recette, On peut distinguer les textes informatifs et explicatifs. La place des textes littéraires :
Trois dimensions des textes littéraires : *La compréhension : construire du sens en combinant ses connalssances et les Informations. *La réaction au texte : donner une réponse personnelle *L’appréciation du texte : juger et apprécier l’œuvre de l’auteur. La place des textes informatifs : Les textes informatifs peuvent servir à réaliser des travaux de groupes organisés et planifiés dans le temps. Cela permettra aussi aux Es de mettre en place une démarche pour répondre aux questions. La lecture en groupe • Elle est importante. C’est par la discussion collective que l’E pprend des stratégies de lecture.
Le travail en sous-groupe à des avantages. Il peut être dirigé par le M ou pas. Lecture individuelle La lecture individuelle est importante aussi car c’est là que l’E met en oeuvre ce qu’il a appris. La lecture silencieuse en classe est bénéfique mals l’enselgnant doit porter l’attention à ce que l’E lit, l’aider au choix du livre, fixer l’objectif de la lecture, intervenir plusieurs fois pendant la lecture. Lacunes observées : Choix inapproprié d’un livre ar man ue de conseil du M Manque d’objectifs PAGF 3 valorisation de cette période par le M
Manque d’interactions entre Es et M Le rôle de l’enseignant : *Il doit planifier la lecture (moment propice de la journée, et ne pas prendre trop de temps à ça dans le temps total de lecture) *Il doit superviser la période de lecture (réduire les distractions au minimum, échanger sur le livre, *Engager la discussion après la lecture (Poser des questions générales, donner des impressions sur le livre) Les entretiens Es/ M Sont important pour connaitre le rapport à la lecture de chaque E (Quel livre ? Ce qu’il en retiens). Chapitre 18 : Les aspects affectifs de la lecture .
La motivation : La motivation d’un E à des conséquences sur sa lecture. La motivation intrinsèque (satisfaction individuelle) est ? privilégier. Au contraire, la motivation extrinsèque (récompense) est ? oublier. L’attitude: Il faut observer l’attitude de l’E et son image face à la lecture. Si l’E pense qu’il est mauvais, il va avoir un comportement peu propice à l’apprentissage (éviter le contact visuel quand le M pose une question, compter sur le voisin pour dépanner, oublier son livre, détourner l’attention des autres).
Trouver un bon livre qui correspond aux intérêts de l’E peut le transformer en un lecteur avide. Il faut questionner les Es sur leurs centres d’intérêts et les livres qui leur ont plus. Les facteurs qui expliquent la motivation La motivation est liée à . les + faibles eux perdent leur motivation à cause d’une attitude moins stable et face à la quantité croissante de textes inaccessibles. sexe : la motivation est plus importante chez les filles. *La récompense après une lecture. Possibilité de faire un choix *Les tâches stimulantes *Les activités de collaboration (plusieurs Es cherchent et apprennent ensemble) *Les interventions positives du M (stimuler, féliciter, Les profils des lecteurs en fonction de la motivation « Les Es qui font semblant de lire : ils ont besoin d’encadrement. Ils liront lorsqu’ils auront trouvé le livre qui leur convient. *Les lecteurs précaires : Difficultés à lire besoin de textes appropriés et plus objectifs. *Les lecteurs irréalistes : choisissent des livres trop difficiles besoin d’apprendre à choisir les livres. Les lecteurs obéissants : lisent car ils sont obligés. Ne lisent jamais chez eux, ne prennent pas du plaisir à lire besoin d’une classe où différentes sortes de livres sont présents et ou on en parle avec enthousiasme. Les lecteurs habiles, non zélés : bons lecteurs capables de chosir des textes qu’ils aimeront MAIS ne seront pas captivés besoin de faire découvrir une collection, un auteur. *Les lecteurs de textes documentaires : (garçons) Ils pensent qu’il ne sont pas des lecteurs car ils ne lisent pas des romans => Faire comprendre qu’il n’y a pas que les romans en lecture. Les lecteurs limités à un genre : ne lisent qu’un type de livre conseiller de garder ces livres pour lire à domicile et essayer d’autres livres à l’école. *Les dévoreurs de livres : lisent de tout et tout le temps Conseiller de faire une pause pour e Conseiller de faire une pause pour en discuter avec les autres. Autres moyen de motiver l’E : Être un modèle de lecteur passionné : Cela va aussi donner de la motivation aux Es. Le M doit partager ses expériences en lecture avec les Es, montrer son plaisir de lire. Pour motiver l’élève, on peut aussi le laisser choisir certaines tâches (activités sur un livre).
Donner accès à des livres intéressants : Proposer des activités pour promouvoir le livre *Lire un extrait *permettre aux Es d’afficher leurs réactions par rapport à leurs lectures. *Réaliser une affiche pour faire connaître le livre Présentation du livre en 1 min. Diversifier les genres littéraires : (Éventuellement : Sondage sur les genres préférés des Es. ) Enseigner à choisir ses livres . *Il faut d’abord se poser des questions : Comment je choisis un livre ? Quel genre ? Quels sujets m’intéressent ? *Critères de choix : Facteurs structuraux : apparence, nombre de pages, illustrations.
Facteurs sociaux : auteur, prix du livre, .. *Discussion des critères. *Technique en 6 étapes : Regarder le titre – Illustrations – Questions sur l’auteur – Résumé derrière le livre – 3 première pages – une page au milieu du livre Ronde des livres. Créer des habitudes de lecture : Lire des livres tous les jours, savoir choisir ses livres et auteurs préférés, pouvoir recommander des livres aux autres, lire plusieurs genres, Chapitre 19 : La fluidité en PAGF s 3 clés pour définir la fluidité : Exactitude – Rapidité – Expression.
La fluidité est perceptible à l’oral MAIS est aussi présente dans la lecture silencieuse. A la fin du primaire, les Es lisent plus rapidement à voix basse que à voix haute, alors que ces deux lectures ont la même vitesse au début des primaires. Les lecteurs qui lisent avec fluidité peuvent accorder plus ‘énergie au sens des phrases et donc à la compréhension du texte. Liens entre fluidité et compréhension : La fluidité et la compréhenslon vont ensemble, surtout au départ des primaires. Un élève qui a une bonne fluidité comprendra plus facilement un texte.
A la fin de celles-ci, un E qui a une bonne fluidité peut très bien avec des problèmes de compréhension. Il est rare que les Es faibles en fluidité aient une bonne compréhension d’un texte. Causes et problèmes de la fluidité : *Manque de maîtrise des habiletés de décodage d’un texte *Déficience du lexique orthographique). *Faiblesse du vocabulaire oral. Enseignement de la fluidité : Pour enseigner la fluidité : – Encourager la lecture quotidienne : plus on lit, mieux on lit. – Servir de modèle pour la lecture expressive : le M lit avec expression pour montrer aux Es a quoi il faut arriver. Intégrer des activités de lecture répétée (Faire relire un même texte jusqu’à ce que la fluidité soit correcte). -Activités autour d’une poésie lecture répétée. -Le théâtre de lecteurs : C’est une activité composé de deux lecteurs qui lisent devant un auditoire un texte de façon expressive et dramatique. PAGF 6 3 (intéressante, avec beaucoup de dialogues). Ily a 3 étapes : Choix du texte – Répétition du scénario – Représentation. Avantages du théâtre lecteur • Amélioration de l’aisance en lecture, amélioration de la compréhension et amélioration de l’image de soi.
Chapitre 20 : La compréhension : Comprendre un texte = se faire une représentation mentale des informations implicites et explicites du texte. Chaque nouvel élément du texte vient modifier ou confirmer les représentations. Les connalssances préalables influencent aussi ces Les niveaux de compréhension : 1) La compréhension littérale : infos explicites dans le texte. ) La compréhension inférentielle : faire des liens entre les différentes parties du texte pour comprendre le sens caché de celui-ci. ) La compréhension critique : le lecteur doit tenir compte des propos de l’auteur (explicites et implicites) pour les comparer à sa propre perception du texte. Les facteurs qui influent sur la compréhension . Liés au lecteur : *Habiletés langagières : mauvaise compréhension à l’oral, vocabulaire limité, manque de connaissance sur le monde, des concepts *Habiletés en identifications de mots : mauvaise conception de la lecture (uniquement décodage), mauvalses stratégies de Liés au texte La cohésion du texte : si les liens entre les idées du texte sont explicites, le texte est plus facile à comprendre. La complexité du texte : on vocabulaire, la 7 3 les Es savent bien décoder MAIS ils ont des problèmes de On remet souvent la faute à l’extérieur de l’école (culture, langue à la maison). Les M eux aussi passent à côté d’inférences. Les profils de compréhension : On distingue plusieurs types d’Es- Ceux qui ont : *Des problèmes de traitement de mots : mauvaise identification de mots. *Bons décodeurs MAIS mauvaise compréhension. *Lecteurs concentrés sur la compréhension locale : ils ne se font as une représentation globale du texte. Lecteurs stratégiques : utilisent bien certaines stratégies MAIS en oublient d’autres. *Lecteur critiques : compétents dans toutes les composantes de la compréhension. Les mauvais « compreneurs » : Ce sont les Es qui identifient correctement les mots et lisent avec fluidité, mais ne comprennent pas ce qu’ils lisent. Le problème vient parfois du M, qui ne juge l’habileté de leurs élèves uniquement à partir de la fluidité de lecture et de leur compréhension littérale. Importance de l’enseignement de la compréhension :
Elle permet aux Es de : Comprendre ce qu’ils lisent Se souvenir de ce qu’ils ont lu Apprécier leurs lectures Communiquer avec les autres sur leurs lectures Vouloir lire davantage Approches de l’enseignement de la compréhension : Stratégies de compréhension : enseignement explicite de certaines de ces stratéeie Iisation. PAGF E 3 est obtenu grâce à l’inférence. Elles peuvent servir à relier des phrases, à compléter des infos manquantes ou implicites, faire des rapprochements entre des infos éparses dans le texte.
En effet, celui qui écrit le texte ne peut pas TOUT dire sous peine e redondances ou sous-estimer les capacités du lecteur. Ce sont les interprétations qui ne sont pas littéralement accessibles, des mises en relation qui ne sont pas explicites. L’inférence : Cest la démarche mentale du lecteur qui met en rapport deux ou plusieurs éléments du texte – entre eux et/ou – avec son expérience du monde et avec ses schémas mentaux pour construire une signification qui n’est pas explicitement donnée.
Les différentes types d’inférences : Les inférences logiques: l’affirmation est nécessairement contenue de façon implicite dans la phrase (ex: les juifs étaient risonniers dans des camps de concentration pendant la 2ème guerre mondiale) ou (ex: Amanda est partie pendant l’été en camps avec les baladins) Les inférences pragmatiques: se rapporte à une information probablement sous-entendue dans la phrase, mais nécessairement vraie (ex: les juifs étaient prisonniers en Pologne pendant la guerre) ou (ex: Amanda est partie en camps en France avec les baladins) Les inférences nécessaires : Indispensable à la compréhension du texte Inférences causales = lien de cause à effet – nférences référentielles = liens entre un mot et un pronom Inférences lexicales = trouver le sens d’un mot Les inférences optionnelles : Ne sont pas essentielles à la Les inférences de cohéren ntre deux éléments du 3 cohérence : Locales (entre deux éléments du texte) ou globale (assurent la cohérence du texte). Les inférences d’élaboration : Elles enrichissent les représentations mentales du texte.
Les causes des problèmes liés aux inférences : *Causes liées au lecteur : Certains Es ne réalisent pas que les inférences sont nécessaires. D’autres ne possèdent pas les habiletés mentales ou les connaissances nécessaires. Certains tiennent compte, malgré des infos contradictoires, de leurs hypothèses de départ. *Causes liées au texte : – Textes demandant au lecteur de faire plus d’inférences – Le texte manque de cohésion e texte peut être trop difficile pour l’élève. *Causes liées a l’enseignement : Il se peut que l’on enseigne peu l’inférence en classe. Le travail sur les inférences : On peut travailler l’inférence de différentes manières : *Faire prendre conscience aux Es de l’utilité des Inférences. Commencer par les inférences à l’oral (donnent une idée plus concrète de ce que lion attend des Es lors dune tâche écrite). Servir de modèle (dans notre façon de procéder pour générer une inférence). *Poser des questions d’inférences (Pourquoi ? Comment le sais- tu? ) *Regrouper les questions pour favoriser la production d’inférences (poser une série de questions, du littéral vers l’inférence ou le contraire pour aider l’E à produire des inférences). *Intervenir à tous les niveaux du texte (sens d’un mot, liens entre les phrase, liens entre les différentes parties du texte). *Exploiter des histoires drôles devinette, blague). Est-ce que l’E rit parce qu’il à comprit l’hist ue tout le monde rigole 10 3