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Gestion des organisations Résumé de lecture Chapitre 1, L’état des lieux et les fondements du management Section 1, L’état des lieux : le management à l’ère du capitalisme financier Définition du management : Il s’agit d’une série d’activités intégrées et interdépendantes, destinées à faire en sorte qu’une certaine combinaison de moyens (financiers, humains, matériel etc. ) puisse générer une production de biens ou de service économiquement et socialement utile et si possible, rentable. Management Concept (représentation mentale abstraite) + Métier (un travail q e techniques spécia connaissance) + une l’action) 1.

Le système manag cs ore View nextÇEge n ensemble omaine de croyance qui guide onomque a l’intérieur du vue en classesyst me sociopolitique Le système managérial émerge du système économique du pays, c’est pourquoi il n’y a pas de système managérial universel. Le système économique lui émerge du système sociopolitique du pays, on construit donc un système économique à l’image de notre histoire, de notre culture et de nos valeurs. C’est encore une raison qui montre qu’un systeme managérial universel est impossible à réalisé.

Différent type de capitalisme Capitalisme Anglo-saxon fondé sur le marché (Australie, Canada, États-Unis) Capitalisme asiatique méso corporatiste (Corée du sud, Japon) Capitalisme social-démocrate (Scandinavie : Danemark, Finlande, suède) Capitalisme européen (Allemagne, Autriche, Belgique, France) IMPORTANT Les marchés financiers fournissent des capitaux aux industries pour qu’elles puissent se développer. penseur comme Smith et Ricardo théorisent les fondements de ce système pronant sur la concurrence, la maximisation des intérêts individuels.

C’est pourquoi on voit apparaitre les bases ‘une économie ou la finance prend de l’importance, tout en valorisant la réalisation des profits à court terme. Début de la théorie de la division du travail. On divise le travail et on simplifie les tâches afin de réduire au maximum les coûts de production (Fordisme). La grande dépression de 1929 et ses conséquences néfastes on permet de faire comprendre qu’il fallait réglementer les marchés afin d’évité de retomber dans une crise majeure.

Après la deuxième guerre mondiale les États-Unis on fait face ? de grand défi pour relevé les marchés et qu’il était incapable de réer un équilibre économique. La vision libérale de l’économie laissera place à une vision Keynésienne, qui encourage l’état à intervenir lorsqu’il y a une situation de crise. C’est pourquoi dans la période de Yaprès guerre les économies américaine et européenne se sont engagé dans de grand projet d’infrastructure (école, université, route, pont) afin d’aider a relancer l’économie.

Le modèle managériale associé à ce système économique, avant et après la guerre est essentiellement celui de l’école formelle d’administration. Le modèle fordiste est largement dominant. 1. 2. De la gouvernance du système économique capitaliste industriel Terme gouvernance renvoi à toutes les influences touchant le processus de sélection des administrateur et des dirigeant dans le cadre de l’organisation de la production des biens et des seNices, de même qu’à toutes les influences externes touchant les opérations ou les administrateur.

La gouvernance d’une organisation détermine la nature des rapports existant entre les diri eants d’une entreprise et des PAGF 3 organisation détermine la nature des rapports existant entre les dirigeants d’une entreprise et des différences parties prenantes actionnaire, employé) Au début du capltalisme industriel, le dirigeant de l’entreprise était souvent, actionnaire majoritaire, propriétaire et gestionnaire. Ce modèle commencera à changé dans les années 1940-1950.

Ce changement est entre autre causé par : les développements technologiques la complexité de la gestion des grandes entreprises modernes rôle grandissant de la planification et de Pélaboration de la stratégie présence accrue des marchés extérieurs crise de fénergie niveau de vie nouveau pays émergent Nouvelle économie repose à la fois sur un capitalisme financier et ur un capitalisme cognitif. Moteur : innovation Tout ceci nécessite des expertises poussées et multiples que les entrepreneurs ne pouvaient pas tous posséder.

Avec la gouvernance, les gestionnaires assurent aux actionnaires un niveau acceptable et continue de profit au moyen de dividendes, cependant leurs but premier n’est pas la maximisation des capitaux des actionnaires mais la croissance de l’entreprise et sa pérennité économique. 1. 2. 3 L’émergence de la nouvelle économie 1970, choc pétrolier. Augmentation du prix de l’énergie génèrent un gros choc sur l’économie américain qui est habitué au marché e l’énergie a bas prix.

De plus durant les mêmes années, une plus grande offre de produit japonais et scandinave qui mise sur la qualité des produits vient ébranler l’économie américaine. L’économie s’en va donc vers une économie ou l’information et la qualité sont misent de ravant. L’essor des technologies permet de cumuler une grande quantité d’informations pertinentes sur les clients afin d’offrir un produit sur mesure. 1980 Nouvelle économie est basée sur la PAGF OF formidablement par les technologies de l’information et financer par les marchés financiers mondiaux.

Durant les années 1990 les secteurs traditionnels perdent des emplois alors que les secteurs technologiques en gagnent massivement. Capitalisme cognitif : fonde sur la mobilisation des connaissances dans les processus de production tangible et intangible, sur l’apprentissage et la formation, sur la mobilisation massive des technologiques. 3. Du capitalisme financier à la gouvernance financière Capitalisme financier : N’a plus pour but de financer le développement des industries.

C’est l’ensemble des activités spéculatives entre agents qui vise a maximiser les gains dans les délai les plus court possible. On achète une action au prix le plus bas et on la vend au prix le plus haut dans le délai le plus court possible. 1. 3. 3 La gouvernance financière et le management : les contradictions fondamentale 1980 c’est le début d’un libéralisme, on veut réduire le rôle de l’état autant que possible en rédulsant un grand nombre de règlementation.

La gouvernance managériale laisse place a la gouvernance financière c’est donc les actionnaires qui imposent leur volonté aux autres parties. Les gestionnaire sont alors mandaté pour maximisé la valeur de l’action car une grande partie de la émunération des actionnaires se fait par action. Les actionnaires sont alors obséder par la maximisation de la valeur de l’action. Donc une entreprise peut décider de faire des mise a pied, même SI la situation financière est acceptable dans le simple but de faire augmenter la valeur de l’action.

Voir tableau 1. 2 Cette gouvernance financière place le management d’aujourd’hui face à trois contradictions lm ortantes Rapport entre le capitalis le capitalisme cognitif : PAGFd désintéressée : Gratuite (internet) Connaissance tacite et informelle Développement de connaissances pour satisfaction personnelle u partage collectif Connaissance/information qu’on peut s’approprier et marchandiser • Connaissances codifiées Information correspondant aux connaissances codifiées 1. 3. 3. Le court-termisme Le temps des actionnaires est souvent court, parfois quelques heures ou quelques jours alors qu’une entreprise élabore un plan stratégique sur 5 ou 10 ans. L’entreprise doit donc tenter d’harmonisé ses plan a long terme avec les désire de maximisation a court terme de ses actionnaires. Et donc obligatoirement dans cette situation, la logique managériale devient elle aussi court-termiste lle s’intéresse donc au projet qui rapporte a court terme et coupe dans la formation des employés et la recherche et développement. . 3. 3. 2 Le maximalisme L’investisseur souhaite la maximisation de ses actions dans les délais les plus courts possibles. Culte de la performance, les gestionnaires font des mise a pied afin d’augmenter la valeur de l’action, ils dévalorisent les employés et favorisent les actionnaires et ils se privent de la compétence des employés congédier. 1. 3. 3. L’immatérialité ou la négation de Péconomie d’échelle C’est la négation de la place accordé à l’être humain dans ‘économie du savoir. Le moteur créateur de la richesse de l’économie c’est la connaissance. Ceux qui possèdent la connaissance ce sont les employées et si Von veut améliorer le niveau de l’entreprise, il faut que les employés aillent ac uérir de nouvelle connaissance par l’entremise de formation. donc une relation a Ione PAGF S brevets.

La logique maximaliste de la gouvernance financière oblige souvent le management a prendre des décisions qui ne sont pas dans l’intérêt de l’entreprise ni des employés ni de la société ni du marché financier. Section 2 : Les écoles classiques de la pensée administrative . courant de pensée formel ou rationnel 1. 4. 1 La perspective libérale classique Réforme protestante forme la première base du capitalisme libérale classique ADAM SMITH élabore première théorie sur la productivité pensé formel devient PENSÉ SCIENTIFIQUE 1. 4. L’origine du principe de la division du travail : La quête de la productivité Adam Smith : vue en classe Existence d’un ordre et de lois économiques conformes a la nature de l’homme parmis lesquelles la LIBERTÉ D’ENTREPRENDRE, recherche de L’INTÉRÊT INDIVIDUEL ou du profit comme moteur conduisant infailliblement à l’intérêt énérale grâce à la MAIN INVISIBLE DE LA CONCURRENCE Utopie de la concurrence LIBRE ET PARFAITE Argument économique : Efficacite Dynamique de marché libre Élimination des entreprises faibles ar la main invisible Limitation des abus PAGF 6 3 engendré par la division du travail Différence avec smith- la division du travail pour rechercher les gains de temps, les habiletés accrues et l’innovation pour abaisser les coûts globaux de production Réduction de la valeur économique du travail 1. 4. 3 Le modèle de l’organisation scientifique du travail 1. . 3. 1 principe de OST 1. La direction met au point la science de l’Exécution de chaque élément du travail . Décomposition des tâches en éléments constitutifs Analyse de ces éléments pour élaborer la meilleure méthode Définition de chaque geste et les imposer comme normes de rendement -z Transfert de toutes les techniques et du savoir-faire de travail VERS LA DIRECTION 2. FORMATION, SUIVIE CONTROLE PERMANENTS DU PERSONNEL = Confier tel type de travail à tel type d’employé, en étudiant «systématiquement le caractère, la personnalité et ractivité de chaque ouvrier. 3. Mise en place d’un système de salaires proportionnel au . SÉPARATION RIGOUREUSE des tâches entre ceux qui conçoivent et ceux qui exécutent LA DOUBLE DIVISION DU TRAVAIL 7 3 diviser -les employés doit jouir d’une dose non-négligeable d’autonomie 2. Autorité et responsabilité« commander et se faire obéir mais avec sanction qui récompense ou pénalise l’exercice du pouvoir 3. Subordination de l’intérêt individuel à l’intérêt général« L’intérêt d’un agent ou d’un groupe d’agents»* ne peut en aucun cas « prévaloir contre l’intérêt de l’entreprise » 4. Rémunération du personnel « doit être équitable»*, et « donner atisfaction… à la fois au personnel et à l’entreprise »* Partage des bénéfices… 5. Équité « la combinaison de la bienveillance avec la justice 6.

Initiative S’applique à tous: « la possibilité de concevoir et d’exécuter « la liberté de proposer »* 7. Stabilité du personnel Il faut du temps pour qu’un agent s’initie à une tâche et soit apte à la remplir adéquatement -toute instabilité du personnel ne peut qu’être néfaste et coûteuse 8. Union du personnel Éviter de mal interpréter la devise « diviser pour régner » diviser l’ennemi » mais pas « ses propres troupes ?viter d’abuser des communications écrites (implique une vraie communicatlon dans les deux sens -dialogue) 9. Hiérarchie (haut vers le bas) 10. unité de commandement (un seul chef) 11. Unité de direction (un seul programme) 12. Centralisation 13. ordre 14. Discipline 1. 4. 4. Les principales opérations de la fonction d’administration 6 fonctions de l’entreprise : Techniques (production, fabrication, transformation) Commerciales (achats, ventes, échanges) Financières (recherche et gérance des capitaux) Sécurité (protection des biens et des ersonnes) Comptabilité (inventaire, b vient, statistique) PAGF 8 3 structures, règles (aspect social et matériel de l’entreprise) (chapitre 3) Commander (Commander): faire fonctionner le personnel (exécution) vers les objectifs (chapitre 4 —Décision/Direction) Coordination (Coordonner): cohérence des opérations (« relier, unir et harmoniser tous les actes et tous les efforts -(chapitre 4 -Décision/Direction) Contrôle* (Contrôler):« veiller à ce que tout se passe conformément aux règles établies et aux ordres donnés »* (vs aujourd’hui: vérification 1. 4. L’organisation bureaucratique (weber 1864-1920) Dominance rationnelle bureaucratique Types d’autorités selon webber . Domination charismatique (Jack Layton) • Base de qualité personnelles Foi des subordonnée en celui qui dirige Appareil administratif souple Domination traditionnelle (Élite dans la société) : Base de la tradition et coutumes pouvoir transmit par héritage Appareil administratif comportant des attachés de chef Indépendance relative des subordonnées Domination rationnelle-légal Sur la base des lois des règles et des procédures Détention par le chef d’un pouvoir qui découle d’une nomination légale Délimitation du pouvoir par des règles Appareil administratif= bureaucratie 1. 4. 5. Les caractéristiques du modèle bureaucratique Les membres personnellement libre et soumis a une autorité pour leur fonction officielles Hiérarchie d’emploi claire et bien définie Chaque emploi a une sphère de com étence légale bien défini Emploi sur relation contra Établissement de règle impersonnelle Centralisation des décisions Isolement de chaque catégorie hiérarchique Établissement de relation de pouvolr parallèles devant l’impossibilité d’éliminer toute zone d’incertitude. Nuit a la satisfaction des membres Isoles les influences sociale Défavorise l’innovation Accroit la résistance au changements Principale contribution : Gestion fondée sur la rationnalité, Pimpersonnalisation et la regularité des comportements. Autorité et subordination dans les entreprises Définition précise des tâches et élimination des actes subjectifs Point faibles : Inflexibilité des règles et des normes Ralentissement du processus décisionnel Incompatibilité avec la créativité et l’innovation 1. 4. conclusion L’organisation : un instrument pour la réalisation des buts établis par la direction -=Direction verticale Comportement infléchis administré d’une manière rationnelle par des règles, des incitatifs économique et du recrutement planifié Limites des approches formelles Déterminisme, pensé cartésienne(prédire a 100%) Des loi non applicables à toute les situations, pas de loi universelle L’autorité risque d’occasionner des conflits Engagement total à la rationalité, l’impersonnalité et la régularité (besoin d’être créatif) Contrôle au détriment de l’autonomie et de l’épanouissement (aliénation, retrait) Priorisation des objectifs de l’entre rise (long terme) et minimisation des influenc umaine