Qu’est ce que le rnoi?

essay A+

Elles furent publiées pour la première fois après la mort de Pascal en 1670. Cette ?ouvre inachevé regroupe des pensées censées faire l’apologie de la religion chrétienne. Cet extrait aborde la notion de conscience, en effet la première phrase «Qu’est ce que le moi? »(l. La) nous fixe d’emblée sur la nature du questionnèrent. Pascal s’intéresse au « moi » et se demande ce que l’on aime chez autrui par une série de questions/réponses.

Pascal nous montre ensuite que nous n’aimons pas la personne mais es qualités, puis s’interroge sur le moi substance et en déduit que l’on n’aime pas l’essence de a personne mais ses qualités et l’ensemble de ses caractéristiques éphémères. En premier lieu, Pascal sépare déjà l’être en 2 parties, dans la phrase « un homme qui se met à la fenêtre pour voir les passants, si je passe par là, puis-je dire qu’il s’est mis l pour me voir dans un premier temps, « l’homme qui se mets à la fenêtre » s’ est mis « pour voir spire toi vie nées page Qu’est ce que le moi? Escale premier boy traits piqué 04, 2009 | 3 pages roi les passants », hors vu que nous faisons partis de ceux- ci, il nous voit, mais sa vision s’arrête à notre physique, notre manière d’être, notre comportement, les caractéristiques qui nous sont propres, il ne voit donc qu’une partie de notre être, on peut donc dire que notre moi-substance ne lui apparaît pas, il ne perçoit que « la partie émergée de l’iceberg » de la personne qu’il aperçoit. Ensuite, Pascal essaye de définir ce que l’on aime chez une personne. Il pose deux questions à ce sujet. Mais celui qui aime quelqu’un à cause de sa beauté l’aime-t-il ? (13-4) est la première et la plus signifiant. En effet, le mot beauté est très important. On est amené à aimer ce qui est beau, mais la beauté qu’elle soit physique ou mentale, n’admet pas de normes bisexuelle dépend d’un point de vue. Une personne peut très bien trouver une ?ouvre d’art ou une personne belle, alors qu’une autre non. Donc la beauté est un terme subjectif qui ne peut concerner que la partie visible de notre être.