Provence
Alors que j’arrive à Marseille, fin avril, pour y rencontrer les acteurs du CASSE, la température est plus que clémente, le soleil brille et tout est bleu. Le beau ciel sans nuage, la méditerranéen, cette Grande Bleue, et jusqu’ polo de Richard cotera, le président de la Région CASSE. Dénies, qui est présidente du classa du Groupe de laboratoire de Marseille (GLU), est aussi secrétaire élue de la Région. « C’est une région à femmes, me dira-telle, non sans fierté. Ici, le CASSE est très féminin.
Y compris au niveau des responsabilités : quatre des six membres du Bureau premier boy réussie horripila 11, 2009 | 15 pages régional sont des femmes. » Ce matin-là, Dénies, Richard et leurs collègues sont encore en réunion de Bureau lorsque e descends du TIGE à Saint-charges. Et c’est à Sainte- marquerait-dromes, l’un des terminus de la ligne 2 du qu’il a recueillie – que volontaire et passionné : « Dans une entreprise, c’est essentiel que les gens fassent des choses ensemble.
Avant, j’étais dans le privé et je m’investissais aussi dans le CE. Si tu veux être bien dans ton entreprise, il faut que ça bouge, il faut tout faire pour créer des liens. » « Il y a environ 2000 agents et retraités dans a région, ça prend du temps », précise-t-il, comme s’il en était besoin. Richard dispose d’un seul jour de décharge de service par émane et il est responsable du service informatique commun de son alba, à Château-gommera. Les Bouches-du-Rhône et principalement à Marseille.
Mais la cité bouchonné est très grande ; nulle autre ville en France ne s’étend sur une aussi vaste superficie (quatre fois Paris). Conséquence : durant les trois jours de ma visite, Richard, qui a l’extrême gentillesse de me servir de « pilote », ne peut m’amener dans tous les classa de sa Région. Écouter les collègues, les voir (et les photographier) en activité, cela aussi prend du temps. Et il n’est pas possible de tout voir, a fortiori de rencontrer tout le monde.
Ainsi, lors de mon précédent voyage, en région Centre-Est, je n’avais pu raisonnablement me rendre que dans « On va de l’avant ensemble » Tout en conduisant, le très sympathique président de la Région CASSE commence à me présenter les activités organisées en province avec et pour les agents. Elles sont aussi nombreuses que variées : aquarelle, bibliothèque, céramique, chorale, expositions, musique, philatélie, poterie, photo, théâtre, sorties p bob épi cul de ta acte d’ cou que De en les dé ré la r pp duel 7 loyal l’ I »importante activité d’autres sections éloignées de Annecy, Besançon, colleront-ferrade, Dijon.
Mais p d’efficacité, de lisibilité. Ici, en province, je n’ai pas, temps de me rendre à Saint-charges et à lumineux ni au Laboratoire d’stratosphérique de Marseille. En m’accompagnant de Saint-germé au GLU, d’aux-en- province à Saint-miches-l’Observatoire, Richard n’ cessionnaire no 76 ? automne 2005 15 toutefois aucune difficulté à me faire apprécier la la diversité du CASSE sous le soleil de province. « Partager, c’est fabuleux ! Briguait école et hibernante visière, qui nous AC à la Maison méditerranéenne des sciences de l’or sont déçues : la chef de ch.?Ur n’ pu venir et nous aurons, comme prévu, assister à la répétition de chorale. Nous n’en aurons que davantage e loisir d dialoguer avec les collègues qui animent la section d’aux-en-province. Ici, le CENS est hébergé par l’Uni « J’ai créé l’activité gamme, me dit hibernante. Une pli. La! Relaxation, une plus remise en forme. Le problème, que nous n’avons pas de locaux et faisons cela dame salle de cours.
Si on avait une salle rien que pour le activités, ce serait bien. » Nous sommes assis dans salle de cours et Richard me confirme : « Les locaux l’Université, c’est le souci numéro un. » Ici, le CASSE r expose que d’un simple bureau où sylvicole aiguilla? régulièrement assurer une permanence. Deux de SI collègues secrétaires professionnelles, année gibet l’importante activité d’autres sections éloignées de Lyon ? Annecy, Besançon, colleront-ferrade, Dijon. Mais par choix d’efficacité, de lisibilité.
Ici, en province, je n’ai pas, hélas, le temps de me rendre à Saint-charges et à lumineux ni même toutefois aucune difficulté à me faire apprécier la vitalité et Briguait école et hibernante visière, qui nous accueillent à la Maison méditerranéenne des sciences de l’homme, ont déçues : la chef de ch.?Ur n’ pu venir et nous ne pourrons, comme prévu, assister à la répétition de la chorale. Nous n’en aurons que davantage le loisir de dialoguer avec les collègues qui animent la section locale d’aux-en-province. Ici, le CENS est hébergé par l’Université. J’ai créé l’activité gamme, me dit hibernante. Une plus relaxation, une plus remise en forme. Le problème, c’est que nous n’avons pas de locaux et faisons cela dans une salle de cours. Si on avait une salle rien que pour les activités, ce serait bien. » Nous sommes assis dans une salle de cours et Richard me confirme : « Les locaux, avec ‘Université, c’est le souci numéro un. » Ici, le CASSE ne dispose que d’un simple bureau où sylvicole guillemet vient régulièrement assurer une permanence. Deux de ses collègues secrétaires professionnelles, année gabarit et permanence.
Deux de ses collègues secrétaires professionnelles, année gabarit et lauréate lourdaude, tiennent également des permanences à Saint-charges et Saint-germé, comme à lumineux et au GLU. Jean-clause paysages et Véronique gencives, respectivement président et secrétaire élue du classa, nous rejoignent au café. Véronique est intarissable sur la chorale, qu’elle anime : « C’est vraiment samba. AI y a tous les statuts, toutes les qualités vocales. C’est essentiellement un travail de respiration et d’écoute. L’idée : s’écouter, se placer par rapport aux autres, au groupe.
Il faut donc s’entendre. À tous les sens du terme. » La chorale, qui réunit depuis deux ans une vingtaine de personnes, travaille sans partition sur des chants populaires de tradition orale : bulgares, égorgeons, italiens, arabes… Ses membres ont donné des concerts devant les collègues, à l’occasion de la Fête de la musique, et ils franchissent une étape, cet été, en se produisant à Marseille. Lieu de répétition : salle de cours no 9. « On n’ pas de lieu, chaque fois on doit pousser les tables », précise Véronique. Pas vraiment facile !
Mais son enthousiasme n’en paraît pas atténué : « Pour nous, la chorale, c’est un vrai moyen de communiquer, d’échanger. D’avoir entre collègues des relations complètement différentes. Partager, c’est fabuleux ! » Et la secrétaire élue d’ajouter : « Je vais aussi à la piscine à côté avec une carte du CASSE. Merci le CASSE ! » 16 Sur le cours marteau, Richard évoque l’enthousiasme de véronique Véronique : « Là, je n’ai guère le temps de participer à des activités. Mais c’était la même chose quand je pratiquais l’??nologie. On ne la plus fait pendant quelques années.
Il faut que quelqu’un tire la charrette. Et on va pouvoir redémarrer à la rentrée à Saint-germé. » La passion, le plaisir, le bonheur de partager, voilà ce qui motive ces animateurs du CASSE. « Tu ne peux faire venir des jeunes que si tu arrives à les motiver pour qu’ils fassent partager leur passion aux autres. Et alors, cela fait une nouvelle activité pour les agents. Une activité dont tout le monde peut bénéficier. » Tandis que nous revoyons déjà la basilique Notre-Dame-de-la-Garde, la « Bonne Mère » sébiles de partout, à Marseille, Richard me fait aussi part des difficultés rencontrées.
Le rôle des secrétaires administratives est essentiel et, en cas de vacance de poste, leur remplacement tardif peut mettre en péril la permanence des activités, sinon l’existence du classa. Pour les prochaines élections de la section de lumineux, il n’est pas facile de trouver des volontaires : « Au départ, c’est difficile pour les gens d’accepter de s’investir, de prendre des responsabilités. Après, leur dynamisme est évident. » Les élections se font sur liste intersyndicale. « Tous ne sont pas syndiqués, c’est ouvert. C’est aux agents, aux collègues de se prendre en charge.
D’animer des activités, de nous les propos- sers. Si quelqu’un se passionne pour quelque chose, on es nous les propos- sers. Si quelqu’un se passionne pour quelque chose, on essaie de faire en sorte qu’il puisse en faire profiter les autres. » De Saint-germé au GLU Le classa de Saint-germé est très ancien. « C’est l’un des plus anciens de France, il date du milieu des années 1960 », précise jean Berger, ancienne présidente de la Région CASSE. Aujourd’hui, la section locale est commune à la faculté Saint-germé et au pôle de Château-gommera : les lus sont issus pour moitié de chaque site.
C’est à « La café », la cafétéria des étudiants, que sa présidente, astral toits, et raisonné arrosa, en charge des sorties enfance et du suivi de gestion de la cantine, me présentent leurs activités : cours de gamme et de plongée, escalade, sorties thèmes pour enfants et adultes (écumeuse, camarade, Observatoire de Haute-province… ). « Pour la cantine, me dit raisonné, on demande l’avis des utilisateurs. Et on veille à ce que es gens soient satisfaits. » Bref passage au local administratif. « Ici, comme on gère les tickets de la cantine, es gens passent souvent, m’indique astral.
année, la secrétaire, c’est notre pilier, elle est géniale. » jean, qui est trésorière de la SeRAS Archéologie, en évoque la longue histoire et ses multiples sorties, des fouilles gallon-romaines d’aux aux musées de Lille. Au programme de cet été : deux semaines en Corrèze, de privé à Tulle, en passant par le beau village de colonnes-ai-Rouge. Visite de l’Observatoire de Haute-province en compagnie de clause vielle, son directeur adjoint (à gauche) et de Jill de Haute-province en compagnie de clause vielle, son directeur adjoint (à gauche) et de agiles cacherez, animateur de la section locale CASSE (à droite).
En début d’après-midi, c’est avec café et petits gâteaux qu’élus et secrétaires administratives nous reçoivent dans la grande salle d’activités du classa du GLU. « Ici, c’est notre château, commente Dénies Requin, sa présidente. C’est le CENS qui la construit pour nous. Nous sommes très bien logés. » Difficile de ne pas adhérer à ses propos. La section locale, qui était jusqu’ il ha deux ans dans des préfabriqués, dispose depuis lors de bureaux et d’un espace bibliothèque fort agréables mais aussi, et surtout, d’une salle spacieuse aménagée pour le théâtre.
Visite guidée : loges, costumes, table de mixage, salle de spectacles de 80 places, équipée de projecteurs. Les activités sont multiples. Le alba photo est « reparti », les sorties ski, les rendons avec ânes en retarde, les voyages en pays cithare connaissent un succès renouvelé. Yoga, gamme, jazz. Un quatuor à cordes anime, de temps en temps, la pause-café. Aujourd’hui, clause ère, un collègue de Richard, accroche une exposition. Intitulée « Marseille 1906-1926, naissance de la modernité », c’est une collection de superbes photographies réalisées sur plaques de verre par son grand-oncle Pierre coûteras.
Quelques bâtiments plus loin, Dénies n’est pas peu fière de me faire découvrir la salle de musculation, très bien équipée elle aussi. Pas de mystère : « Nous sommes dans des locaux CENS. Nous avons, c’est vrai, des relations suivi Pas de mystère : « Nous sommes dans des locaux CENS. Nous avons, c’est vrai, des relations suivies avec la Délégation. AI ne faut pas hésiter à faire la démarche de leur demander. Chaque fois qu’on leur a demandé quelque chose, ils nous ont dit oui. » Je retrouve Richard à « La Villa », le siège de la Région CASSE. « La Villa » mérite bien son nom.
C’est une petite maison d’un étage, entourée de verdure. Au réez-de-chaussée, la halte-garderie, où je rencontrerai mercredi la responsable, clause gabarit, et une vingtaine d’enfants d’agents. Derrière, un espace jeux sécurisé. À l’étage, les bureaux de la Région. Sa secrétaire administrative, marelle perron, est un agent CENS affecté au CASSE au début de cette année. « Le poste est intéressant, me confie-t-elle. Les tâches sont très variées, ça se passe très bien avec les collègues. Et je m’occupe aussi des colonies de vacances. Donc je rencontre des agents. C’est la partie « super fin » de mon travail.