Probl Me Conomique Et Sociaux
Introduction La performance économique d’un pays est plurielle et peut être analysée par l’étude des indicateurs traditionnels que sont la croissance du PIB, le taux de chômage, le taux d’inflation, la croissance de la production industrielle et la balance commerciale. La qualité de vie est economique. D’abord parce que to objet daméliorer le b au service du social. or 5 Sni* to View la performance devrait avoir pour conomie étant ainsi Ensuite, parce que le système économique a besoin des hommes et de leurs compétences pour fonctionner.
Cependant, les études empiriques montrent que les formidables rogrès économiques de certains pays s’accompagnent d’importantes dégradations des conditions de vie des hommes. Face à la crlse d’endettement international des années 1980, le Maroc s’est engagé, à l’instar de nombreux pays en voie de développement à appliquer des politiques d’ajustement structurel en contrepartie du rééchelonnement de sa dette.
Ces politiques d’essence libérale, axées sur une réduction du rôle de l’Etat, la déréglementation, la libération du commerce extérieur, la réduction des dépenses de l’Etat et la mise en place de politiques anti-inflationnistes et de promotion des capitaux ?trangers, ont permis d’obtenir des résultats positifs sur le plan d’ajustement structurel ont également eu pour conséquence une baisse importante de la date extérieure.
Néanmoins, le prix à pays a été lourd surtout sur le plan social avec notamment une hausse importante du coût de la vie, une aggravation du chômage et par conséquent un appauvrissement de la population. Chapitrel : La croissance et le développement. L’un des objectlfs des pouvoirs public est de mettre en place les conditions favorisant le développement harmonieux de l’économie, en particulier en assurant le respect des grands ?quilibres macro-économiques. Pour mettre en place une telle politique économique, il est nécessaire qu’ils disposent d’informations sur l’activité économique.
La mise en place de conditions propices passe par la recherche d’une croissance soutenue dont il importe de connaitre le mécanisme et les facteurs. La croissance économque entendue comme révolution du produit intérieur brut (PIB) fournit des emplois supp émentaires et permet à FEtat de mener des actions de redistributions, de financer les infrastructures nécessaires et d’augmenter les dépenses d’éducation et de santé et en conséquence réduire la auvreté. Sectionl : De la croissance au développement 1- Notions d’expansion et de croissance économique : L’expansion représente l’augmentation de la production à court terme.
C’est un phénomène conjoncturel, dont le retournement peut aboutir à la récession. La croissance économique peut se définir comme un accroissement durant une Ion ue ériode d’un indicateur de la performance économique rée quantitativement par *AGF 9 rif s performance économique. Elle est mesurée quantitativement par l’augmentation du produit intérieur brut(PIB) (ou parfois le PNB). Cependant, cette mesure ne reflète qu’imparfaitement les isparités des niveaux de richesses effectifs entre les pays.
La croissance économique est recherchée par tous les pays dans la mesure où elle devrait permettre de restaurer féquilibre macro-économique, de diminuer le chômage, de réduire la pauvreté et accroître le bien-être des populations. La croissance est dite extensive lorsqu’elle résulte d’une augmentation quantitative des facteurs de productions intégrés au sein du processus productif. Ce type de croissance économique a prédominé durant des siècles. Les quantités de facteurs de production (travail, terres exploitées) utilisées augmentaient en fonction des besoins limentaires des populations.
Cette croissance extensive n’a toutefois pas entraîné une amélioration significative du niveau de vie des populations. La croissance est dite intensive lorsqu’elle résulte de l’existence de gains de productivité. La quantité des facteurs de production est mieux utilisée dans le processus de production est ainsi mieux employée et mieux geree_ Par conséquent, la production augmente plus rapidement que le volume des facteurs de production utilisés. Ce type de croissance a conduit à une réelle augmentation du PIB par habitant au cours du 20éme siècle. 2- Notions de développement et de progrès :
Le développement désigne rensemble des transformations dans les structures institutionnelles, les changements de mentalités et dans l’organisation d’ensemble de factivi institutionnelles, les changements de mentalités et dans l’organisation d’ensemble de Factivité économique. Il est donc la transformation des structures démographiques, économques et sociales, qui, généralement accompagnent la croissance économique. On insiste ici sur l’aspect structurel (industrialisation, urbanisation, institutionnalisation, etc. ) et qualitatif (transformation des mentalités, des comportements, etc. de l’évolution à long terme.
Selon François PERROUX « Le développement peut être entendu comme l’ensemble des changements observables dans le système économique et dans le type d’organisation qui conditionnent la croissance. » Contralrement à la crossance économique qui représente une augmentation quantitative de l’activité économique, le développement traduit les changements qui se produisent au sein de la société, et qui accompagnent les transformations economques Le progrès peut s’analyser sous trois aspects : Le progrès technique correspond aux inventions dont l’application ermet l’évolution économique.
Le progrès social traduit une répartition plus égal’taire des fruits de la croissance. Le progrès économique consiste à produire plus à moindre coût. Il peut être appréhendé comme une évolution ou une amélioration du bien-être à la fois sur le plan individuel et sur le plan collectif. Il sous-entend l’existence d’un processus à long terme qui engendre une augmentation du revenu par habitant, une amélioration de l’état sanitaire de la population. Normalement, croissance et développement économiques doivent conduire au progrès économique. 3- La mesure de la croissan PAGF