Polution De L Air

essay B

La pollution de l’air dans le monde Souvent invisibles, parfois perceptibles sous forme de smog, les polluants de l’air minent notre santé. Ils pénètrent dans les poumons, mais atteignent aussi le coeur. Au-delà des actions collectives, chacun peut se protéger contre la pollution de l’air, et surtout la réduire. Voyez comment… grâce ? des gestes concrets. SOMMAIRE : : Définition La pollution de l’air est une sorte de pollution qui dégrade la qualité de l’air par un l’air. Il : Les causes de la p s présentes dans OF p g Ill : Comment résoudre la pollution de l’air ?

On compte aujourd’hui des dizaines de milliers de molécules ifférentes, polluants la planete. es émissions de CO, de C02, de soufre et de suies et particules liées à la combustion du charbon ont probablement été la première source de pollution majeure de pair dès le début de l’ère industrielle. Terre. . étude de cas . Linfen, en Chine : l’air le plus toxique du monde Sur les 20 villes les plus irrespirables, 16 sont chinoises et Linfen en est la capitale, au centre de l’industrie charbonnière de l’empire du Milieu.

Un soleil que ses habitants ne contemplent guère : le « smog » ambiant ne permet de voir qu’à quelques mètres et pique les yeux et la gorge de ses trois millions ‘habitants, les recouvrant d’une pellicule noire. La pollution de l’air pourrait devenir la première menace de santé du pays, a alerté récemment le président de l’Association médicale chinoise. Le pays a commencé à prendre des mesures, mais reste très susceptible ! Il n’accepte aucune ingérence internationale et entend se réserver l’exclusivité de ses propres mesures de pollution. @ AFP 2.

Bhopal, en Inde : l’empoisonnement continue En 1984, 40 tonnes de gaz toxique échappé de l’usine américaine de pesticides Union Carbide provoquaient la mort de plus de 15 000 personnes. Près de 30 ans après la tragédie, les eaux souterraines de Bhopal continuent d’empoisonner ses habitants, qui souffrent de maladies intestinales, respiratoires ou encore de malformations congénitales. Récemment, Dow Chemical (qui a racheté Union Carbide) a dû renoncer à afficher son nom sur le stade des JO de Londres face à l’indignation des militants et desvictimes. . Kalimentan Central, Bornéo : l’or au prix fort L’extraction du précieux métal est l’activité la plus polluante au monde à cause du mercure utilisé dans les mines artisanales, qui provoque des lésions nerveuses di estives, respiratoi utilisé dans les mines artisanales, qui provoque des lésions nerveuses, digestives, respiratoires et rénales. La plus grande population exposée est ici en Indonésie, concentrant 30 % des émissions mondiales dans l’environnement. . Karasagod, Inde du Sud : un pesticide sème la mort pendant 20 ans Endosulfan est un pesticide responsable d’intoxications et de nombreux décès en Inde, en Amérique latine et en Afrique. À Kasaragod dans le Kerala, 20 ans de pulvérisations aériennes sur des plantations de noix de cajou ont laissé un lourd héritage : malformations, retards mentaux, cancers… L’Endosulfan, désormais interdit, serait encore présent dans le lait de toutes les mères du monde. 5.

Dzerjinsk, Russie : l’impact des résidus d’armes À l’est de Moscou, ce fut l’un des sites majeurs de production d’armes de l’ex-IJRSS. Plus de 270 000 déchets chimiques mal entreposés durant 70 ans ont transformé l’eau en une boue blanche contenant des dioxines et du phénol, à des niveaux jusqu’à 17 millions de fois la limite de sécurité ! En 2007, l’espérance de vie des hommes y était de 42 ans et Dzerjinsk était considérée comme la ville la plus chimiquement polluée du onde par le Guinness Book of World Records. 6.

Sumqayit, Azerbaidjan : 40 usines chimiques en héritage Ici, sur les bords de la mer Caspienne, les usines soviétiques fabriquant détergents, pesticides, chlore ou encore aluminium émettaient à leur apogée jusqu’à 100 000 tonnes de toxiques dans l’atmosphère par an. Une prospérité chèrement payée qui entraîna l’un des taux de mortalité les plus forts Une prospérité chèrement payée qui entraina l’un des taux de mortalité les plus forts du pays. Aujourd’hui encore, l’incidence du cancer y est 20 à 50 fois plus élevée que dans le reste de l’État. Tianying, Chine : une ville intoxiquée par le plomb Dommages au cerveau, baisse de QI, problèmes auditifs et visuels, défaillance rénale… Cintoxication au plomb (mines, industries du métal… ) affecte des millions de personnes dans le monde. Ici, à Tianying, centre majeur de cette industrie en Chine, 140 000 personnes sont directement menacées. 8. Les mines de chrome à ciel ouvert de Sukinda en Inde Avec 97 % des réserves de chromite de l’Inde, Sudinka détient le triste record de la plus grande mine à ciel ouvert du monde, contaminant l’eau « potable » avec parfo•s 20 fois plus de chrome ue la norme. 5 % des décès de la région auraient un lien avec l’exploitation minière. C AFP 9. Tchernobyl, 26 ans après Les années ont passé, mais la terre est toujours dévastée. Aujourd’hui, 2 millions d’Ukrainiens, dont 500 000 enfants, sont contaminés au quotidien par le césium 137 via l’alimentation et leur santé continue de s’altérer : atteintes cardiaques, endocriniennes, troubles de la croissance… Qu’en sera-t-il de Fukushima ? 10.

Arctique canadien : les Inuits contaminés par les polluants organiques ssus de nos industries ou des pesticides, les POP, polluants rganiques persistants, s’accumulent dans l’Arctique chez les animaux consommés par les Inuits et dans le sang et le lait des femmes… menaçant sérieusement la santé des enfants. Le top IO des villes le 4 0 le sang et le lait des femmes… menaçant sérieusement la santé des enfants. Le top 10 des villes les plus polluées. 1. Ahwaz, en Iran 2.

Oulan-Bator, Mongolie 3. Sanandaj, Iran 4. Ludhiana, Inde 5. Quetta, au Pakistan 6. Kermanshah, en Iran 7. Peshawar, au Pakistan 8. Gaberone, au Botswana 9. Yasouj, l’Iran 10. Kanpor, en Inde Il. la pollution et sa répartition Ill. Les maladie engendrées par la polution La pollution de l’air semble avoir des conséquences globales ; en affectant la santé de nombreux êtres vivants évolués, et même d’espèces réputées primitives et résistantes (lichens, algues, invertébrés.. . La pollution peut directement tuer des organismes (ex. : lichens sensibles à la pollution acide de l’air). Elle a aussi des impacts indirects (par exemple en dégradant les odeurs, fragrances florales, hormones ou phéromones avant qu’elles atteignent leurs cibles ce hénomène pouvant pour partie expliquer le déclin d pulations pollinisatrices ôle de médiateur biochimique, rendant certains végétaux plus fragiles et vulnérables à leurs prédateurs.

Les relations prédateurs-proies pourraient être également affectées là où l’air est pollué Il est désormais prouvé que cette pollution • aggrave le tableau clinique et la mortalité liée au SRAS augmente la fréquence et aggrave le pronostic des infections respiratoires aiguës, et agit en synergie avec le tabagisme (y compris bien évidemment pour le cancer bronchique) ; augmente la fréquence des conjonctivites, rhinites et eczémas -affections fréquentes, et peut-être de plus en plus, chez le oyageur- ; déclenche des crises d’asthme ou augmente les doses médicamenteuses utiles chez l’asthmatique ; il est même possible que cette pollution puisse créer, ou tout au moins révéler un asthme ; est un élément déclenchant des évenements cardiovasculaires aigus ; les effets de la pollution semblent même aujourd’hui plus délétères pour le système cardiovasculaire que pour le système respiratoire , est en soi un immunodépresseur ou, pour le moins, est un élément aggravant d’une immunodépression. La pollution de l’air a causé 7 millions de morts en 2012, selon l’OMS. La pollution atmosphérique « empoisonne » près de neuf urbains sur dix dans le monde. La nouvelle base de données sur la qualité de l’air dans 1 600 villes de 91 pays, établie par l’organisation mondiale de la santé (OMS) et publiée mercredi 7 mai, dresse un tableau sans appel. Taux de mortalité due à la pollution de l’air (2004) 6 0 L’air est un mélange de nombreux gaz mais ses deux principaux constituants sont: le dioxygène 21% et le diazote (78%) et d’autres gaz (1 de la nature du polluant.

Le dioxyde de soufre est un gaz irritant provoquant des gênes respiratoires tandis que certains composés rganiques volatils ont des effets cancérigènes. Les particules qui pénètrent dans les voies respiratoires plus ou moins profondes suivant leur diamètre provoquent plus de 40 000 décès anticipés en France chaque année. La dose de polluant reçue par l’organisme dépend de la concentration du polluant, de la durée d’exposition et de l’activité physique ; la pratique intense du sport entraine une ventilation plus importante et par conséquent l’inhalation d’une plus grande quantité de polluants. Il – Les effets de la pollution sur notre organisme. http://img. over-blog. com

Il est difficile de distinguer les effets à court terme des effets ? long terme, les effets liés à la pollution de fond de ceux liés aux pics de pollution et les quantités à partir desquelles les polluants agissent. 2 -Les maladies dues à la pollution de l’air. La communauté scientifique est aujourd’hui à peu près unanime : la pollution de l’air a des impacts négatifs importants sur notre santé. Elle est, entre autres, à l’origine de nombreux décès prématurés, de séjours à l’hôpital, de l’apparition de plusieurs maladies respiratoires et cardiovasculaires, et de cancers. De nombreuses maladies s ont dues à la pollution de l’air, comme le cancer du poumon, de l’asthme, une pneumonie ou un MPOC ( Maladie Pulmonaire Obstructive Chronique).

Réduire la pollution atmosphérique permettrait d’éviter 3000 morts par an dans neuf grandes villes. Conclusion B0 pollution atmosphérique permettrait d’éviter 3000 morts par an dans neuf grandes villes. Conclusion : Donc, la pollution peut nuire à notre santé directement ou indirectement. La pollution atmosphérique a des effets sur la santé et sur l’environnement et donc des répercussions économiques. Selon l’OMS (Organisation mondiale de la santé) dans ses lignes directrices relatives à l’air (synthèse de l’évaluation des risques, mise à jour 2005) : « Le fait de respirer de l’air pur est considéré comme une condition essentielle de la santé et du bien-être de l’homme.

Cependant la pollution de l’air continue de faire peser une menace importante sur le plan sanitaire partout dans le monde. Plus de 2 millions de décès prématurés peuvent chaque année être attribués aux effets de la pollution de l’air extérieur dans les villes et de l’air à l’intérieur des habitations à travers le monde Y. Compte tenu de cette situation, l’OMS émet des recommandations visant à réduire les effets sanitaires de la pollution ( pdf – 798 ko). Le Centre international de recherche sur le cancer (IARC), agence spécialisée de l’OMS, a également classé en 2013 la pollution de l’ai plus spécifiquement les les Etats membres (soit une perte d’espérance de vie de 9 mois en moyenne en Europe) et à 21 000 pour l’ozone.

Le coût sanitaire pour ces deux polluants était évalué à un montant compris entre 189 et 609 milliards d’euros par an en 2020. Les polluants sont des gaz ou des particules irritants et agressifs ui pénètrent plus ou moins loin dans l’appareil respiratoire et qui peuvent induire des effets respiratoires ou cardiovasculaires tels que . une augmentation des affections respiratoires : bronchiolites, rhino-pharyngites, etc. Une dégradation de la fonction ventilatoire : baisse de la capacité respiratoire, excès de toux ou de crises d’asthme. une hypersécrétion bronchique. Une augmentation des irritations oculaires. Une augmentation de la morbidité cardio-vasculaire (particules fines). ne dégradation des défenses de l’organisme aux infections microbiennes. Une incidence sur la mortalité à court terme pour affections respiratoires ou cardio-vasculaires (dioxyde de soufre et particules fines). Une incidence sur la mortalité à long terme par effets mutagènes et cancérigènes (particules fines, benzène). Les données de qualité de l’air relevées par Airparif et les autres associations de surveillance de la qualité de l’air françaises sont utilisées par des organismes tels que l’InVS (Institut national de veille sanitaire) ou l’ORS (Observatoire régional de la santé) pour évaluer l’impact de cette pollution sur la santé grâce à des études épidémiologiques. 0 0