plan detaille expiation
.La puissance des éléments. A. La domination de l’hiver. a. personnification de fhiver /«l’apre hiver fondait en avalanche »/v. 5/«la froid brise/sifflait »/v. 18-19/« la solitude vaste (… )muette, venguesse »/v. 24-25/ b. les verbes joues un rôle : « l’hiver fondait »v. 5 « sifflait »v. 19 comme les balles. C’est le neige et le froid qui tuent les soldats plus que les ennemies. c. le ciel et la neige:des personnage et « solitude vaste b/ v. 24/se transforme e muette vengeresse » à l’événement histori d. Hugo transfor anaphore:a force ine « neige »A. 26/. OF4 S. . p page e, t en de venant « sens métaphysique e. Repitition/ eigeait » reliée que cette neige ne s’arrêtera pas « Il neigeait,/ll neigeait toujours! »/versl 9/ g. Repitition de »Ners6-1 5/ 4 —> image du linceul a la fin occurence muet/muette/v. 13Tv. 1 51:— du texte h. l’Hiver se transforme en symbole de la vie mort. i. Les accumulations Après la plaine blanche une autre plaine blanche »,« Boulets, mitraille, obus »); j. le vocab. hyperbolique(« partout,/v. 25/ toujours,/v. 18/ épouvantable/v. 24/»). B. ‘hiver vengeur : sens moral et métaphysique du texte. unition du dieu (vengance de l’Hiver) a. les vers 1 et 25 : la retraite de Russie est bien une expiation de ‘appétit de conquête de Napoléon b. Le poète insiste sur l’opposition l’opposition entre la gloire passée et le désastre présent, entre « hier » et « maintenant » (v. 8), c. Le vers 2 joue également avec l’allégorie de l’aigle, symbole de l’Empire, qui « baiss[e] la tête Les hommes eux-mêmes s’interrogent sur le sens de cette défaite et restent « pensifs b. d. une dimension historique : Cest un tableau en noir et blanc qui nous montre la frontière entre la vie et la mort. e. ne dimension épique : Le fait de résister fait des soldats des héros. f. une dimension philosophique : Ce poème nous montre une rmée en marche accablée de malheurs. Les soldats marchent en retrait mais surtout vers la mort. Ils le savent mais y vont quand même. Cest la destiné humaine. La vie n’a pas de sens. Le texte finit sur une note bien tragique. Il. Caneantissement de la grande armée A. La destruction en Masse a « immense » répété /vers 27/=la Grande Armée tout immense , ne peut lutter contre le ciel et la neige, puisque c’est le « linceul » qui a le dernier mot à la fin du vers. . les soldats:en masse, soit au pluriel « les clairons »/ vers12/ « les grenadiers »/vers16/, « des gens de guerre»/ ers21 ‘soit par des termes généraux « la grande armée »/ vers8/, « troupeau »/vers9/, « cette immense armée »/vers27/ c. les grenadiers, figures du courage et de la fidél 2 armée »/vers27/ c. les grenadiers, figures du courage et de la fidélité, sont « surpris d’être tremblants » et ne comprennent pas contre quel ennemi se battre:si les chefs ont peur, alors tout le monde doit être appeuré. d. es grenadiers, figures du courage et de la fidélité, sont « surpris d’être trem- blants » et ne comprennent pas contre quel ennemi se battre. e. ,la répétition de la négation ne… plus qui montre la ésagrégation de cette armée de vainqueurs (v. 7, 9, 21). f. Au dernier vers, le « on » se transforme en « chacun » et « seul » s’oppose à « cette immense armée » du vers précédent, suggérant de façon pathétique à quel point l’armée s’est désagrégée et ne peut plus rien pour sauver ou aider ses membres. g. .Ces milliers de soldats sont;les victimes anonymes et ignorées de cette folie guerrière.
Même s’ils se montrent héroïques comme les clairons en mourant « à leur poste « Restés debout, en selle h.. V. H, l’Hiver s’approprie le corp des soldats qui deviennent « blanc de givre »v. 1 3/. Transformer . une expiation de l’appétit de conquête de Napoléon, comme le suggère le bel oxymore « vaincu/present »/verslqui montre comment le retournement du sort punit l’empereur. b. les soldats comme victimes de l’appétit de conquête a,Ces milliers de soldats sont destinés à devenir les victimes anonymes et ignorées de cette folie guerrière.
Même s’ils se montrent héro-l@ues comme les clairons en mourant « à leur poste », « Restés debout, en 3 poste « Restés debout, en selle », b. la dignité de ces hommes qui continuent à avancer « pieds nus » ; le terme « pensifs »,:une dimension quasi métaphysique ? es hommes victimes de la vanité humaine d’un puissant c,L’auteur établit un contraste pathétique entre le cou- rage des soldats et la mort absurde qui les attend, par un processus de déshumanisation ;aux bêtes d’un « troupeau » en statues de pierre » (v. 4) ils finissent par disparaître totalement, pris entre « la plaine blanche » et « le ciel noir », anéantis sous l’. immense lin ceul » blanc. d. les derniers vers illustrent l’impuissance de l’armee face a l’hiver qui va anéantir C. I_a mort envahit le texte a. La mort se rapproche d’eux au fur et à mesure du texte : u début, il s’agit des chevaux (V. 1 1), puis des hommes statufiés (v. 13-14).
Au vers 21, la vie même est niée Ce n’étaient plus des cœurs vivants ») et les hommes deviennent des « ombres » (terme qui désigne, dans l’Antiquité, les âmes des défunts ou les fantômes) ; enfin, la mort atteint chacun individuellement : « chacun se sentant mourir b.. V. H, l’Hiver s’approprie le corp des soldats qui deviennent « blanc de givre 131. Transformer en starigides a la bouche en pierre »v. 14/les grenadiers encore vivant se font s’attaquer par « la glace a leur moustache grise »m. 1 7 4