Peut-on atteindre le bonheur par le plaisir
Le bonheur est-il possible ? AI y a un paradoxe Interne : si le bonheur est un état de plénitude, il suppose que tout ce que je peux accomplir soit accompli. Mais si tous mes désirs sont satisfaits, cela me le plaisir BOY bulles 1 16, 2009 5 pages aléatoire, contingente, par les circonstances extérieures ; la AI y a un paradoxe interne : si le bonheur est un état de prive d’une part importante de moi-même, qui est, justement, ma faculté de désirer. Un être sans désir sera-t-il heureux ? Est-ce possible ? Les stock stoïcisme, par exemple, ont voulu résoudre le problème en disant que le bonheur était dans la suspension du désir). Mais un être à qui il reste quelque chose à désirer, peut- on vraiment dire qu’il est heureux ? Les épicuriens, eux, ont voulu voir dans le plaisir le vrai bonheur. Le bonheur est-il réductible au plaisir ? Si l’on veut rendre compatible bonheur et p saris, il faut dire que le bonheur consiste non pas en une plénitude fermée sur elle-même, mais dans le renouvellement permanent du désir. La question qui se pose alors est la suivante : comment permettre ce renouvellement ?
Bonheur = d’ordre divin (satisfaction éternelle donc idéal, repos de l’âme qui n’est pas déchirée entre désirs et raison) Joie = d’ordre humain (éphémère mais suppose une certaine domination du temps, et liée au travail accompli) Plaisir = d’ordre animal (satisfaction superficielle, immédiate, fugitive) Le bonheur se trouve-t-il dans le plaisir ? ) Le plaisir, principe et fin du bonheur épicière Lettre à menacée (HUI e s av JUCHÉ) Des désirs « vains » et des désirs « naturels » (parmi lesquels des désirs « nécessaires » et d’autres non).
Dans les désirs naturels nécessaires, certains pour le bonheur (-« absence de troubles de l’âme » ou tarirait) , d’autre pour la vie même, d’autres pour l’absence de souffrances du corps. « Le plaisir [« ne pas souffrir et n’être pas et n’être pas troublés est le principe et la fin de la vie bienheureuse « Le plus grand bien est la prudence » Doit être un plaisir « au repos » (stable, constant) ou attrait (sérénité de l’âme, délivrée de et désordre et de te crainte) et non « en mouvement » (désirs sans cesse reconduits) car si absence de plaisir ou peine lui succède, le plaisir n’est pas complet ni parfait.
La morale d’épicière est un démonétisé : bonheur = fin ultime de l’homme 2) Critique d’épicière par akan akan Critique de la raison pratique Selon akan, on ne peut pas distinguer des plaisirs nobles et des plaisirs bas, comme prétend le faire épicière. Si, avec épicière, nous ne retenons dans la vertu, comme détermination de la volonté, que le simple plaisir qu’elle promet, nous ne pouvons ensuite lui reprocher de insérer ce plaisir comme tout à fait de même nature que les p serais des sens les plus grossiers » « Le plaisir que nous procurent ces représentations assurément intellectuelles », la connaissance, est « tout fait de même nature que les autres plaisirs » Conséquence : on ne saurait fonder une morale sur le désir d’atteindre le bonheur, qui n’est qu’un idéal de l’imagination et non de la raison.
Selon akan, on ne peut pas définir rationnellement en quoi « Le concept du bonheur est un concept si indéterminé, que malgré le désir qua tout homme d’arriver à être heureux, personne ne peut jamais dire en termes précis et ornèrent ce que véritablement il désire et il veut. » « Tous les éléments qui font partie du concept du bonheur sont dans leur essence empirique (… , cependant pour l’idée du bonheur, un tout absolu, un maximum de bien-être dans mon état présent et dans toute ma condition future, est nécessaire » Pour savoir ce qui rendrait l’homme heureux, « il lui faudrait l’omniscience Conséquence 2 : on doit se rendre digne du bonheur en subordonnant sa quête au respect des lois morales dictées par la raison. Ce qui tend en toi au bonheur, c’est le penchant ; ce qui restreint ce penchant à la condition d’être préalablement génie de ce bonheur, c’est ta raison, et que tu puisses limiter et dominer ton penchant par ta raison, c’est là la liberté de ta volonté » -Penchant = appartenance au monde sensible.
Aspire à la satisfaction des désirs -Raison = limite ce penchant en nous faisant valoir que la fin ultime n’est pas d’être heureux mais d’être digne d’être heureux (en accomplissant notre devoir). En dehors de toute expérience, donc pas relatif ou culture mais universel et naturel. -Liberté – consiste à accepter ou refuser cette limitation 4) Bonheur et désir Le seul bonheur véritable est dans le désir lui-même.