Paulo Coelho
Paulo Coelho (prononcé, en portugais, [pawlu né le 24 août 1947 à Rio de Janeiro, est un romancier et un interprète brésilien. Il a acquis une renommée internationale avec la publication de L’Achimiste, vendu à 65 millions d’exemplaires. II a vendu plus de 165 millions de livres à travers le monde et ses ouvrages ont été traduits en 80 languesl. Paulo Coelho est né à Rio de Janeiro, d’un père ingénieur appartenant à la classe moyenne brésilienne. Il fréquente l’école jésuite de San Ignacio. Ses parents le veulent ingénieur, Paulo aime le théâtre.
Quand il annonce à sa mère qu’il souhaite evenir écrivain, sa mère lui répond : « Mon chéri, ton père est un Swipe to nex: page ingénieur. Cest un h très nette du monde. Après quelques rech toujours des lunettes jamais être compris to View nextÇEge ique avec une vision u’est un écrivain ? u’un écrivain « porte et a le devoir « de ne Introverti et rebelle, il s’oppose au chemin tracé par ses parents. Son père, désemparé par cet enfant difficile, le fait interner dans un hôpital psychiatrique alors qu’il n’avait que dix-sept ans. Il s’en est échappé trois fois avant d’être relâché à l’âge de 20 ans.
Paulo it à ce sujet « Ils n’ont pas fait ça pour me faire souffrir… mais ils ne savaient pas quoi faire. Ils n’ont pas falt ça pour me détruire, ils ont fait ça pour me sauver. » Bien des années plus tard, l’écrivain pulsera dans cette expérience pénible le matériau de son roman Veronika décide de mourir. pour faire plaisir à ses parents, Paulo décide de suivre des études de droit et met de côté son rêve de devenir écrivain. Mais il abandonne tout un an plus tard. Les années 1960 voient l’explosion internationale du mouvement hippie.
Paulo y souscrit, ainsi qu’à tous ses excès. ? l’âge de 23 ans, il abandonne sa ville natale pour voyager à travers le Mexique, le Pérou, la Bolivie et le Chili, ainsi qu’à travers l’Europe et l’Afrique du Nord. Deux ans plus tard, il revient au Brésil et commence à composer des paroles de chansons populaires, travaillant avec des musiciens tels que Raul Seixas. Leur association est un succès, et leur collaboration contribue à changer le visage de la scène rock brésilienne. Coelho s’est réconcilié avec la confession catholique en rencontrant sa femme Cristina, artiste peintre.
Il est brièvement emprisonné en 1974 sous le prétexte d’avoir ommis des gestes subversifs contre la dictature brésilienne. Après cette expérience, Paulo Coelho aspire à une vie ordlnaire. Il est alors journaliste spécialisé dans la musique brésilienne, puis il travaille chez Polygram et rencontre sa première épouse. Cet épisode de « normalité » ne dure que quelques années. En 1978, il quitte sa femme et son travail. Son questionnement spirituel l’amène à participer à bien des expériences, y compris des rituels de magie noire.
Sur le chemin du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, il trouve l’inspiration de son premier livre, Le Pèlerin de Compostelle, ublié en 198 3 Saint-Jacques-de-Compostelle, il trouve l’inspiration de son premier livre, Le Pèlerin de Compostelle, publié en 1987, mais qui ne sera exporté que dix ans plus tard. Dans une interview il raconte : « J’étais très heureux dans ce que je faisals. Je faisais quelque chose qui me donnait nourriture et eau. Je travaillais, j’avais une personne que j’aimais à mes côtés, j’avais de l’argent.
Mais je ne vivais pas mon rêve. Mon rêve était, et l’est toujours, de devenir écrivain. » Il laisse tomber sa carrière d’interprète pour se consacrer entièrement aux livres. Il habite à Genève, en dehors des périodes où il voyage pour promouvoir son œuvre. Il consacre une partie de ses revenus à sa fondation qui s’occupe de jeunes et de personnes âgées délaissées à Rio. Scarrière[modifier modifier le code] En 1987, Paulo Coelho publie Le Pèlerin de Compostelle. En 1988, il publie le roman qui le rend célèbre L’Achimiste (traduit en français en 1994).
La légende qui est à la source de son ouvrage est celle du fondateur d’une synagogue de Cracovie : Isaac Jakubowicz. Le roman est basé sur une nouvelle de Jorge Luis Borges, Le Conte des deux rêveurs. Il est également l’auteur de Sur le bord de la rivière Piedra, je me suis assise et j’ai pleuré, traduit en 23 langues, et de Maktub en 1994, de Le Démon et Mademoiselle Prym en 2000, Onze minutes en 2003, Manuel du guerrier de la lumière, La Cinquième Montagne, Le Zahir, Comme le fleuve qui coule, Le manuscrit retrouvé en 2012 et Adultère en 2014. Il a vendu plus de 1 65 millions de livres à travers le mon 2014.
Il a vendu plus de 165 millions de livres à travers le monde et ses ouvrages ont été traduits en 80 langues. Il a gagné de nombreux prix ittéraires dans divers pays, y compris une mention du restigieux prix littéraire de Dublin pour Veronika décide de mourir. Il est chevalier de l’ordre national de la Légion d’honneur et il a reçu de nombreux prix internationaux prestigieux. Est membre de l’Académie des lettres brésilienne depuis 2002 et « Messager de la paix » des Nations unies depuis 20072. Avec plus de 30 millions de fans, il est l’auteur qui compte le plus grand nombre d’adeptes sur les réseaux sociaux.
Paulo Coelho est un des rares écrivains à être l’objet de fan-clubs officiels, au Brésil bien sûr mais aussi en Italie, en Espagne, en Pologne, au Portugal, en Grèce et également en France. SStyle[modifier I modifier le code] Les livres de Coelho sont des romans à tendance philosophique abordant la spiritualité, à la manière d’un vaste conte. IJne spiritualité syncrétique, qui méconnaît les orthodoxies, empruntant à des traditions très diverses, et parfois contradictoires : religions, courants philosophiques, mysticisme, spiritisme, méditation, surnaturel, ésotérisme, etc.
Le style fluide et direct, aisé à traduire, et la trame simple des récits ont permis à Coelho de toucher un très vaste lectorat, dans toutes les cultures. Cette écriture simpliste lui vaut toutefois d’être considéré par ne grande partie de la critique comme un écrivain mineur aux moyens faciles, dans la lignée du roman populaire, voire des manuels de « développement e 3 aux moyens faciles, dans la lignée du roman populaire, voire des manuels de « développement personnel proposant une spiritualité insaisissable, sans fondement solide.
Au Brésil, bien qu’il y soit l’écrivain le plus connu, et membre de l’Académie des lettres depuis 2002, il est critiqué entre autres pour son manque d’originalité, l’immense publicité qui accompagne la sortie de chacune de ses œuvres et ses fautes de grammaire… Habitué ? ces reproches, Coelho rétorque régulièrement que le fait que ses livres soient lus par un si large public lui suffit. « Je pense que les écrivains écrivent, les critiques critiquent et les lecteurs lisent.
En ce qui concerne la simplicité de mes livres, je donne entièrement raison à mes critiques. Être simple, c’est ce qu’il y a de plus difficile. » 3 SThèmes[modifier I modifier le code] Les récits de Coelho abordent des thèmes proches à chacun, notamment ceux concernant les rêves, les projets, les faiblesses, les doutes, et le sens de la vie… Ces thèmes concis e s’embarrassent guère d’un décor somptueux : l’essentiel étant l’histoire des deux ou trois personnages bien ciblés qui se mesurent au destin. 1_a « légende personnelle « [modifier I modifier le code] La « légende personnelle » est une expression utilisée par l’écrivain Paulo Coelho dans son livre L’Alchimiste. Selon lui, nous serions tous porteurs d’un destin particulier et favorable. L’accomplissement de ce destin, qu’il nomme la « légende personnelle dépendrait de notre capacité à retrouver nos envies profondes. « Si vous écoutez votre cœur, vous savez p PAGF s 3 e notre capacité à retrouver nos envies profondes. ? Si vous écoutez votre cœur, vous savez précisément ce que vous avez à faire sur terre. Enfant, nous avons tous su. Mais parce que nous avons peur d’être désappointé, peur de ne pas réussir à réaliser notre rêve, nous n’écoutons plus notre cœur. Ceci dit, il est normal de nous éloigner à un moment ou à un autre de notre Légende Personnelle. Ce n’est pas grave car, à plusieurs reprises, la vie nous donne la possibilité de recoller à cette trajectoire idéale » (extrait de l’interview en lien externe) SŒuvres[modifier I modifier le code]
Dates de parution en françaisLe pèlerin de Compostelle, J’al Lu, 1987 L’Alchimiste, J’ai Lu, 1994 (ISBN 978-2-91 0188-13-9), 1995 (édition illustrée par MœbiLlS) (ISBN 978-2-910188-70-2), édition de poche J’ai lu, 1996 (ISBN 978-2-290-00444-9) Sur le bord de la rivière Piedra, je me suis assise et j’ai pleuré, J’ai Lu, 1994. La Cinquième Montagne, J’ai Lu, 1996. Manuel du guerrier de la lumière, J’ai Lu, 1997 (ISBN 978-2-84337-074_8). Conversations avec Paulo Coelho, J’ai Lu, 1999. Veronika décide de mourir, J’ai Lu, 1998. Le Démon et mademoiselle Prym, J’ai Lu, 2000. Onze minutes, Jai Lu, 2003.
Maktub, J’ai Lu, 2004. Le zahir, Flammarion, 2005 (ISBN 978-2-0806-8843-9) Comme le fleuve qui coule, Flammarion, 2006. La Sorcière de Portobello, Flammarion, 2007, 380 p. (ISBN 978-2-0812-0261-0) La Solitude du vainqueur, Flammarion, 2009, 373 p. (ISBN 978-2-0812-2277-9) Brida, Flammarion, 2010 (ISBN 978-2-0812-4068-1) Aleph, Flammarion, 2011 (ISBN 978-2-0812-5649-1) Le Manuscrit PAGF 6 3 Flammarion, 2010 (ISBN 978-2-0812-4068-1) Aleph, Flammarion, 2011 (ISBN 978-20812-5649-1) Le Manuscrit retrouvé, Flammarion, 2013 (ISBN 978-2-0812-9022-8) Adultère, Flammarion, 2014 (ISBN 978-2-08-133891-3)
SŒuvres non publiées en France[modifier modifier le code] As Valk(rias (Les Valkyries), 1992 5Filmographie[modifier modifier le code] SComme scénariste[modifier modifier le code] 1979 : Amante Latino SComme compositeur[modifier modifier le code] 1998 : Rita Lee: ACüstiC0 MTV (vidéo) SJeux-vidéo[modifier modifier le code] Scomme scénariste[modifier modifier le code] 1997 : Pilgrim par le livre et l’épée (design et personnages: Moebius), Infogrames Félix Rubén Garcia Sarmiento, plus connu sous le nom de Rubén Darfo, né à Metapa (aujourd’hui Ciudad Dario) le 18 janvier 1867 et mort le 6 février 191 6 (à 49 ans) à Léon, est un oète nicaraguayen. II est le fondateur du mouvement littéraire moderniste dans la langue hispano-américaine. Le « Modernisme » débuta d’une façon définitive par la publication au Chili, en 1888, d’Azul, de Rubén Darfo. Les publications postérieures de celui-ci lul valurent d’être reconnu comme le chef incontestable du nouveau mouvement.
Les plus remarquables de ses œuvres sont Azul (« Bleu », en 1888 à Valparaiso, Chili), Prosas profanas (« Proses profanes », en 1 896 à Buenos Aires, Argentine) et Cantos de Vida y Esperanza (« Chants de vie et d’espérance en 1905 ? Madrid, Espagne). PAGF 7 3 a naissance sa famille déménagea à Léon où il passa son enfance. Le poète explique dans son autobiographie l’origine du nom Dario, qu’on lui a donné et qu’il a gardé. Le prénom Dario, d’un de ses trisaïeuls, avait été pris par la suite comme nom de famille. e père du poète, dont le nom légal était Garcia, dirigeait ses affaires sous le nom de Manuel Dario. Les parents de Dario étaient cousins et avaient fait un mariage de convenance ; les familles n’ayant pas consulté l’inclination des jeunes gens. Il n’est donc pas surprenant qu’ils se soient séparés – un mois avant la naissance de leur fils.
Le père retourna à Le6n, où il était voyageur de commerce, et la mère, quelques mois après, alla habiter avec l’enfant le village de San Marcos de Colôn, dans les montagnes de Honduras, près de la frontière de Nicaragua. Elle y demeura assez peu de temps, car le poète nous dit n’avoir gardé qu’un très vague souvenir de sa mère. Tout jeune, le futur poète donna des signes d’une intelligence précoce. Il savait lire à l’âge de trois ans. Il apprit presque tout seul, car ses premiers maitres, à l’école publique qu’il fréquentait, étaient peu compétents. Il assista, plus tard, aux ours d’une école que les Jésuites tenaient dans l’église dite de « la Recoleccién h. ? propos de ses études chez les Jésuites, il nous apprend que les élèves connaissaient leurs classiques (évidemment les classiques espagnols), un peu de latin et de grec. Il fut élève de l’ « Instituto de Occidente » (l’Institut d’Occident) ? Le6n, où il eut comme maitre de littérature M. José Léonard, écri Occidente » (l’Institut d’Occident) à Leôn, où il eut comme maître de littérature M. José Léonard, écrivain polonais distingué, qui l’encouragea à la poésie. Nous ne savons malheureusement pas ? quelles études de langues étrangères il s’adonna à l’école, mais il est certain que très jeune il savait lire et même écrire le français.
Nous pouvons dire cependant que l’instruction reçue par le poète fut assez élémentaire et qu’il acquit sa haute culture, grâce aux lectures prodigieuses qu’il fit plus tard en plusieurs langues, notamment l’espagnol, le français et l’anglais. Sur ses lectures d’enfant, nous avons des renseignements fort intéressants. Les premiers livres qui le captivèrent et qu’il découvrit un jour au fond d’une vieille armoire étaient Don Quichotte, les œuvres de Moratfn, es Mille et Une Nuits, la Bible, le De Officiis de Cicéron, la Corinne de Madame de Staël, un tome de comédies classiques espagnoles et un roman terrifiant qui s’appelait La Caverne de Strozzi (Jean-Joseph Regnault-Warin, 1798). ? l’âge de 12 ans Dario publia ses premiers poèmes : La Fé, Una Lâgrima et El Desengafio. Cestà ‘âge de treize ans que commença sa véritable culture. Vers cette date, grâce à l’influence de ses amis, on lui donna un poste à la Bibliothèque Nationale à Managua. Là, il passa des mois à des lectures sérieuses. I lut tous les ouvrages espagnols u’il put trouver. Ses auteurs espagnols favoris étaient Luis de Gôngora et Gonzalo de Berceo. C’est là aussi qu’il acquit une connaissance profonde des mythologies grecque et latine, dont on sent la gr PAGF 3 acquit une connaissance profonde des mythologies grecque et latine, dont on sent la grande influence dans les poèmes qu’il écrivit plus tard.
Pendant cette période, il lut aussi pour la première f01S plusieurs auteurs français, notamment Victor Hugo et Théophile Gautier. Son ancien chef à la bibliothèque nous dit qu’il avait même fait des traductions de Gautier et les avait ubliées dans un journal de Managua appelé El Ferrocarril (le chemin de fer). Dès l’âge de dix ans, il écrivait des vers par goût. À treize ans, il avait une renommée locale qui lui valut d’être présenté au Président de la République et lui attira la protection de beaucoup d’amis influents. Lorsqu’il se présenta devant le président Joaquin Zavala, après lui avoir présenté un poème très critique à l’égard de sa patrie et de la religion de celle-ci, Rubén demanda au Président s’il pouvait aller étudier en Europe.
Le président lui fit alors cette réponse : « Mon fils, si tu écris maintenant comme ela sur la religion de tes parents et de ta patrie, qu’est-ce que ça deviendra si tu vas en Europe apprendre des choses pires ? » De douze à quatorze ans, il écrivit un nombre considérable de poèmes qui ne sont pas sans valeur, et en 1885, à l’âge de dix- huit ans, il publia son premier recueil de vers, Primeras notas (Premières Notes), connues aussi sous le nom d’Epistolas y poemas (Épîtres et poèmes). Dans le long poème Victor Hugo y la tumba (Victor Hugo et la tombe), publié dans Primeras notas, nous pouvons retrouver assez facilement les poésies du maitre français qui l’ont le plus intére