PACTE Ch Mage Hollande

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Chômage : Hollande, le pacte de responsabilité. François Hollande a reconnue mardi 14 janvier 2014 avoir échoué sur le chômage l’an dernier, car il n’a pas réussi à faire inverser la courbe du chômage comme cela avait été promis par le gouvernement. Le Président de la République a lancé l’idée d’un pacte lors de ses vœux qui allégerait les contraintes des entreprises pour créer en échange « plus d’embauches ». Ce « pacte de responsabilité » est un nouveau front, une « nouvelle étape » avec les entreprises, ce pacte est aussi le nouveau pari de 2014 de François Hollande.

Swipe to page Le chef de l’Etat a dé responsabilité lors d conférence, il a aussi de cotisations familia acte de or 3 • pr e. Lors de cette Sni* to 35 milliards d’euros n de « poursuivre l’allègement du coût du travail » et taciliter les embauches. Les entreprises devront s’engager à des  » objectifs chiffrés • notamment de créations d’emplois. Le MEDEF (mouvement des entreprises de France), s’est dit prêt hier à « s’impliquer activement » et « rapidement Pierre Gattaz, élu à la présidence du MEDEF le 3 juillet 2013, avait assuré récemment pouvoir réer 1 mlllion d’emplois en cinq ans contre des allégements de charges.

François Hollande a expliqué que le pacte de responsabilité couvre 4 chantiers : Premier chantier, la poursuite de Pallégement du coût du travail. François Hollande précise que ce programme a été engagé avec la mise en place du CICE (crédit d’impôt pour la compétitivité et remplol), un avantage fiscal qui concerne les entreprises employant des salariés. Le nouvel objectif est la fin des cotisations familiales pour les entreprises et les travailleurs ndépendants d’ici 2017.

Deuxième chantier, donné de la visibilité aux entreprises. Le 1 er acte de ce chantier sera posé dès la loi de finances pour 2015. Le Chef de l’Etat souhaite une modernisation de la fiscalité sur les sociétés et une diminution du nombre des taxes avec 2 exigences : investissement et emploi. Troisième chantier, la simplification par la réduction du nombre de normes et de procédures. L’objectif est de réduire les normes, les procédures inutiles ou coûteuses et de faciliter la prise de décisions.

Pour cela, un « Conseil de simplification » sera animé par un parlementaire, Thierry Mandon et un chef d’entreprise, Guillaume Poitrinal. Ils devront passer en revue « des actes- clés » de la vie d’une entreprise : de la création à la cession, les formalités d’ouverture des usines et d’embauches, l’accès aux marchés publics, les obligations comptables, les contrôles administratifs et fiscaux, etc. Quatrième chantier, les contreparties. Les contreparties attendues des entreprises sont les embauches (objectifs chiffrés), l’insertion des jeunes, l’emploi