Our Comprendre Les Motivations Du Grand Natif De Halwar
our comprendre les motivations du grand natif de Halwar, un toranke pas comme les autres, il faut remonter à la dernière décennie du XVIIIème siècle. C’était, alors, sous l’empire Sonrai (sous le régne de l’Askia Samsou Keyna( 1793-1798)) qu’il vit le jour. La petite ile de Douera (qui appartenait à l’empire du Ghana puis à celui du Mali tout comme la petite presquîle de Dagana fondée par les Bathily( prince Ghanéens)) et dont le nom signifie ici c’est le Ghana) qui allait devenir Podor, voyait les embarcations ? grands mâts accoster en provenance du Portugal, nom qul a été tronqué pour devenir Tougal.
Plus tard Tougal signifiera France. par quelques rares manuscrits, les nouvelles du Tekrour historique lui parven Le Tekrour, un ancie ou Rewo dont la mon Caire depuis des sièc or 5 Sni* to View sert mauritanien e à la Bourse du avant l’avènement d’El hadj Omar, un certain Ambar Tekrouri était le responsable de la police de la capitale égyptienne. El hadj Omar prit, alors, la décision d’aller visiter cette contrée et se rendre, au-delà de celle- à, à l’endroit vers lequel il se dirigeait au moins cinq fois par jours pour ses prières.
C’est-à-dire La Mecque. C’est en partant, alors qu’il était très jeune, qu’ Swlpe to vlew next page qu’il s’est rendu compte que la langue des Peuls, qui était sa langue maternelle, n’était pas qu’un patois juste parlé le long du fleuve. Il allait la retrouver au Ferlo, au Boundou, dans le Fouladou, au Fouta Djalon, dans le Macina( Fouta malien), dans le Torodi( Fouta du Niger), chez les Bororo( Tchad, ibye, Niger), ans le Bernin Keby( Benin, Nigéria) et Gobir, frontalier du pays yoruba, dans le Sokoto et jusqu’à l’Adamaoua( Nigéria, Tchad, Cameroun).
Il n’a pas manqué de partager la fierté des grands Laamidos de ces contrées dont le type psycho somatique ne laisse pas de doute quant à la forme athlétique des grands bodedios. Leur premier caractère est la fierté qui est leur unique et seule raison de vivre. Du Mayo Keby( ouest Nigéria), en passant par le Mayo Ndaaga, jusqu’à la Mer Rouge, sans oublier les Falathas d’Arabie, on ouvait demander le lawol. Voilà, donc, l’itinéraire, le voyage fondateur de ce qui allait devenir l’Omarianisme.
L’ascète et homme de DIEU était devenu un grand laamdo, le laamdo dioulbe. Son siège était, d’abord, à Médine, autour du mausolée du Prophète (PSI). Pendant la vingtaine d’années que dura son voyage, il eut à séjourner dans le Cham (Grande Syrie) d’où venaient probablement ses ancêtres maternels (les Thiam) et à Al Qods(érusalem). Le rocher qui servit pour l’ascension du Prophète (PSI) était l’endroit où il ne cessa