« On a tout avec l’argent hormis les mœurs des citoyens. »
Le e lorsque les invidivus de confort et de rich inégalités sociales et uels les Etats ns une société r désirs individuels ar la suite des vouement au bien commun. Nous sommes face ici à un paradoxe. J. J. Rousseau parle de « corruption du vrai goût « la perte du vrai courage » et « des vertus militaires. » Il est vrai que l’on peut pratiquement tout obtenir, acquérir, acheter et négocier avec l’argent. Les questions que nous pouvons nous poser sont les suivantes • Que peut-on réellement acheter avec de l’argent ? Peut-on acheter les mœurs des citoyens ?
Si non, pouvons nous les affaiblir ? ou créer une fissure ? L’argent est-il véritablement opposé aux bonnes mœurs des citoyens ? ou en fait-il partie intégrante ? Clnternaute : « ensemble des habitudes innées ou acquises d’un individu ou dune société au regard de la morale, du bien et du mal Par exemple, la vertu, la foi, les opinions, le courage, l’intégrité et bien d’autres encore. L’argent permet d’acheter ce qui est matériel, par exemple une voiture, une montre, des livres. Ici il permet de nous procurer un objet matériel à utiliser.
Il peut également servir à obtenir des choses Immatérielles, par exemple des vacances à la montagne. Dans ce cas, il nous apporte la détente et le bien être. Cependant il parait impossible d’acheter l’amour de l’être imé, les croyances et convictions des gens, des capacités intellectuelles. Impossible ? ou seulement en apparence ? est-il vraiment impossible d’acheter une personne et ce qu’elle est ? N’avons nous pas remarqué dans les journaux le nombre de personnes fortunées et plus ou moins âgées parader aux bras d’une personne plus jeune et sans argent et finir par l’épouser ?
Il semblerait que l’argent pervertisse la signification même de l’amour. On laisse de côté ce sentiment qui devrait être le ciment du couple pour pourvoir s’offrir le luxe. Et quand est-il des croyances et convitions des gens ? Prenons un exemple d’actualité. En France, de plus en plus de jeunes de confessions musulmanes ou non partent en Syrie ou au Yémen pour combattre. Ce sont pour la plupart des personnes désoeuvrés et qui cherchent leur identité. Ils ne croient pas forcément en Dieu et certains sont opposés aux attentats.
Les terroristes les achètent, non pas en leur donnant des billets de banque mais un objec 2 banque mais un objectif, une manière d’exister, d’être utile. Ceci grâce à la propagande qui est financée par les djihadistes. Les jeunes oublient leurs croyances et leurs convitions et partent au combat. Dans ce cas, l’argent est le pouvoir. Prenons également l’exemple des capacités intellectuelles. U ne personne doit travailler plus ou moins durement pour pouvoir obtenir un diplôme.
Pour cela il faut avoir des capacités intellectuelles, bien sûr, mais également être travailleur. A première vue, il est impossible d’acquérir la capacité d’obtenir un diplôme. Cela dépend des qualités de chacun. Cependant dans de nombreux pays, il n’est pas rare de pouvoir obtenir un diplôme ou de bonnes notes aux examens moyennant quelques billets sous la table. Dans ce cas, l’argent met à mal la qualité du diplômé mais également le professionalisme et l’intégrité de celui qui ccepte le marché.
Nous pensons effectivement que l’argent est opposé aux mœurs, dans le sens où il pervertit la signification même du bien et de ce qui est juste. Mais il n’est pas possible de vivre sans. Il crée une dépendance de l’être humain. Il apporte le confort, l’avancée des sciences, les richesses et bien d’autres choses encore. Mais il fissure les principes et la vertu des gens, ce qui fait qui ils sont s’ils vivaient simplement. Il change leurs sentiments et influence leur manière de penser. Par conséquent, nous dirons simplement qu’on a tout avec l’argent.