Objets

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Aujourd’hui, Féconomie, l’investissement et la consommation sont devenus les maîtres mots de la société occidentale. Dans cette société d’abondance et de consommation, la variété du choix s’estaccrue et le plaisir prime sur tout. Mais cette société d’opulence, nous rend-elle vraiment heureux ? Afin de répondre au mieux à notre problématique, nous appuierons notre réflexion sur différentesœuvres. Dans un pamphlet intitulé Comment les riches détruisent la planète parut en 2007 Hervé Kempf en s’appuyant sur la théorie e VIeben dénonce la surconsommation à outrance.

Marie Piquemal nousinvite à un acte militant en renonçant au superflu dans un article de Libération « Ils ont décidé de vivre avec 100 objets » en Cette Invitation est r Wardhade la chamb Zola tant quant à lui courtisane Nana qui Svp next page aphle prise par hram à Sevagram n éponyme d’une ont les gouts trahissent sa conditionpassée. Tout d’abord on peut souligner que la consommation s’est généralisée et que pour se distinguer l’homme cons Suipe to View next page onsomme de plus en plus, cela engendre des conséquences économique sociale et écologique surla société, il est donc important d’envisager des solutions.

Lhomme pour se distinguer consomme de plus en plus. L’élite collectionne, amoncèlent les objets. Kempf nous le dit trop les richesn’utilisent plus leurs argents de façon caché comme au temps de l’austère bourgeoisie aujourd’hui ils nourrissent au contraire une consommation outrancière d’un fatras clinquant de dilapidation somptuaire. ll utilise le champ lexical de la production et de l’accroissement our appuyer son idée.

Il ajoute l’idée selon laquelle les sociétés produisent généralement une quantité de richesses biensupérieure à la satisfaction de ces besoins pour permettre leurs clans de se distinguer les uns des autres.