Objet D Etude La Consommation Des M Nages BASTUA
ou des services : S’ils sont achetés par ors services marchands , S’ils sont mis à la dis territoriales, ce sont Objet D Etude La Consommation Des M Nages BASTUA Premium By Bastua78150 anpe,nn IO, 2015 5 pages Pour satisfaire leur besoins, les ménages consomment des biens Sni* to View s biens ou des r les collectivités s non marchands. également renoué avec une tendance positive (+1 après -0,5% un mois plus tôt). Les dépenses en textile, habillement et cuir (+2%) ont enregistré leur quatrième mois consécutif de hausse après les plus bas depuis 2001 touchés en septembre.
La consommation en produits alimentaires est restée quasi stable (-0,1 Ralentissement des dépenses en énergie Après un mois de décembre très dynamique, du fait d’importantes dépenses en fuel et carburant, la progression des dépenses en énergie a ralenti après +0,9%) même si la consommation en gaz et électricité a progressé à un rythme élevé du fait de la baisse des températures. Retrouvez cet artlcle sur La Trlbune. fr La Tribune publie chaque jour des extraits issus des analyses diffusées sur Xerfi Canal. Aujourd’hui, contre-choc pétrolier et choc de consommation.
Et si c’est une nouvelle fois par la consommation des ménages que l’économie française allait renouer avec la croissance. Le surcroît de pouvoir d’achat donné par la baisse du prix du pétrole. Le prix du baril est brutalement descendu depuis la mi- juin cédant jusqu’à 51% de sa valeur en euros. Même s’il s’est un peu repris depuis, la chute reste impressionnante, si bien que l’on peut miser sur un prix du baril proche de 50 euros en moyenne sur l’ensemble de l’année. Comparé aux 74 euros enregistrés en 2014 (environ 100$) cela équivaut à une baisse de
Conséquence, une baisse Les prix à la pompe vont diminuer, mais de manière moins impressionnante compte tenu du Les prix à la pompe vont diminuer, mais de maniere moins impressionnante compte tenu du poids des taxes qui s’étale de 25% pour le fioul domestique à plus de 56% pour le sans plomb 95. Le litre de super qui s’est établi en moyenne à 1 ,48€ l’année dernière, passerait à 1,29 sur l’ensemble de 201 5, une baisse de Pour le gazole, malgré une taxation en hausse, le prix du litre tomberait à 1 euro 10 (-15%). Pour le fioul domestique, c’est ncore plus impressionnant, la chute dépasse 22%.
Compte tenue du poids de chaque poste dans la consommation totale des ménages, l’économie espérée pour l’ensemble de l’année s’élève à 8 milliards d’euros pour les ménages. Et encore ce chiffre n’intègre pas les effets de second tour de la baisse du pétrole sur tous les prix des produits dont la composition comprend du pétrole ou ses dérivés. 8 milliards d’euros l’enveloppe est bien garnie Cest un gain instantané de 0,6 point de pouvoir d’achat pour l’ensemble des Français, l’équivalent de 275 euros par ménages. De quoi provoquer un véritable choc de consommation !
Un choc potentiel, car reste une inconnue et elle est de taille : que vont faire les ménages de cette cagnotte providentielle, la dépenser ou l’épargner ? La réponse, ne peut être qu’une réponse de Normand : les deux. Mais dans quelles proportions ? Quatre éléments sont à considérer Le premier ce sont les taux d’intérêt. Ils sont bas, tellement bas qu’il y a quasiment une « dés-incitation » à épargner. C’est bon pour la consommation. tellement bas qu’il y a quasiment une « dés-incitation » ? épargner. Cest bon pour la consommation.
Deuxième élément, l’orientation prise par la construction neuve, notamment des permis de construire. Leur physionomie ne donne pas l’impression que les Français vont se ruer dans la pierre. A moins de 300. 000 demandes, c’est le niveau le plus faible depuis le début des années 2000. Un niveau planché qui laisse supposer que l’épargne logement ne mordra pas sur la consommation. On pourrait arguer néanmoins que les ménages risquent se réfugier dans des comportements d’épargne de précaution, le marché du travail restant anxiogène.
Aussi, quand un complément de pouvoir d’achat est dû à des facteurs ponctuels et n’est pas donc pas considéré comme un revenu permanent alors que l’environnement économique est morose, les ménages ont d’abord tendance à épargner. PAGF ont pesé sur la période des soldes d’hiver. De fait, alors les dépenses d’habillement accélèrent un peu (+2 % en janvier après 1,7 % en décembre), les chiffres de la consommation de janvier sont tirés par deux autres facteurs. Electricité et gaz augmentent avec la baisse des températures
D’une part les achats d’automobiles qui progressent de 3,2 % après leur baisse de 1 , 7 % de décembre. D’autre part les dépenses d’énergie liées au chauffage principalement. La consommation de gaz et d’électricité continue d’augmenter ? un rythme élevé avec le retour des températures à un niveau proche des normales saisonnières, après un automne très doux, soulignent en effet les experts de l’Insee. pour autant, les dépenses d’énergie dans leur ensemble ralentissent nettement après leur forte hausse de décembre.
Elles progressent de % seulement après % un mois plus tôt. Une chute largement imputable à celle des dépenses en fuel et carburant très dynamiques en décembre. Les achats en équipement du logement, et notamment en meubles, ont également renoue avec une tendance positive (+1 après un mois plus tôt). La consommation en produits alimentaires est restée quasi stable (-0,1 En savoir plus sur http://www. lesechos. fr/economie-france /conjoncture/0204189139241 -france-la-consommation-de-janvier -tiree-par-lautomobile-et-les-depenses-de-chauffage-1097357. php