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TIC dans GRH Introduction sur « NTIC et GRH » – Section 1 La gestion des ressources humaines (GRH), comme fonction des entreprises et discipline des sciences de gestion, est au même titre que les autres domaines, passée sous les feux de la rampe. Car elle est aussi entrée dans une phase d’adoption rapide des TIC, via l’intranet spécialisé, l’Internet et le développement de logiciels ‘ntégrés de gestion des hommes ( SAP People soft ) .

Ce qui est toutefois spécifique à la fonction Ressources humaines, c’est une tendance à la focalisation sur son contenu, ses objets, ‘avantage que sur ses finalités, l’approche retenue par la revue professionnelle « Entreprise et carrières » ( du 24 octobre 2000) to vien « ext est à cet égards typiq principes, avantages e-learning, de la e-ge Prévert au demeuran GRH dans les ouvrag 62 Swip next page ssivement les -recrutement, du orte de liste a la nière d’aborder la une telle approche, bien qu’utile et donc pertinent, n’est pas sans limites et sans danger, outre le fait qu’elle entretient une vision balkanique de la GRH, rendant sa présentation peu stimulante, elle condamne à une appréhension technicienne lutôt que stratégique des liens entre TIC et GRH. En particulier, les transformations technologiques observables ne semblent pas être accompagnées chez les praticiens d’une réflexion sur les enjeux et les conséquences organisationnels de leurs nouveaux choix. Ce repli techniciste apparaît quelque peu en contradiction avec un discours reconnaissant une dimension stratégique à la fonction.

Carticulation Carticulation entre GRH et TIC peut difficilement être envisagée indépendamment de deux phénomènes D’une part, beaucoup d’entreprises sont contraintes d’adopter les rincipes de création de valeur dans une logique actionnariale, avec pour corollaire un nécessaire respect des principes de rentabilité pour les décisions concernant les hommes et l’organisation du travail ; D’autre part, la légitimité et la finalité des politiques de GRH sont souvent remises en cause et la périmètre de la fonction cantonné à un rôle technique et réglementaire Postuler un lien entre TIC et création de valeur peut surprendre. D’un côté, on évoque des techniques des outils de gestion ; de l’autre il s’agit d’une idéologie, d’inspiration financière, très istante des réalités concrètes de l’entreprise (Figure 1-Exemple d’effet pervers da la logique création de valeur Pourtant, ce lien n’est pas aussi distant qu’il y paraît. La création de valeur oriente les principes de management ou, cela revient au même, l’orientation business, imposée par une logique création de valeur, agit comme un guide sur les choix organisationnels et humains. Pour créer de la valeur, il faut développer un avantage concurrentiel.

Les TIC peuvent y contribuer en apportant des outils dédies à la productivités en permettant de redéfinir les âches et de coordonner différemment les activités, selon l’approche organisationnel de Mintzberg. Plus spécifiquement, les TIC peuvent contribuer à créer de la valeur si elles permettent une meilleure maîtrise des finalités de la GRH. Un approche consistant à évaluer l’impact des TIC sur les finalités de la GRH. Apparaît de ce point de vue souhaitable pour réfléchir à la légitimité de la gestion des hommes dans un e 2 62 souhaitable pour réfléchir à la légitimité de la gestion des hommes dans un environnement très largement soumis à la domination de la sphère financière sur l’action managériale. Cette perspective transforme le questionnement traditionnel centré sur les outils.

Il s’agit d’évaluer quel peut être le rôle réel ou potentiel des TIC et (leurs nouvelles modalités) sur : * Les finalités et les pratiques de gestion des hommes ; * La résolution de la contradiction potentielle entre les exigences financières et le nécessaire investissement immatériel ; * La mesure de la performance de la fonction GRH, relativement ? chacune de ses finalités ; * La mesure du lien entre cette performance et la création de valeur imposée par les actionnaires. uivant ce questionnement, l’enjeu n’est pas d’imaginer de nouveau concepts pour analyser le phénomène des TIC dans ses interactions avec les actions de la fonction GRH, mais de voix comment les approches classiques doivent être aménagées pour évaluer Fimpact de ces nouveaux outils de gestion sur les politiques ressources humaines. Le modèle des finalités de la GRH présentée ci-dessous permet cette relecture. Chapitre II ; NTIC dans GRH partie :NTIC et CRH Nouvelles technologies de Yinformation et de la communication et la GRH -la création de valeur est ici entendue le sens étroit des financiers. roduction générale: Les technologies d’information et communication « TIC » ou les Nouvelles technologies d’information et communication « NTIC » désignent généralement ce ui est relative à l’informatique connecté à l’Internet. 3 62 caractéristiques typiques des notions nouvellement formulées, elle est , d’une part fréquemment utilisée au sein des débats contemporaines; elle nage, d’autre part, dans un flou sémantique exemplaire. Il semble donc nécessaire de relier la notion à un ensemble de structure matérielles, de localiser l’origine de la diffusion de ces structures dans le temps et dans l’espace éographique et de délimiter le phénomène de l’espace virtuel que ces structures rendent possibles. Les technologies de l’information et de la communication et la gestion des ressources humaines entretiennent des relations ambiguës.

Les nouvelles technologies informatiques rendent possible un management des ressources humaines anticipateur, flexible qualitatif et personnalisé dont les acteurs sont non seulement le DRH mais tout la hiérarchie, voire chaque salaire. Ainsi, elles ont peu, dans les années 80,90 accompagné et assisté la mutation de la fonction RH qui, en réponse aux modifications de ‘environnement de l’entreprise s’est enrichie de nouveaux rôles: rôle stratégique, partenariat d’affaires et rôle de soutien. Elles facilitent l’adoption de nouvelles logiques: personnalisation, adaptation, mobilisation, partage, anticipation. Les technologies de l’information et communication apparaissent alors comme une source potentielle d’avantage compétitif dans la fonction RH.

Cependant, comme le souligne la littérature en système d’information, ces technologies bouleversent le fonctionnement des entreprises, leur organisation du travail. Elles influencent otamment la communication et les équilibre de pouvoir. Elles facilitent l’apparition de procédure de management participatif. Notre objet dans cette recherche est de préciser les n 4 62 management participatif. Notre objet dans cette recherche est de préciser les nouvelles technologies d’information et communication par apport à la gestion des ressources humaines dans une première partie, puis dans une deuxième partie, nous cherchant sur les nouvelles technologies de formation et de recrutement.

Finalement dans une troisième partie l’analyse de l’impact de celle-ci sur la gestion es ressources humaines. La finalité d’une opération commerciale est de générer un bénéfice pour l’entreprise, il est donc nécessaire de mettre en oeuvre les moyens les mieux adaptés et les plus sûr qui permettent le recouvrement des créances. Les instruments de paiement ce sont les outils d’encaissement simple dont disposent les entreprise pour ce faire payer . Ce sont des modes de règlement. Traditionnels et peut coûteux qui laissent souvent l’initiative ? l’acheteur et qui représente des risques, excepté dans le ou le paiement aura été faire préalablement à l’expédition, hypothèse ui ne concerne que des transactions faibles envergure.

Section 01 : notion des moyens de paiement Phase 01 : notion des espèces numéraire (les pièces et les billets de banque) Pour satisfaire ces besoins, un agent économique doit pouvoir se procurer les biens ou services qui ne produisent pas lui- même, donc les espèces numéraires l’instrument pour faciliter les échanges entre les différents agents économiques. 01 : les espèces numéraires : Définition: Les espèces numéraires sont des instruments de paiement spécialisé accepté de façon énérale ar les membres d’une communauté en règleme une prestation ou d’une S 62 monnaie : Définition : Les pièces de monnaie se sont des moyens de paiement classiques et simple, généralement se sont les pièces métalliques ou la monnaie fiduciaire de faible valeur de la faire rappoint, les pièces sont fabriquées par la trésorerie publique généralement. s billets de banque : un billet de banque ou monnaie fiduciaire, c’est un papier spécial imprimé recto verso par un organisme public, sur lequel la valeur nominale indiqué et garantie par l’État, notamment la banque centrale qui émit la monnaie fiduciaire après de contrôler la asse monétaire dans l’activité économique Les fonctions des espèces numéraires : 01 : les espèces numéraire se sont des instruments d’échange, ils permettent d’acquérir des biens et services finaux. 02 : les espèces numéraires se sont des étalons de mesure permettent d’évaluer la valeur de toute bien ou service échangeable sur un marché, les espèces numéraires permettent donc de comparer la valeur des différents biens économiques, chaque bien et service est donc évalué par un prix d’échange qui représente la qualité de monnaie qu’un individus en contrepartie de l’acquisitionl(*) de ce bien. les espèces numéraires se sont des réserves de valeur qui peut être utilisé n’importe quand dans le temps, elle permettent à son détenteur de conserver un pouvoir d’achat qui pourra mobiliser au moment de son choix . 02 : notion sur le chèque : C’est un document par lequel le tireur donne l’ordre au tiré de payer une certaine somme bénéficiaire, bien que ce soit très rare dans les pays développés chèque ne peut être tiré que sur une banque, une entreprise ou un établissement financière, le services des chèques postaux, le service des dépôts et consignation, le trésor public ou recette es finances, les établissements de crédit municipal ainsi que les caisses de crédit agricole » Les intervenants de l’emploi du chèque . emploi du chèque implique l’existence d’un compte et l’intervention de trois personnes. 01 : le tireur : Émet et signe le titre pour éteindre sa dette à l’égard du bénéficiaire ou du porteur 02 : le tiré : C’est la personne qui détient les fonds et qui est dans l’obligation de payer le montant du chèque, il peut être une banque ou un organisme assimilé 03 : le bénéficiaire (le porteur) : C’est le créancier d’une obligation dont le chèque est destiné ? éteindre – Les conditions de formules de chèque Selon l’article n04722(*) du code de commerce Algérien « le chèque comprend un certain nombre de montions pour le faire valoir comme te, ces montions sont . La dénomination de chèque insérée dans le texte même du titre v L’ordre de paiement v Le nom du tiré (banque ou autre organisme) v L’indication du lieu ou le paiement doit être effectué v La signature du tireur – Les montions facultatives : Il est possible de faire figu DE 162 ue certaines mentions C’est le fait d’indiquer sur le chèque, le nom de la banque du tiré ou il devra être présenté pour paiement. Le chèque certifié . La certification du chèque est une opération qui consiste pour une banque à attester de l’existence du montant de provision d’un chèque émit par le titulaire d’un compte et à bloquer cette provision au profit du porteur jusqu’à prescription du chèque.

Un chèque certifié doit contenir la mention « certifié pour la somme de » Ainsi que la date et le nom de rAinsi que la date et le nom de l’établissement de certification. La certification peut être faite suite à la demande du tireur ou de bénéficiaire, elle ne peut être qu’en cas d’insuffisante de rovision La comptabilisation d’un chèque certifié, la création du chèque certifié, donne lieu à l’opération suivante : la banque débite la compte ordinaire du client et crédite le compte de la banque. v Le chèque barré Pour limiter les risques de perte ou de vole, le chèque peut faire l’objet d’une formalité qui est lui spéciale, ce dernier peut être effectuer par le tireur ou un porteur et ce en traçant deux barres parallèles au recto du chèque, ce barrement peut être générale ou spécial.

Le barrement est dit générale lorsqu aucune mention est orté entre les deux barres Selon l’article du code du commerce Algérien « un chè ue à barrement générale ne peut être pavé par le tiré qu’? n chef de bureaux de 8 62 désignée le barrement spécial est utilisé pour limité les risques, car son porteur ne peut procéder à son encaissement, qu’en possédant un compte auprès de l’établissement désigné v Le chèque vissé Un chèque visé c’est un chèque ordinaire dans lequel la banque se porte garante, lors sa création, de l’existence de la provision du chèque sur lequel le tiré a apposé se Visa, ce Visa indique que la rovision existe à la date de l’établissement de ce visa. La différance entre le chèque visé et le chèque certifié .

La seule différance entre les deux chèques, c’est dans le cas d’un chèque certifié, la provision correspondante est bloquée et affecté au paiement de ce chèque jusqu’au terme du délai de présentation, mais contrairement à la certification le tiré dans le cas d’un chèque visé, il ne va pas bloquer le montant de la provision au profit du porteur. v Le chèque de banque : C’est un chèque qui émit par une banque soit sur l’une de ces gences, soit sur une autre banque, le porteur du chèque pour être assuré de son paiement pendant toute la durée de validité du chèque. Phase 02 : la lettre de change et la lettre de crédit : 01 : La lettre de change : une lettre de change appelé aussi traite, est un instrument utilisé habituellement pour effectuer des paiements commerciaux.

La lettre de change est un instrument de crédit et de paiement en même temps , matérialisé par un écrit sur un papier dans sa forme classique ou par un enre istrement magnétique dans sa formes LCR particulièrem I un tireur donne l’ordre 62 soit à lui-même ,soit à un tier bénéficiaire ,la lettre de change est un effet de commerce qui doit pour sa validité ,contenir certaines montions dont la dénomination ,mention facultatives , l’acceptation et la reconnaissement qui par le tiré de sa qualité de bébiteur La circulation de la lettre de change La lettre de change circuler par voie d’encaissement qui, selon les cas des transfère la provision ( endossement translatif ),ou et donnée pour encaissement (endossement de procuration ) ou ? titre de gage (endossement pignoratif) ,elle doit être présentée u paiement dans la période ouvrable qui suivent l’échéance ? défaut porteur négligent perd ses recours cambiaires tous ceux qui ont tiré ,accepté avalisé une lettre de change sont garants solidaires du paiement envers le porteur. Les utilités de la lettre de change : On évolué depuis l’origine de la lettre de change jusqu’à nos jours, trois utilités principales se sont succédées.

Un instrument de preuve relatif à un contrat de change : Les historiens du droit ne sont pas unanimes sur l’utilisation originaire de la lettre de change, pour certains il s’agissait ‘un moyen de procurer de la monnaie sur une autre place commerciale par un contrat spécial dénommé un contrat de change, pour d’autre virement entre banquier ou avis d’encaissement sur un compte bancaire, la première opinion semble prévaloir qui se que l’appellation lettre de change est apparue en raison du rôle de ce titre en tant qu’un instrument de preuve de l’existence d’un contrat de change, le marchand demandait au banquier de lui procurer le change sur une autre foire commerciale, pour se faire le banquier remet à se marchand une lettre destinée à son correspondant, lettre qui prou 00F 162